La journée internationale de la danse, est célébrée ce vendredi 29 avril. Une occasion, pour le président des danseurs et des ballets du Sénégal, Malal Ndiaye de soulever le problème d’organisation et de formation des acteurs de la danse.
« Les problèmes majeurs de la danse sont en effet la formation et le financement, mais hormis cela, le ministre de la culture a fait un effort en créant la mutuelle des artistes et surtout le décret d’application de la Sodav qui peut aider, non seulement les danseurs, mais également, les artistes à surmonter beaucoup de problèmes », explique Malal Ndiaye.
Cette journée qui a toujours été célébrée au Sénégal, a connu des progrès cette année. C’est dans ce sens que le président Ndiaye nous informe que: « cette année il y a eu une évolution dans le programme car, depuis trois (3) mois, notre association et la Direction des arts entretiennent des discussions sur des programmes pour cette journée, et, même au-delà».
Et Malal de poursuivre sur les ondes de Walf fm: «C’est vrai qu’il y avait beaucoup de problèmes entre les danseurs et la Direction des arts concernant le manque de production, de formation, mais aussi d’accompagnement pour le développement de la danse au Sénégal »
Et pour y arriver, Malal Ndiaye propose quelques ébauches de pistes parmi lesquelles la mise sur pied d’un programme de formation et d’accompagnement des danseurs. Ce projet, informe-t-il, est en discussion avec leur ministre de tutelle. Et, s’il aboutit, réglera définitivement « le problème des danses obscènes ».
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