Le maire de Dakar Khalifa Sall placé sous mandat de dépôt

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Beaucoup s’y attendait, ça vient d’être confirmé par le Doyen des Juges d’instruction. L’édile de Dakar, Khalifa Sall vient d’être placé sous mandat de dépôt dans l’affaire de la caisse d’avance de la mairie à 23h37 par Samba Sall.

Khalifa Sall est poursuivi pour détournement de deniers publics portant sur plus de 1,8 milliard de nos francs.
Le maire de Dakar va ainsi passer sa première nuit à la maison d’arrêt et de correction de Rebeuss…

Dakaractu.com

8 Commentaires

  1. Il n’y aura désormais plus de politiciens impunis dans ce pays ! Dans toutes les démocraties qui se respectent, les hommes politiques rendent des comptes sur leur utilisation de l’argent public et sont même très surveillés par la justice comme c’est le cas actuellement en France ou aux États-Unis. Mais au Sénégal, ils veulent toujours être au-dessus de la loi et crient honteusement à la cabale politique à chaque fois qu’ils sont objectivement accusés. Moustapha Sy doit maintenant respecter sa parole et aller lui aussi dormir à Reubeus. Mais comme tout le monde sait que c’est un grand bluffeur…
    Maintenant, sans aucun parti pris, il faut donner suite aux recommandations de poursuites judiciaires faites par l’IGE et les autres corps de contrôle de l’État contre tous les autres gestionnaires de fonds publics incriminés. Sans aucun parti. C’est seulement par cette dissuasion que la transparence reviendra dans les mœurs politiques et ce sera un très grand bien pour l’État et les citoyens.

    • LEMZO, COIS-TU VRAIMENT À CE QUE TU AFFIRMES? Regarde autour de toi et tu verras des impunis par dizaines en commençant par ceux qui sillonnent les couloirs des ors de la République, il suffit juste d’être aux ordres!

