« Quand les leaders restent au pouvoir pendant des décennies, un jour ou l’autre ça provoque des tensions politiques, sociales et sécuritaires. Nous espérons que chaque chef d’Etat africain pense à son héritage politique, historique et à l’avenir démocratique. »
C’était il y a deux ans. En juillet 2009, Barack Obama déclarait, lors d’un discours à Accra : «L’Afrique n’a pas besoin d’hommes forts, mais d’institutions fortes ».
Deux ans après, quel regard posent les Américains sur l’avancée de la démocratie en Afrique ?
A Washington, Eric Silla est le conseiller spécial du sous-secrétaire d’Etat américain Johnnie Carson.
rfi.fr
J’encourage Charim WAde à ester en justice son tonton Bourgi pour diffamation. A moins, qu’il ait escroqué son oncle.
Le gosse est emancipé et a toujoiurs été prompt à porter plainte.
Nous nous souvenons tous du procès du 12 janvier à Montréal, contre un certain Souleyman JULES DIOP.