XALIMA NEWS – Le procès-verbal de l’interrogatoire d’Ibrahim Aboukhalil a démenti une grande partie de la presse et même des avocats. Ceux-ci affirmaient que pendant l’interrogatoire, les appareils auxquels est branché le prévenu, cloué sur son lit d’hôpital dans une clinique de la place, de seraient emballés. Comme dans la série « Urgences », tous les voyants se seraient allumés et les . Même Jessica Finnelle, avocate de Karim Wade, a tenu les mêmes propos devant un parterre de journalistes.
A la lecture du pjournalistes, il ressort qu’Ibrahim Aboukhalil n’a répondu qu’à une seule question : « M. Aboukhalil, souhaitez-vous être interrogé? ». Question à laquelle il a répondu par l’affirmative après avoir dit : « je prends à témoin le commandant Sarr, le juge Beye (président de la commission d’instruction de la CREI, ndlr) et le substitut Antoine Diome que je n’ai jamais simulé. J’ai répondu à une dizaine de cinvocations sans jamais faire du cinéma. » Par la suite, le prévenu a fondu en larmes, obligeant ses médecins à insister pour l’interruption de l’interrogatoire. Les magistrats ont finalement accédés à cette demande.
Auparavant, ses médecins avaient averti les magistrats des risques de tachycardie, d’orage rythmique (très forte accélération du rythme cardiaque) entre autres que pourrait causer une montée brutale d’adrénaline chez le patient. Ils avaient aussi déconseillé aux magistrats de l’interroger.
Direct Procès Karim Wade : La vérité sur l’interrogatoire de Bibo.
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