  2. MACKY ET SON CALME HYPOCRITE
    Comme nous le prédisions le 23 mars 2015 avec l’affaire Karim, aujourd’hui Khalifa paie les frais de ses ambitions présidentielles face au dictateur silencieux. Autant des remords avaient suivi le verdict du procès historique de Karim, autant les poursuites contre l’actuel Khalifa de Dakar soulèvent plusieurs interrogations. Et le sentiment que la justice agit sous les ordres de l’exécutif préoccupe bons nombres de Sénégalais. Le cas échéant, le Sénégal perd ses acquis démocratiques et verse petit à petit dans un fascisme débordant. Ce texte constitue un réquisitoire, parmi tant d’autres, pour un Sénégal de paix, de démocratie et d’émergence.
    1. Aux débuts une police politique : la CREI
    Faire de la politique exige une fortune colossale doublée d’une notoriété. Alors tout riche prétentieux pour le devenir du Sénégal ou souteneur de potentiel candidat peut s’attendre à une convocation de cette juridiction d’exception. L’actuel locataire du Palais veut un second mandat à tout prix : et l’arme fatale est le dénigrement qui mène en prison et/ou hors des urnes. Sous la coupole de la séparation des pouvoirs, des juges à l’instinct grégaire sont chargés de cette « sall besogne », sans se rappeler le discrédit qui avait frappé les cinq (5) sages sur l’anticonstitutionnalité d’un 3e mandat pour Wade. Alors futurs candidats pour 2019 préparez vos bagages pour la citadelle du silence et de l’image ternie. A défaut abandonnez toute ambition présidentielle ou toute collaboration avec un présidentiable. Car la CREI, une décision politique cautère, c’est pour eux et l’OFNAC pour les alliés récalcitrants et les insubordonnés au pouvoir marron. Aux yeux de l’immense majorité des Sénégalais, la CREI, la DIC et autres juges corrompus ne seraient que des organes chargés de liquider les adversaires politiques du dictateur Macky.
    2. La stratégie du dénigrement :
    Spécialistes du dénigrement tels des lopes parceque obnubilés par un second mandat, les tenants de l’actuel pouvoir excellent inlassablement dans l’art de créer des historiettes à l’endroit d’un potentiel concurrent ou adversaire afin de ternir à jamais son image. On se rappelle encore tel dans un conte de fées, le discours tenu par Macky, alors Premier Ministre, à l’occasion de l’inauguration de l’usine de montage de véhicule de Thiès. On serait tenté d’en déduire qu’il est l’artisan de l’acharnement politico-judiciaire dont l’ancien édile de la cité du rail fut victime. Idrissa Seck en a payé les frais ; il est aujourd’hui stigmatisé des milliards des chantiers de Thiès même s’il bénéficie d’un non-lieu total après huit mois de prison. Challenger de Wade aux élections de 2007, le leader de Rewmi termine 5e en 2012 et manque son objectif d’être le 4e Président du Sénégal. Le dénigrement orchestré par Macky, alors sous l’ombre du complice Wade, est passé par là.
    Pendant que Idy, détruit, tente de recoller les morceaux de sa formation émiettée. Karim est sali, pour ne pas dire culpabilisé pour avoir élargi la coopération internationale autour du monde arabe, dont l’Occident est très jaloux. Quant à Gackou, il est perdu par l’allégeance de Niasse, en pleurs dans les prairies marronnes, qui a fini de ternir son brillant parcours politique. Pour l’écarter de la course de 2017, 2019 après le wax waxeet (dédit) despotique, Niasse s’interrogeait sur la licéité de sa fortune et les apéristes de ses supposées lobbies sécrètes : une façon de ternir son aura auprès de la classe populaire. Cependant le diplomate émérite et enraciné aux valeurs locales Ibrahima Fall est minimisé, mis en quarantaine comme un vieux et envoyé à la maison de retraite après un faux référendum. Pendant ce temps, le brillant Khalifa de Dakar, réintronisé le 29 mars 2014 puis vainqueur des membres HCCT de la capitale, recevait déjà les foudres des « petits maures » qui appliquent les injonctions reçues depuis les tentes du Palais.
    Mais quand le dictateur Macky s’en mêle, s’ouvrent les portes de Reubeuss. Pendant ce temps il se la coule douce dans la fraicheur ndarienne, mais le cœur alourdi par cet acte ignoble. Veut-on empêcher la confection d’une liste victorieuse aux prochaines législatives ? Cherche-t-on à éliminer un adversaire encombrant ? Cruelles pratiques dans un pays targué d’hospitalité. Demain, à qui le tour ?
    Mais les Sénégalais ont tout compris. Alors aujourd’hui plus que jamais, l’opposition doit constituer un bloc compact avec les forces vives de la nation pour préserver le Sénégal d’un avenir qui semble incertain. Elle se doit de cristalliser toutes ses compétences au service d’un Sénégal réellement émergent : économiquement prospère, politiquement stable, socialement heureux pour un Bonheur National Brut.
    3. Vers des fraudes massives ?
