Ils ont dénoncé des faits graves, Macky sall les a radiés

Date:

L’inspecteur des Impôts et Domaines, Ousmane Sonko, a subi le même sort que les autres «têtes brûlées» de l’administration. Comme Cheikhna Keïta avant lui, il a été radié de la fonction publique. Comme le colonel Abdoulaye Aziz Ndao, on lui permet, toutefois, de faire valoir ses droits à une pension de retraite.

Désormais, Ousmane Sonko n’est plus inspecteur des Impôts et Domaines. Il a été radié de la fonction publique par le chef de l’Etat, Macky Sall. Le président du parti «Patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef)” a déballé et a bousculé la plus haute hiérarchie de l’État du Sénégal qui a été obligé de se rebiffer. Aux accusations de Sonko, l’Etat a répondu par la force des biceps. Sonko est suspendu puis traduit devant le conseil de discipline. Moins d’une semaine plus tard, il a été extirpé de l’administration comme un vulgaire malfaiteur.

Son tort : d’avoir révélé que l’Assemblée Nationale ne paie pas ses impôts. Une dette évaluée à plus de 6 milliards et que Moustapha Niasse, le Président de l’Assemblée nationale, a finalement payé lorsque l’affaire a fait couler beaucoup d’encre et de salive.

Son autre tort : d’avoir divulgué que le référendum du 20 mars dernier a couté un peu moins de 10 milliards, contrairement aux 3 milliards annoncés par le chef de l’État. Mais aussi d’avoir levé beaucoup de scandales financiers dans lesquels l’Etat ou des proches du régime sont trempés. C’était plus que ne pouvaient supporter Macky et Cie. Les dispositions de l’article 12 de la loi n°161-33 du 15 juin 1961 se sont abattues sur lui et Sonko est déclaré coupable de “manquement à l’obligation de discrétion professionnelle”.

Avant lui, Cheikhna Cheikh Saad Bouh Keita, commissaire divisionnaire de classe exceptionnelle, ancien directeur général de l’Office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants (Octris), a été radié. Il avait dénoncé un trafic de drogue au sein de la police, accusant son prédécesseur à l’Ocrtis, le commissaire Abdoulaye Niang, d’être à la tête de ce trafic. Il expliquait que lors des cérémonies d’incinération des drogues, les boulettes brûlées ne contenaient pas de cocaïne, mais de la farine. L’enquête ouverte avait lavé l’accusé et l’accusateur a payé les pots cassés. Cheikhna Cheikh Saad Bouh Keita, traduit en Conseil de discipline, est par la suite radié par Macky Sall.

Le Colonel Abdoulaye Aziz Ndao, conseiller militaire à l’Ambassade du Sénégal au Portugal et ancien numéro deux de la gendarmerie nationale, lui, a été sauvé d’une radiation puisqu’il était à 4 mois de la retraite lorsque son affaire a éclaté. Mais l’Etat s’est montré intraitable avec lui. Parce qu’il a rédigé un livre titré “Pour l’honneur de la gendarmerie”, dans lequel il accusait son ancien patron, l’ex-Haut commandant de la gendarmerie nationale, le général Abdoulaye Fall, d’avoir toujours agi en complicité avec le Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc) et d’avoir toujours perçu 200 millions mensuellement dans le dossier de la Casamance, l’État a estimé que le colonel Ndao était assujetti à l’obligation de réserve et ne devait pas écrire un tel livre. En le faisant, il a commis “une infraction aux règles de protection du secret”, selon le ministre des forces armées, Augustin Tine.

