La chanteuse Coumba Gawlo ne cesse de surprendre les mélomanes. Dans quelques jours, les téléspectateurs découvriront son nouveau clip du morceau Topma. Tenez-vous bien, celle qu’on surnomme la « voix d’or » y est accompagnée d’un… félin. Sur un lit, l’artiste à la belle plastique caresse l’animal sauvage. Dans cet entretien qu’elle nous a accordé dans sa superbe villa sise à Yoff Diamalaye, celle qui fêtera aujourd’hui son anniversaire en grande pompe nous livre les secrets de son histoire avec sa grand-mère Djinn Moussa Mboré qui lui dicte ses chansons la nuit, qui la lie au lion…
Vous vous apprêtez à souffler une bougie de plus. Est le sentiment qui vous anime ?
Un sentiment de fierté parce que je m’apprête à souffler mes 18 bougies (Rire). Pour une fois, je vais inviter mes parents et amis au cours d’un diner que j’organise demain (Ndlr : aujourd’hui) dans ma résidence. Ensuite, je vais communier avec mes fans au cours d’une grande soirée au Ravin. Comme je m’occupe toujours des gens et de mon travail, on m’a suggéré cette fois-ci, de penser à me faire plaisir en prenant soin de moi.
Je veux être proche de mon public populaire qui je précise n’est pas seulement pas composé de jeunes, mais de personnes de tout âge. Donc, c’est une manière de leur faire aussi plaisir.
Quel cadeau un homme pourrait-il faire à Coumba Gawlo
(Espiègle) Moi ? Laissez-moi le temps de réfléchir… Un cœur, je prendrai volontiers.
Cela coïncide avec le tournage de votre clip Topma<,
Je tourne depuis 3 jours mon clip Topma que les mélomanes aiment bien.
Il se dit que vous y êtes avec un lion ?
Ah oui, j’adore les animaux. A vrai dire, j’avais décidé de tourner la vidéo en compagnie d’une panthère. Mon entourage a dit niet.
On m’a demandé si j’étais en train de perdre la tête. Mais, comme la panthère n’était pas disponible, je me suis rabattue sur un félin. Il est si mignon.
Le jour du tournage, ma maman avait si peur. Elle pensait que j’allais mourir le jour-même. Elle téléphonait toutes les 5 minutes pour demander si tout allait bien. Et juste avant le démarrage, elle m’a suppliée de faire mes ablutions. Mais le plus tenant, c’est qu’elle a tenu à parler au régisseur du lion. Et tenez vous bien, ma mère lui a l’ai invité à venir s’asseoir à mes côtés, il s’est exécuté. D’ailleurs, dans le clip, vous me verrez avec lui. Sur mon lit, on était deux et je l’ai même caressé.
On dirait que c’est votre totem ?
J’avoue qu’on partage beaucoup de traits de caractère. Je suis une personne qui aime se battre, qui aime dominer. Donc, je peux dire que je suis une lionne, mais une peau de velours. J’aime le lion parce que c’est notre emblème, il symbolise la force, la puissance et le caractère fort. Et je m’identifie à cet animal. Il me manque déjà.
Donc, les hommes, qui ont un cœur de lion peuvent suivre la Gawlo ?
Ah bien sûr, l’essentiel est qu’ils soient courageux. Vous savez, si une personne se fait seule, elle est obligée de s’armer de force. Quand on a des problèmes et qu’on a personne pour nous consoler, on est obligé de pleureur quelques minutes et de se remettre au travail.
Vous avez des ascendances peulh, mais on ne vous a jamais entendu en parler ?
Effectivement, je suis une Gawlo qui signifie une griotte en Pulaar. Nous sommes originaires de Daara Djolof. Mais, je suis une Gawlo Galli (qui ne comprend pas Pulaar). Quand je me rends dans mon village, j’ai l’impression qu’on m’interpelle parce dans chaque maison, il y a une fille qui se nomme Coumba Gawlo Seck. On nous surnomme Mbouré en Puular. J’en suis heureuse parce que je pense que c’est de cette ascendance que je tiens mes trains Fins et ma minceur.
Parlez-nous de votre inspiration. Comment cela se passe chez-vous ?
Je vais vous faire une confidence… Ma mère m’interdit d’en parler. Je dors tous les soirs avec un dictaphone au chevet. Parce que l’inspiration me vient la nuit.
Et de manière spontanée, je me lève pour l’enregistrer. Je vais vous raconter une anecdote. La chanson Koumpa aduna, c’est une djinn qui me l’a dictée en plein sommeil. Je m’étais couchée et j’ai vu en rêve, une dame blanche avec de longs cheveux noirs. Elle chatonnait « lalalala… ».
J’ai sursauté pour l’enregistrer. Le matin je me suis mal réveillée. J’ai décidé de ne pas aller au travail. Et comme j’habite en face de la mer, je me suis mise à observer le ciel jusqu’à l’infini, la mer jusqu’à l’horizon. Et la terre avec ses milliers de grains de sable. Et je me suis dit que c’est cela le contenu de ma nouvelle chanson.
Qui plus est, j’ai le don de l’écriture.
On peut dire que l’inspiration vous vient des djinns ?
J’ai une grand-mère djinn qui s’appelle Moussa Mboré. Elle est l’aïeul de ma mère. Le seul hic, c’est que tout membre de ma famille qui devient fou ne guérira jamais.
On vous dit riche parler nous de votre train de vie.
Combien de villas avez-vous ?
(Cachottière) je remercie le bon Dieu parce que je suis riche de mes amis. Et puis, j’avoue que je parviens à régler mes problèmes. Je pense que c’est l’essentiel. Ce que je mange, mes parfums, ma lingerie, je ne lésine pas pour cela. En tant qu’artiste, je dépense beaucoup pour mon corps. Il m’arrive d’acheter des chaussures à 100 euros (65 mille francs Cfa), 1.400 euros (917 mille francs).
Et pour votre linge de corps ?
J’adore le beau linge. Mes couleurs préférées sont le rouge qui signifie la passion, l’amour…
J’aime aussi le noir.
Vous organisez votre anniversaire au moment où le pays est dans le noir. Quelle analyse en faites-vous ?
C’est un réel problème. C’est sérieux. Je demande au président de trouver une solution. On en pâtit. Que ce soit l’artiste ou le petit commerçant ou tailleur.
Parce que s’il n’y a pas de courant, les mélomanes ne pourront pas suivre nos produits à la télé ou écouter de la musique. Imaginez le tailleur qui paie un loyer de 65 mille francs et qui passe toute la journée sans rien faire. Le bailleur ne comprendra pas qu’il n’a pas eu le temps de faire ses commandes. Idem pour la hausse répétée des prix des denrées de première nécessité.
Vous avez été à Ndioum et on vous a offert en plein concert un cheval, un bœuf et une parcelle.
Évidement, c’est mon ami, Amadou Kane Diallo, mon roi qui me l’a offert. Ce n’est pas tout, il a promis de me trouver un mari à Ndoum.
Recueillis par Ndèye Awa Lô
Walfgrandplace via galsentv.com
talibe Serigne Fallou aux USA
c est une lesbienne……………………………….elle cherche les femmes………….elle esst dans un club ferme……………………
Arretez vos méchancetés et remettez vous au bon Dieu KOU Dé YAK SA BAMEL WaKH LOU LA WOROUL L’ISLAM DA KOYE TéRé wassalam