    L’ère des fraudes est-elle révolue au Sénégal? A voir ce qui s’est passé à Saint-Louis lors des élections locales, la réponse est non! Car Braya perd de façon miraculeuse. Quelles techniques avaient été employées pour réussir cette prouesse de détournement de suffrages ? C’est scandaleux. N’était-ce pas une zone test de la machine de fraude en vue des prochaines consultations électorales ?
    Heureusement que Aïssata ne s’est pas laissée faire à Podor. A l’image des femmes de Nder et de Aline Sitoé Diatta, elle a mené le combat comme une lionne pour éviter le fait accompli. Contrairement à Aminata qui a du capituler dans le Ndiambour au bon plaisir du Président qui la retient encore ministre de la République. Et loyale, elle continue de tresser des lauriers à son dictateur de Président. L’alerte est donnée, donc vigilance !
    4. L’arrogance apériste du parti unique :
    L’indiscipline n’a jamais prévalu au combat. La leçon non sue du régime précédent déchu ne sert pas encore d’exemple aux hommes de ce régime qui avait fini de gagner la confiance des sénégalais épris de paix et de justice. L’espoir d’une rupture d’avec les pratiques peu orthodoxes s’est vite effondré. Les apérites sont beaucoup plus arrogants que leurs prédécesseurs. Les ripostes politiques qui nous sont servies ne conviennent pas souvent à la situation actuelle. Cela devient encore plus grave quand des ministres de la République, des représentants à l’Assemblée ou des conseillers s’adonnent à cet exercice pour garder leur position ou solliciter des postes de sinécure. Le monde évolue dans un esprit de compétition où les intelligents dominent les sauvageons et autres adeptes de la sauvagerie. Et partout on crie VIVE la transhumance. La critique peut être constructive pour les âmes vierges d’arrogance, de méchanceté et de mesquinerie.
    5. Une presse bâillonnée :
    Motus bouche cousue, ainsi peut-on résumer l’attitude des fortes gueules de la presse sous Wade. Ils se la coulent douce aux abords du Palais et des excursions de leur Sall « chef de rédaction ». Fin stratège politique, le Président a vite fait de recruter ceux-là qui ont grandement participé à la chute de l’ancien régime et formaté leur cerveau. Il est clair aujourd’hui que leurs textes et paroles, relayés par bons nombres de média, n’étaient que simples jalousie et divergences cryptopersonnelles avec les inconditionnels arrogants du pouvoir libéral.
    A ces journalistes de comprendre qu’ils avaient choisi d’être critiques et par conséquent devraient le rester quoique ça leur coute. Aujourd’hui qu’ils se sont mis à nu, ils compromettent en même temps la véracité de leurs propos et la sincérité de leurs actions antérieurs. Latif Coulibaly jadis très écouté s’est rendu au Président par la bonne grâce d’un siège au Conseil des ministres. Jules Diop, quant à lui, faisait courir vers le Net dans Deeg Deg où il combattait le pouvoir galactique wadien afin de retrouver le pays et les coulisses et délices du Palais. Le jeu est enfin clair, l’opinion édifiée. Au même moment, le soi-disant analyste politique Alioune Sall tient les valises et les mallettes de la sœur Marième Faye, affichant partout et toujours un profil bas. Alors que le grandiloquent Abdoulaye Thiam, se frayant un passage dans la cour des grands, faisait du journalisme un simple business. Tandisque le téméraire Madiambal Diagne qui a connu les vicissitudes de la prison semble las de continuer le combat pour porter la voix des sans voix et préfère flatter les artisans de l’hypocrisie du Président. Pire encore, Yakham le mercenaire a toujours déçu le peuple, alors il devient conseiller en communication du Président. Et le Groupe Futurs Médias ne se prive pas de se solidariser avec leurs patrons Youssou-Amar, partenaires du gouvernement. Alors que les scandales sexuels de Yérim et de Tamsir Jupiter leur font perdre toute légitimité au niveau de l’opinion nationale, bien qu’ils soient des esprits éclairés. Heureusement que tous les journalistes ne sont pas logés à la même enseigne.
    6. L’Autorité naturelle en haillons :
    Les chefs religieux sont des citoyens simples dixit le candidat de Macky2012. Alors pourquoi critiquer le silence des hommes de Dieu, qui du reste ont choisi de n’entendre que l’essentiel. Le terrain politique miné par le vol, le mensonge, l’ingratitude, l’hypocrisie, … a fini par jeter le discrédit sur tout religieux qui s’aventure à donner son avis sur le fonctionnement des affaires publiques. La politique, n’est-elle pas l’art de gérer la cité ? Et Platon de nous mettre en garde : « si tu refuses de faire de la politique, tu en seras puni en devenant gouverné par tes inférieurs. »