Rappelé de l’ambassade de Lisbonne où il était en détachement, le colonel Ndao est placé aux arrêts de rigueur à la Caserne Samba Diéry Diallo dès son arrivée au Sénégal. Il sera en détention pendant trente jours avant que la sanction ne soit prolongée de trente jours supplémentaires. Aujourd’hui, le colonel est à la retraite. Tout comme Cheikhna Keïta et Ousmane Sonko sont envoyés en…retraite anticipé. L’administration de Macky Sall à horreur des… “têtes brûlées”.
EXCLUSIF.NET

11 Commentaires

  1. Quelle indignité en plus ils osent se justifier, venir raconter des sornettes
    Comment un homme digne peut- il participer à la radiation d’un autre homme qui à dénoncer des malversations, des magouilles, des vols et détournements de deniers publics au sein même de la fonction publique.
    Ces gens n’ont décidemment aucune dignité.
    C’est triste et cela devra alerter tous les sénégalais, cela signifie que n’importe quel régime, dirigé même par un voyou trouvera toujours des hommes prêts à le servir, le suivre jusqu’au bout.
    Comment parler d’obligation de réserve qui concerne la non divulgation d’informations privées et jamais la dénonciation de vol de détournement, les crimes les plus graves dans une démocratie ?
    J’ai envie de vomir quand j’entends ces gens parler.

  2. Quand j’ai lu le livre du colonel Ndaw et que j’y ai vu que des meurtres, des viols et des tortures étaient préparés au sein même du naguère prestigieux corps de la gendarmerie, je me suis dit que tous ces gens vont avoir de graves problèmes.
    Eh bien non je me suis lourdement trompé.
    Ce pays est maintenant un pays de bandits et tous les sénégalais devraient avoir peur, car c’est extrêmement dangereux.
    Même les marabouts qui demanderaient immédiatement une médiation si le peuple sortait dans la rue sont silencieux.
    Les sénégalais doivent prendre leur destin, en mains.
    Quelle indignité en plus les hommes de macky, osent se justifier, venir raconter des sornettes
    Comment un homme digne peut- il participer à la radiation d’un autre homme qui à dénoncer des malversations, des magouilles, des vols et détournements de deniers publics au sein même de la fonction publique.
    Ces gens n’ont décidemment aucune dignité.
    C’est triste et cela devra alerter tous les sénégalais, cela signifie que n’importe quel régime, dirigé même par un voyou trouvera toujours des hommes prêts à le servir, le suivre jusqu’au bout.
    Comment parler d’obligation de réserve qui concerne la non divulgation d’informations privées et jamais la dénonciation de vol de détournement, les crimes les plus graves dans une démocratie ?
    J’ai envie de vomir quand j’entends ces gens parler.

  3. Macky Sall avait dit: « Je ne protégerais personne ». Tout le monde a maintenant compris que c’est l’exact contraire qu’il fallait entendre. Macky Sall protégera toute mauvaise personne, il diabolisera et emprisonnera toute honnête personne. La seule précaution qu’il a prise, c’est la maîtrise de la presse des 100 qui sera chargée du vernis.

    • PROCHAIN SCANDALE JURIDICO-POLITIQUE : Un éminent professeur de droit démontre que le mandat de Macky Sall finit le 3 avril 2017
      2
      inPartager
      Une nouvelle qui ne fera certainement pas plaisir aux apéristes nous vient d’un texte juridiquement argumenté de Mouhamadou Ngouda MBOUP, Assistant de droit public FSJP, ancien ATER à la faculté de droit et de gestion de l’Université de La Rochelle et ancien enseignant à la faculté de droit de l’Université de Grenoble.
      Dans une tribune publique, il explique les failles contenues dans le texte de la constitution du 20 mars et montre les failles qui vont malheureusement créer une situation politiquement intenable pour le Président Macky Sall.
      Voici le texte du spécialiste de droit Mouhamadou Ngouda Mboup :

