Jusqu’ici, elle s’était abstenue de parler publiquement de l’emprisonnement de son fils. Mais lundi, la mère de Barthélemy Dias était aux côtés de son mari Jean-Paul Dias pour une conférence de presse. Elle en a profité pour interpeller Madame Viviane Wade.
Cela fait pratiquement plus de trois semaines que Barthélemy Dias est en prison. Mais ses parents continuent de mener la bataille de l’opinion. Lundi, c’est son père Jean-Paul Dias, père de Barthélemy Dias, qui a convoqué la presse pour se prononcer sur le dossier. Mais c’est surtout la mère du jeune maire socialiste qui a retenu l’attention de la presse. « Il me revient que les nervis qui ont attaqué la mairie de Mermoz Sacré-cœur, le jeudi 22 décembre, auraient été commandités par des personnalités au plus haut niveau de l’Etat. À ce stade, je prends à témoin l’opinion publique, toutes les femmes et les mères de famille », commence par dire la mère de Barthélemy Dias.
Poursuivant, elle interpelle l’épouse du chef de l’Etat : « Madame Viviane Wade, si Karim est son fils qu’elle a mis au monde, Barthélemy est mon fils que j’ai mis au monde. L’intimidation ne passera pas. Ce désir ardent d’éliminer physiquement Barthélemy ne passera pas. Cet acharnement sur ma famille depuis le vendredi saint, l’Assomption en août 2006, et aujourd’hui noël 2011 ne passera pas. »
En fait, la mère de Barthélemy Dias a le sentiment qu’on veut sacrifier son fils pour la réalisation des « ambitions présidentielles » de Karim Wade. Mais elle avertit : « Si l’ambition est de permettre à Karim Wade d’accéder à la magistrature suprême, cela ne pourrait se faire qu’avec le suffrage des Sénégalais, mais en aucun cas avec le sang de mon fils. »
comme vous ne pouvez pas éduquer votre fils,maintenant il est entre les mains de vérritables éducateurs. »xaléél bu amul kilifah,jinné mooy doon kilifaam. »
saalaam a tous MADAME yaagatoul bou soobéé RAABANAAH il sortira bientot waassaalaam
Bien dit TATA….cette famille est une vipere, des sangsus….VIVIANE est une pute, et son fils un BATARD…
la famille de abdoulaye wade est une tragedie… 2 enfants la quarantaines sans foyers une lesbienne et un homosexuelle refoulee qui n’admet pas qu’ils est gays qui se cache derriere des vitre tintee des avions des suites d’hotels pour s’envoiyer en l’air wade a enfantee un inutile avec 360 milliards de L’ANOCI il n’a pas etait capable de bien gerer L’OCI je le considere un malade mentale il devait aller voir un psycatre un homme sain ne fera jamais ce que karim wade fait au SENEGAL nous avons vue BEN ALI TUNISIE encore MOUBARAK EST SES FILS qui risque la GUILLOTINE viviane wade AUNCUN SENEGALAIS n’aimerai voire ma mere a ta place ton comportement est tres loin de madame SENGHOR et madame DIOUF ton DISCOURS le plus denigrant a etait j’ai mis un homme au palais j’en mettrai un DEUXIEME fallait dire INCHALLAH
Qui ne comprendrait votre désolation, madame Diaz, de voir votre fils dans de sales draps. C’est bien à votre honneur, mais ne vous trompez pas de combat, madame. Celle-ci doit être juridique pour éviter à votre fils bien aimé des circonstances agravantes. Vous ne réussirez pas, chère madame, à lier ce crime aux liens de mère et fils entre monsieur Karim Wade et sa mère Viviane qui eux, n’ont rien à voir dans cette affaire. Ne vous méprenez pas de pays, le Sénégal n’est pas encore et ne le sera jamais, je l’espère, un pays où un chef d’Etat a le pouvoir de faire embastiller un citoyen, quel qu’il soit, parce que ses positions ou appartenances politiques ne seraient pas conformes à ce qu’il aurait souhaité. Au cas où madame Diaz, ce risque planerait sur notre pays, des millions de nos compatriotes, moi avec eux, se lèveraient pour dire non! Je crains malheureusemant, Madame Diaz, que les Camarades de votre fils lui aient déjà tourné le dos, malgré les apparences de soutien affichées ici ou là. La politique est ainsi faite, des adversaires politiques de votre fils, tapis au coeur de son parti, dont la fougue, la témérité et l’insolence ont toujours dérangé, ne seraient pas mécontents de le voir éloigné, quelques années encore de leur espace partisan. A votre place, monsieur madame Diaz, je prendrais l’attache d’un grand pool d’avocats et je me ferais tout petit pour espèrer une clémence des juges qui auront à traiter cette triste affaire. Je vous encourage Madame et prions ensemble le seigneur des mondes. Aucun Sénégalais, de quelque bord qu’il soit, ne peut se réjouir de la situation de votre fils. En tout cas, en ce qui me concerne, je prie pour que tout soit pour le moins pire.