    Au Sénégal, la sentence est tombée sur la tête des Guides religieux qui pourtant n’ont qu’une seule référence, MOUHAMED (PSL) le rédacteur de la première Constitution de Médine, le Chef d’Etat Eclairé, le Général de la Sainte Armée et le Guide religieux de la communauté musulmane. Alors le Vénéré Khalifa Ababacar SY, puisque nous célébrons ce mois l’anniversaire de sa disparition, disait que ‘’les hommes politiques croient en nos prières, mais sous-estiment notre pensée, alors que les deux doivent aller de pair ; elles sont synergiques’’. Alors pour un Sénégal émergent, il faut absolument leurs sages conseils sur le fonctionnement du système, même sous forme de critiques. Refuser l’autorité des chefs religieux et accepter les marabouts vendeurs d’illusions, c’est exposer le pays à d’éventuelles calamités morales, physiques et économiques. Puisse le bon sens être la chose la mieux partagée auprès des protagonistes.
    7. Une société civile enrôlée :
    L’hypocrisie caractérise aujourd’hui ces membres de la société civile qui rôdent autour du Palais. Penda Mbow avait juré de combattre Wade jusqu’à la déchéance parcequ’elle a été virée du gouvernement après seulement six mois d’exercice. Et depuis quelques temps, elle est devenue le grand chambellan de la Première Dame. Portant la parole de la sœur Marième, elle effectue des visites partout dans le pays et à travers le monde au moment où Madame Sall peut cuisiner et esquisser des pas de danse avec les épouses des diplomates. La juriste Amsatou Sow Sidibé, commanditée le jour du verdict de Karim pour préparer à la condamnation de ce dernier, clamait sur ondes des radios et télévisions qu’il y avait une voie de recours ou pourvoi en cassation à la Cour Suprême. Accepter de telles sales besognes pour un intellectuel entame toute crédibilité malgré les beaux discours de spécialistes de l’Histoire ou du Droit. Le leader de Car-Leneen l’a appris à ses dépens.
    Par malhonnêteté intellectuelle, d’autres certes critiquent l’action du gouvernement mais par le dos de la cuillère. Encore simples dénonciations. Beaucoup de passivités. Mouhamadou Mbodj évoque le paradoxe du procès de Karim pour dénoncer l’iniquité de la justice après le réquisitoire du procureur de la CREI. Mais quelle action doit être entreprise afin de contraindre la justice à respecter le droit en cherchant les coupables aussi bien dans l’opposition qu’au niveau de l’entourage du Président.
    Alors que Abdoul Aziz Diop du M23 ne se cache plus d’avoir la couleur marronne. Dire que tous ces hommes, par leur verve, ont embarqué le Sénégal dans le chaos à la veille des élections de 2012, occasionnant plusieurs morts dont le célèbre Mamadou DIOP. Des crimes jusque-là impunis, dans le souci de protéger la police dont on a encore besoin pour mater l’opposition. Sinon comment comprendre que le Commissaire Arouna Sy alors au front et son chef Ousmane Ngom ne sont encore inquiétés. La preuve : en un temps record on trouve un meurtrier à l’assassinat de l’étudiant Bassirou Faye au moment où les familles des personnes sacrifiées pour arriver au pouvoir attendent de connaitre les meurtriers de leurs parents. Où se cachent Babacar Justin Ndiaye, Jacques Habib Sy, ….
    A l’endroit de tous ces érudits, méditez ces propos de l’Eminent Penseur et Khalife de la Tidjanya : « l’ignorance, ce n’est pas seulement absence de culture, mais les éléments d’une culture dont on ne se sert plus sont aussi un signe inquiétant de l’ignorance. »
    8. Pauvres droits-de-l’hommiste :
    Aliou Tine, bec cloué. A la tête de toutes les marches en chef du M23, Tine manipulait l’opinion au bon plaisir de l’opposition qui finit par en tirer les marrons du feu. Casé dans une agence chargée des droits de l’homme, il se montre rarement dans le seul et unique but de défendre le régime comme ce fut le cas lors du triste débat monologue et unilatéral sur la RTS1 le jour du verdict sur l’affaire Karim.
    Le mouvement Y’en-à-marre incarne-t-il aujourd’hui ce nouveau type de sénégalais? Ce slogan se résume désormais à une chanson qui a fini de tympaniser les compatriotes au point que les leaders doutent de leur capacité à mobiliser. Que dire aussi de certains actes qui cherchent à renforcer la notoriété de leur Président. La farce orchestrée jusqu’en terre congolaise est là pour témoigner d’une piètre victoire diplomatique. Ces comédiens feraient mieux de s’approcher de notre humoriste national, le bien-aimé Kouthia, qui au moins nous décharge des problèmes quotidiens que nous font porter les incompétents du régime. Messieurs! La jeunesse doit oser ou s’exiler pour vivre en paix.
    9. Basta, chers disciples de Machiavel Charlie:
    Le SENEGAL va mal messieurs Charlies à cause de l’incompétence et pire, à la perte de dignité, signe de complexe d’infériorité devant l’Occident. Aujourd’hui, il n’est pas seulement question d’une autre alternance mais plutôt de reconquérir l’indépendance politique et économique perdue pour refonder une véritable nation sénégalaise ancrée dans les valeurs d’honneur, de probité et de pudeur pour notre cantonnement dans la citadelle des bonnes convenances et de la bonne gouvernance.
    HALTE AUX DERIVES TOTALITARISTES DU PRINCE MACKYAVEL CHARLIE
    EN HOMMAGE A KHALIFA SALL, OTAGE POLITIQUE.