      Le 12 février 2016, le Conseil constitutionnel sénégalais considérait que « s’agissant des modalités d’application dans le temps des lois de révision ayant une incidence sur la durée du mandat en cours du Président de la République, que des précédents se sont succédés de manière constante depuis vingt cinq ans ; qu’il résulte de ces précédents, initiés sans texte lors de la révision de la Constitution de 1963 par la loi constitutionnelle n° 91-46 du 06 octobre 1991 et consolidés lors de l’adoption de la nouvelle Constitution du 22 Janvier 2001 et de la révision constitutionnelle n°2008-66 du 21 octobre 2008,avec le soutien de dispositions transitoires destinées à différer l’application de la règle nouvelle, que le mandat en cours au moment de l’entrée en vigueur de la loi de révision, par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle. » (Décision en matière consultative n°1 / C / 2016, Considérants 29 et 30.) Au regard de ces considérants, il est impossible de dire que personne ne l’a remarqué car la Constitution du 22 janvier 2001 et la loi constitutionnelle n°2008-66 du 21 octobre 2008 avaient prévu des dispositions transitoires qui étaient destinées à différer l’application de ces nouvelles réformes qui toucheraient le mandat du Président Abdoulaye Wade, ce qui n’est pas le cas de la loi constitutionnelle n°2016-10 du 05 avril 2016 portant révision de cette même Constitution qui vient de réduire la mandat du Président Macky SALL de sept à cinq ans.

      Si l’on entend en parler aujourd’hui, c’est pour appeler à la correction de certaines lacunes ou omissions : bien que adoptée depuis le 20 mars 2016 et promulguée le 5 avril 2016, rares ont été les spécialistes, du moins à notre connaissance, à avoir consacré des réflexions sur cette nouvelle loi constitutionnelle majeure. Un de nos grands maîtres, le Professeur Jacques-Mariel NZOUANKEU, a été l’une des rares personnes à se questionner sur les effets pervers de cette nouvelle réforme, notamment par l’absence de dispositions transitoires mais aussi par la suppression des fondements constitutionnels de la Cour Suprême (elle se trouve ainsi privée de toute base constitutionnelle. La Cour Suprême n’existe plus juridiquement… alors qu’elle est la plus haute juridiction du pays).

    • PROCHAIN SCANDALE JURIDICO-POLITIQUE : Un éminent professeur de droit démontre que le mandat de Macky Sall finit le 3 avril 2017
      2
      inPartager
      Une nouvelle qui ne fera certainement pas plaisir aux apéristes nous vient d’un texte juridiquement argumenté de Mouhamadou Ngouda MBOUP, Assistant de droit public FSJP, ancien ATER à la faculté de droit et de gestion de l’Université de La Rochelle et ancien enseignant à la faculté de droit de l’Université de Grenoble.
      Dans une tribune publique, il explique les failles contenues dans le texte de la constitution du 20 mars et montre les failles qui vont malheureusement créer une situation politiquement intenable pour le Président Macky Sall.
      Voici le texte du spécialiste de droit Mouhamadou Ngouda Mboup :

      Le 12 février 2016, le Conseil constitutionnel sénégalais considérait que « s’agissant des modalités d’application dans le temps des lois de révision ayant une incidence sur la durée du mandat en cours du Président de la République, que des précédents se sont succédés de manière constante depuis vingt cinq ans ; qu’il résulte de ces précédents, initiés sans texte lors de la révision de la Constitution de 1963 par la loi constitutionnelle n° 91-46 du 06 octobre 1991 et consolidés lors de l’adoption de la nouvelle Constitution du 22 Janvier 2001 et de la révision constitutionnelle n°2008-66 du 21 octobre 2008,avec le soutien de dispositions transitoires destinées à différer l’application de la règle nouvelle, que le mandat en cours au moment de l’entrée en vigueur de la loi de révision, par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle. » (Décision en matière consultative n°1 / C / 2016, Considérants 29 et 30.) Au regard de ces considérants, il est impossible de dire que personne ne l’a remarqué car la Constitution du 22 janvier 2001 et la loi constitutionnelle n°2008-66 du 21 octobre 2008 avaient prévu des dispositions transitoires qui étaient destinées à différer l’application de ces nouvelles réformes qui toucheraient le mandat du Président Abdoulaye Wade, ce qui n’est pas le cas de la loi constitutionnelle n°2016-10 du 05 avril 2016 portant révision de cette même Constitution qui vient de réduire la mandat du Président Macky SALL de sept à cinq ans.

