La Magie de la revanche, le roman que vient de publier l’ingénieur El Hadj Falilou Diop aux éditions Nara, s’attaque à l’endogamie et aux problèmes de castes en général, qui sont le fruit des conséquences d’une division du travail dans les anciennes sociétés féodales qui, tel ‘un voile, tue les amours naissants’.
Ce livre de 178 pages, le deuxième ouvrage publié par les éditions Nara, est le récit de l’impossible amour entre Oumar Christian Djim et Amayel Diallo.
Deux jeunes gens qui s’aiment, mais dont la liaison va se heurter au refus des parents d’Amayel. Ce qui fait que leur bel amour sera sacrifié sur l’autel des préjugés sociaux de la société.
En effet, arguant de son appartenance à la noblesse torodo, Abdoul Diallo, le père d’Amayel, refuse de donner la main de sa fille à un diawando.
‘Vous n’êtes pas sans ignorer que notre société est régie par des règles auxquelles nous sommes obligés de nous conformer. Parmi celles-ci, le respect des divisions sociales, la prise en compte des castes’, explique Abdoul Diallo face à la demande de mariage d’Oumar Christian Djim.
‘Je ne donnerai jamais la main de ma fille à un casté, un diawando’, martèle-t-il à l’endroit du prétendant. Blessé dans son amour propre, Oumar Christian Djim retourne aux Etats-Unis dans le but de poursuivre ses études en ingéniorat télécom.
Il trime dur et devient, par la suite, ‘un financier extrêmement riche et puissant’. Depuis les Etats-Unis où il crèche et à l’aide d’un partenaire sud-africain, il crée l’Africaine de textiles. Il tire alors sur les ficelles et entreprend de faire couler la Société africaine de transformation des fibres textiles (Satfit), l’entreprise familiale des Diallo.
Grâce à un plan savamment mûri, la société d’Oumar Christian casse tous les prix du marché et débauche la quasi-totalité des collaborateurs de sa concurrente. La Satfit fait alors face à ‘une très grave crise’ financière. Même l’hypothèque de la villa des Diallo sise à Point E n’a pas réussi à faire renverser la situation. La crise persiste à la Satfit, qui voit ses chiffres d’affaires s’étioler comme beurre au soleil. Pis, elle ne peut même pas honorer ses engagements vis-à-vis de ses employés.
Sentant que l’heure de la revanche a sonné et qu’il ‘a toutes les cartes en main’, Oumar Christian Djim rentre au bercail et se propose d’aider la famille Diallo. Mais à la condition qu’on lui accorde la main d’Amayel qu’on lui avait refusée, il y a treize ans.
C’est dans un esprit de vengeance sur l’histoire que vont se dérouler les noces d’Amayel et d’Oumar Christian Djim.
Un beau roman à la fois sensuel qui traite des problèmes de couple, de la jalousie, de l’arrogance de certains riches. Néanmoins, il reste entaché par quelques coquilles.
Le lecteur attentif ne manquera pas de relever l’utilisation excessive de la locution ‘en effet’ et le patronyme du père d’Amayel qui devient Bâ à la page 119.
(Aps)
Rien n’est impossible dans la vie, il faut juste savoir ce que l’on veut et aller de l’avant, chers parents laissez nous aimer les uns les autres car nak nos mondes diffèrent dé, seul l’amour compte et rien d’autre.
Le roman à l’air intéressant et il est vrai qu’il y a tellement à dire que les problèmes de classe. Il est vrai aussi que rien est impossible et que se sortir des problèmes avec un peu d’intelligence est toujours possible!
Il est très intéressant je l’avais lu en 2014
j aime roman je les lis attentivement et c est extrement important il y a beaaucoup de probleme entre les castes et cet livre nous donne la preuve
voila une source ou l’on peut trouver autant de leçon pour eduquer et orienter nos enfants…..c’est extraordinaire ce livre
Surtout la maniére que Amayel a su gérer son ménage avec l’aide de tonton habib et aminata diop…………..
J’aime vraiment ce roman
Où pourrais-je me le procurer svp?
Ce livre est très excellent j en ai fait l expérience il nous réveille sur beaucoup de choses je conseille à ceux qui ne l on po encore lu de le lire et de ressentir la tristesse, la désolation, la douleur , la jalousie pour dire que l amour finit toujours par triompher