    MBAYE FAYE « Le Médiateur »,

  3. RAPPEL
    Après la manifestation et confirmation éclatante et sans équivoque de la vérité et de l’état des lieux, place à l’action et adieu la parlote tout court.

    Le constat est que tous les dignes et patriotes fils du pays, qui se soucient pour l’avenir et le devenir du peuple, sont dégoûtés par la tournure et la trajectoire sombre emprunté par la nation et en souffrent énormément. Une seule issue salvatrice s’offre à nous: Organisons nous. Nous sommes intelligents, nous sommes courageux, nous sommes forts, mais sans organisation, nous devenons insignifiants et rien de concret ne sortira. En nous organisant, marchant pas à pas, épaule contre épaule, cœurs avec cœurs, esprits avec esprits, vers le seul point de convergence: sauver notre patrie, notre peuple et notre nation, nous balayerons très facilement et démocratiquement ces politiciens qui nous enfoncent de jour en jour dans les profondeurs sombres des sans lendemains depuis presque 60 ans. Organisons nous signifie débarrassons nous de nos égoïsmes, de nos individualités, de nos ambitions personnelles, de nos passions et unissons nous dans les cœurs et les esprits pour rechercher et identifier ensembles (travail titanesque à commencer dès maintenant) un leader avéré (pas nécessairement un politicien), issu de nous, dont la compétence, la rectitude, le patriotisme, la foi exclusive en Dieu et à notre peuple, la vertu, la morale, le courage etc ne souffrirons d’aucune contestation. Nous sommes 14 millions de Sénégalais, je refuse de croire qu’aucun de ces 14 millions de Sénégalais ne correspond à ce profil. Ce n’est pourtant pas très compliqué, au contraire, c’est la chose la plus simple sur terre. Il suffit juste d’organiser la recherche et nous trouverons notre héro et sauveur à tout un peuple. Dans cette entreprise, tout citoyen Sénégalais est interpellé et a l’obligation patriotique de poser sa contribution. Soyons disciplinés, structurés, méthodiques, rigoureux et évitons les pièges qui seront inévitablement tendus par les saboteurs, ennemis de la république et du peuple, qui œuvreront de toutes leurs forces pour l’échec d’un tel projet et la faillite de la nation Sénégalaise, pour maintenir leurs intérêts bassement égoïstes. Commençons maintenant! Rien n’est impossible dans la vie! Si nous voulons, nous pouvons! Il est plus difficile de concevoir puis construire et enfin maintenir un avion (cette masse de plusieurs milliers de tonnes) dans les airs à 12 000 m d’altitude pendant 12 heures sans qu’il chute. C’est également vrai pour un paquebot de plusieurs milliers de tonnes sur l’océan, pendant des mois sans couler! Si nous restons les bras croisés, sans prendre des actions concrètes, en parlant et écrivant simplement, le naufrage va se poursuivre comme il est entamé il y’a presque 60 ans. Alors, lançons dès maintenant la Révolution Démocratique Patriotique Républicaine (RDPR). Si vous voulez vivre dans un pays véridique, juste et équitable, il est temps de se lever pour car rien dans la vie n’est obtenu gratuitement ou en dormant sur ses lauriers ou en palabrant simplement. Sinon, vous vivrez dans une misère cardiaque continue et prolongée qui conduira à terme à une crise cardiaque dont les conséquences sont redoutables et tristement terrifiantes. Notre destinée doit être écrite par nous et non pour nous. Une société qui accepte de se fonder sur du mensonge, l’injustice et l’iniquité est pire qu’une vipère.
    Change the system, otherwise the system will change you, and i guess in a dramatic way.