      Si l’on entend en parler aujourd’hui, c’est pour appeler à la correction de certaines lacunes ou omissions : bien que adoptée depuis le 20 mars 2016 et promulguée le 5 avril 2016, rares ont été les spécialistes, du moins à notre connaissance, à avoir consacré des réflexions sur cette nouvelle loi constitutionnelle majeure. Un de nos grands maîtres, le Professeur Jacques-Mariel NZOUANKEU, a été l’une des rares personnes à se questionner sur les effets pervers de cette nouvelle réforme, notamment par l’absence de dispositions transitoires mais aussi par la suppression des fondements constitutionnels de la Cour Suprême (elle se trouve ainsi privée de toute base constitutionnelle. La Cour Suprême n’existe plus juridiquement… alors qu’elle est la plus haute juridiction du pays).

  4. j’ai honte pour mon pays et j’ai peur pour mon peuple, mais comment diantre sommes nous tombé aussi bas, comment un tel nullard nous a berné pour nous amener à faire de lui notre président, mais le plus mal, c’est que nous semblons avoir perdu notre capacité d’indignation, c’est vraiment le moment de s’unir pour le bouter dehors en 2017 pour que vive le senegal

    • c’est ton opinion, cher sidiki diouf mais si tu étais moins partisan, tu verrais que ces personnes ont posé des questions vite éludées par le régime.
      nous savons analyser et déduire, ôter l’ajout dans les propos et retenir les constantes.

  5. Méditons cette belle et simple pensée: Si la parole est d’argent alors le silence est d’or. La forêt pousse et devient dense, on entend rien. Quand un arbre tombe, un terrible fracas déchire l’air alentour. Autrement dit: Le Bien ne fait nul bruit et opère en douceur et avec calme

  6. QUAND MARVEL SOULEYMANE JULES CHOPIN DIOP ATTAQUAIT MACKY QU’IL AVAIT BAPTISE YAMBAR
    Voir Macky Sall se faire traiter comme un cabot enragé ne devrait émouvoir personne. Il avalera tout ce que lui tendra Wade ou un autre désigné par Wade. Ce type est né comme ça, né pour être un sous-fifre, né pour être commandé au doigt et à l’os, mais il est clair également qu’il traîne tellement de casseroles (lui et Madame qui a été menacée d’audit aussi) que Wade n’a qu’à faire mine d’ouvrir un tiroir de dossiers pour que Macky avale tout, sourires et excuses à l’appui.

    Il est inutile d’avoir la moindre compassion pour ce Yambar de Macky Sall qui, chaque fois qu’il ouvrira la bouche, ce sera pour revendiquer aujourd’hui plus que jamais son statut d’esclave ou de toutou de son maître.

    Nous l’avons tous vu demander pardon à genoux, avec sa mine de femmelette, alors que c’est lui qui se faisait cracher dessus, qui se faisait botter le postérieur, qui se faisait insulter par n’importe quel larbin de Karim ou Ablaye. Macky est et demeurera un Yambar toute sa vie, car il est né pour l’être, il est né pour obéir, il est né pour se faire écraser et demander pardon. Il suffit de voir comment son protégé Aliou Sow se fait gifler par une vieille loque comme Doudou Wade sans oser réagir. Etre le protégé d’un Yambar comme Macky n’est vraiment pas un cadeau.

    Nous avons récemment vu Macky en France revendiquer à nouveau toute sa larbinité, son allégeance éternelle face à son bourreau qui avait à nouveau jeté ses cabots contre son yambar.

    Macky ne peut mener, ni n’ose mener aucune fronde contre quiconque, bien au contraire, Macky se « battra » pour que l’on pense à lui plus tard comme numéro 2 ou 3 ou 5 ou 30 ou 50, peu importe car il n’a pas le courage d’avoir des ambitions, surtout avec toutes ces casseroles que lui et sa femme traînent. Il sait se contenter de voler, de faire voler sa femme et leurs parents respectifs. Macky a d’ailleurs passé le virus de « yambarisme » à Madame qui s’est fait jeter à la porte d’une salle de cérémonie en France, alors qu’elle avait fait le déplacement pour faire de la lèche par délégation de son Yambar chéri.

