Cousine de Sokhna Dieng, Maïmona Dieng ex épouse de Serigne Modou kara se lâche: Les hommes ne sont pas ma prioroté… la polygamie devait être instituée dans la Constitution

Maïmouna Dieng, traduite devant les tribunaux par son ex-mari, Mbaye Peunde Mbengue, n’en fait pas un tollé. Preuve en est que deux jours après le procès intenté par son mari pour abus de confiance portant sur la somme de 14 millions de francs Cfa, la dame s’affiche très coquette à la Une du quotidien Walf Gand-Place. Qui est allé décrocher une interview avec la directrice de l’école Internationale de Coiffure de Dakar. L’ex-épouse de Serigne Modou Kara, se coud la bouche quand il s’agit de parler de ce dernier et de leur idylle. Mais ne manque pas de mots pour descendre celui qui la traîne dans la boue.

Depuis deux jours, elle est sous les feux de la rampe du fait que son ex -mari, Mbaye Peunde Mbengue l’a attrait à la barre pour abus de confiance. Mais Maïmouna Dieng n’en a cure et crache tout ce qu’elle a pu avoir comme venin sur son ex-époux. « Je ne savais pas le genre d’homme avec qui j’avais affaire. C’est un bandit de grand chemin », lance-t-elle, en furie. Elle poursuit : « Mbaye Peunde avait promis de détruire à sa sortie de prison. » Mais pourquoi son ex lui en veut-il ? Selon la quadra, Mbengue « ne supporte pas mon remariage avec Serigne Modou Kara. » Sauf que Mbaye Peunde a soutenu mordicus devant le juge qu’il n’a jamais répudié sa femme. Ce que Mounass réfute et assène : « il ment quand il dit qu’on n’a pas divorcé. »

L’ex présidente des femmes du parti de Serigne Modou Kara ouvre à peine la bouche pour parler de son idylle avec le marabout politicien qui a été plus qu’éphémère. « Je ne parlerai pas de ma relation avec Serigne Modou Kara, encore moins de notre divorce. » Mais elle précise que « nous gardons toujours de bons rapports que nous avions avant de nous marier » pour la bonne et simple raison que « Son père Serigne Ousmane Mbacké était le guide de mon père. »

La directrice de l’école internationale de coiffure révèle qu’elle est une parente (sa cousine) de son ex-coépouse, Sokhna Dieng. Mais se précipite-t-elle de préciser : « mais je la connais pas ». Et elle ne va pas loin pour trouver une explication à cet état de fait. Connaître Sokhna Dieng et la fréquenter équivaudrait à se ranger derrière elle et Maïmouna Dieng de s’enorgueillir « je suis née pour diriger. Je ne me mettrai jamais derrière une dame. »

Cette attitude n’a rien à voir avec la jalousie car la fille de la première femme administrateur civil au Sénégal est « polygamie-phile ». Mieux, Maïmouna pense que « la polygamie devait être instituée dans la Constitution parce que cela empêche à l’homme de commettre l’adultère. » Cependant, n’allez pas croire que cette célibataire fait un appel du pied aux hommes. D’ailleurs, elle tient à dire tout haut qu’elle n’est pas prête à convoler en justes noces à nouveau. « Des prétendants ne manquent pas. J’en ai la tonne et le quintal. Mais je préfère me consacrer à mon travail », dit-elle. « Mes enfants demeurent mes maris. Les hommes ne sont pas ma priorité », sourit-elle.

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