    The only thing we have to fear is fear itself. / La seule chose que nous devons avoir peur est la peur elle-même. Président Franklin Delano Roosvelt.

    Il est temps de mettre un terme à l’exportation de l’incompétence et la médiocrité de nos autorités dans le concert des nations olympiques du monde.
    Il est temps de mettre un terme à ces dirigeants nullards, médiocres et incompétents qui n’ont pas réussi à faire retentir une seule fois au Sénégal l’hymne olympique alors que d’autres pays le font plusieurs dizaines de fois.
    Il est temps que le «patriotisme mal placé» d’un certain ancien président revienne dans notre pays pour l’amener une seconde fois de son histoire en finale de la CAN, une seconde fois de son histoire en coupe du monde de football, une seconde fois de son histoire en quart de finale de la coupe du monde de football.
    Rien que le fait de prendre conscience de la nécessité absolue de s’organiser est un pas de géant! Une fois que cette conviction est largement partagée, l’exécution et les modalités de l’unique solution devient chose aisée. Les voies pour y arriver sont nombreuses. En guise d’exemple, si nous gérons nos égoïsmes (composante importante de l’appel à l’organisation), le peuple ordinaire comprendrait qu’il a intérêt à chercher, retrouver et soutenir un candidat idéal qui sauverait la patrie et la nation et a donc intérêt d’y consacrer ses idées, son expertise, ses moyens et ses efforts, les 200 partis politiques actuellement présents comprendraient que l’heure est grave et que non seulement ils ne font pas nécessairement rêver et que dans une situation inédite de dictature et de fraudes électorales combinée, ils est quasi certain que leur chance de gagner est presque nulle, et dans ce cas, ils auraient intérêt de penser à l’intérêt supérieur de la nation et du danger en cours, ce qui leur permettrait eux même, nouveaux ou anciens chefs de partis, de participer à rechercher et trouver le candidat idéal et y consacrer leurs idées, leur moyens, leur expertise pour en faire le vrai candidat sauveur de leur nation car l’heure est très grave, la société civile aussi comprendrait que l’heure est grave et apporterait sa contribution pour dénicher ce candidat idéal sauveur d’une nation. Donc, toutes les composantes du peuple ont intérêt à s’unir le temps d’une seule élection afin de neutraliser le plus grand danger de toute notre histoire qui menace le Sénégal: La naissance d’un médiocre tyran. Croyez-moi, les médiocres font toujours recours à la tyrannie s’il parviennent au pouvoir. Si le Sénégal n’a pas été une dictature jusque là, c’est parce que ses trois (3) précédents présidents n’étaient pas n’importe qui, malgré leurs défauts, donc, ils se sont tous donnés une limite qu’ils ne pouvaient pas du tout franchir. Sinon, franchement, s’ils l’avaient voulu, ils n’y aurait même pas une première alternance comme c’est le cas dans tous les autres pays africains. Pensez-vous que Senghor ou Diouf ou Wade n’avaient pas les moyens et l’intelligence de faire comme Yaya Diamé ou les autres dictateurs? Donc, la démocratie dépend d’abord en premier lieu du président ensuite vient le peuple à moins d’une révolte populaire comme le cas des printemps arabes. Il nous faut donc nous organiser pour barrer la route à la tyrannie et dictature en cours d’installation avant qu’il ne soit trop tard. L’organisation doit être multiforme et requiert l’adhésion, les efforts, les contributions et des initiatives multiformes avec comme objectif ultime sauver notre pays qui est en train de chavirer dangereusement et de glisser dans une dictature sans précédent. Chaque citoyen, d’où qu’il soit, doit réfléchir et prendre les actes à sa disposition qu’il jugera important pour contribuer à cette organisation. Les pays sous le joug d’une dictature ont du mal à s’en départir car la dictature, une fois installée, est un système difficile à faire tomber par la suite et la dictature est le pire des systèmes qui puisse exister car, on y tue et torture n’importe qui sans foi ni loi et nul ne sera épargné dans un tel régime qui appartient seulement aux lâches. Pour s’en convaincre, regardez la quasi totalité des pays africains qui sont sous la dictature depuis plus de 50 ans. Leurs peuples se sont battus et ont tout fait avec des disparitions ou assassinats d’opposants, des journalistes tués, la terreur installée partout, les gens surveillés, des manifestations systématiquement interdites. Ces peuples font tout pour faire tomber la dictature mais sans succès et ont fini par accepter leur sort. Le sénégal n’a pas encore atteint le point de non retour comme ces pays, mais si vous ne vous levez pas dès maintenant, la dictature va s’implanter solidement et vous ne vous en départirez jamais comme les autres pays africains. C’est maintenant donc qu’il faut agir et laisser de côté les égoïsmes.