    Quand après Mame Madior Boye, Wade disait qu’il va renommer une femme premier ministre, alors que les plus naïfs pensaient à Aminata Tall, les observateurs sachant lire entre les lignes avaient compris qu’il faisait référence à Macky la femmelette, et ce fut effectivement la seule promesse que Wade ait tenue de 8 ans de présidence.

    Quant à ces guignols de Mbaye Ndiaye (Député Maire de Parcelles), ou de Moustapha Cissé Lô (El Pistoléro), ou autres, qui font mine de défendre un tel yambar, ils ne sont pas mieux. Ils feignent d’ignorer que tout ce traitement de chien que subit Macky est commandité et cautionné directement par Ablaye lui-même. Et à chacune des sorties de ces guignols, après avoir vociféré un peu, ils revendiquent vite fait par la suite toute leur larbinité sans faille à Wade. Ils sont incapable d’aller jusqu’au bout de leur logique qui reste alimentaire au-delà de tout. Comment peut-on condamner des criminels, et déifier leur commanditaire ? C’est plus que de la bouffonnerie.

    Mais les sénégalais, journalistes et autres acteurs doivent également se méfier de la diversion et des fameux os à ronger de Ablaye Mythomane.

    Par ces multiples tartufferies autour de sa succession, rappelons d’ailleurs que même une chèvre ferait moins pire que Wade comme président de la république, Wade cherche certainement à cantonner la course à sa succession entre Karim et Macky. Il crée alors une pseudo dualité entre ces 2 guignols, avec pour objectif de mettre les sénégalais dans une position de devoir choisir soit le camp de l’homo, soit le camp du yambar. Mais dans les 2 cas, c’est un Wade libre comme le vent qui quitterait le pouvoir avec les centaines de milliards volés. Si il arrive à imposer son homo, tant mieux, sinon c’est le Yambar qu’il a formé comme tel et qui se pliera sous ses 4 volontés.

    Par ces conflits de succession qu’il crée dans son propre gang, Wade cherche à effacer dans la tête des sénégalais les plus naïfs toute possibilité de succession par l’un des leaders de l’opposition significative, car il sait que n’importe lequel de ces leaders qui arriverait au pouvoir le mettrait automatiquement lui et son homo de fils en prison ou les pourchasseraient « jusque dans les chiottes » comme disait le non moins triste Poutine.

    Il faut également noter que Wade ne s’est jamais véritablement exclu de 2012 car même sur chaise roulante il n’acceptera pas de céder le pouvoir si c’est pour risquer d’aller en prison ramasser le savon sous la douche. Il se livrera à toutes les diversions possibles pour s’imposer ou imposer l’un de ses homos ou yambars. Il faut dès lors éviter de se jeter aveuglément sur ses os à ronger et continuer à se concentrer sur Wade le Clepto / Mytho en chef himself. Il faut continuer à voir les voies et moyens, musclés de préférence, de mettre la main sur eux (Wade, Karim, Macky) afin de leur montrer qu’il y’a plus de dignes sénégalais que d’alimentaires et talibés écervelés prêt à s’accrocher à n’importe qui qui agiterait une carotte ou un paradis pour talibés sans cervelle.

    MARVEL
    [email protected]

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

DEPECHES

DANS LA MEME CATEGORIE
EXCLUSIVITE

Gaston Mbengue : L’adieu émouvant des célébrités et des anonymes

XALIMANEWS- Des personnalités du monde sportif, politique et économique...

Le Privé travaille plus que le Public, avec 1968 heures de travail par an (Rapport)

XALIMANEWS- En 2023, les agents hors de la fonction...

Lutte Sénégalaise/Nécrologie : Décès du célèbre promoteur Gaston Mbengue

XALIMANEWS-le site Sene News vient d'annoncer le décès du...

Le Président Bassirou Diomaye Faye suspend les opérations sur le site de M’bour 4 : Une mesure pour l’équité foncière

XALIMANEWS-Le Président de la République, Monsieur Bassirou Diomaye Faye,...