  4. Silence on tourne ! Mais ou est la Maat ?
    IL est Temps de s’éloigner du jouer laisser par l’ennemie de nos ancêtres Ceddo! c’est a dire tout ces concepts Machiavélique étranger a notre vision du monde ces œuf laisser comme des mines par le prédateur français Machiavélique du prince
    https://youtu.be/_qwd6ZS03lY
    https://youtu.be/7ajSVUwkfLc

    (Le république ,la constitution, le code Napoléonien et même la mendicité spirituel le système bancaire etc… ) finalement vous vous définissez selon la vision du maître prédateur qui vous étiquettes,vous viol !! outes ces frontière issues de la conférence du Congo 1884-85 , aboutissement pour certains du XOF.

    tout ce que nous vivons depuis les soi disant indépendances est baser sur ce scenario depuis Feu Senghor le renard ,La girafe ,Le Lièvre et aujourd’hui du jeune Bouki tout est baser sur ces bonbons poisons enrobes de sucre pour les bon nègres Banania nous détruisant a petit feu sous le regard joyeux du Prédateur .Est ce que ces gens la sont digne de nous représenter??? a quand le Game change ,le changement des règles du jeux selon notre vision vraie Ceddo, animiste ,Vodou , Ifa etc de vrais Kamite !Si prier a la synagogue , a l’église ou a la mosquée pour les kamite ( Kheumite Noir que nous sommes ) L’afrique serai la premietre puissance du monde il n’y pas plus grande croyant que le noir .Alors il est grand temps d’essayer avec la vision et le système de nos ancêtres tout en l’adaptant au monde d’aujourd’hui. Le prince n’a aucun pouvoir sinon de te priver de ta liberté d’aller et venir et la contrainte physique légal te faire Mal et te liquider physiquement légalement ?
    https://youtu.be/kqCTpfTvAUc

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