– Considérant les révélations sur ce qu’il est convenu d’appeler « Les contes et mécomptes de l’Anoci » et plus généralement les accusations répétées de détournements de deniers publics et de surfacturations grossières dans le cadre de l’organisation du Sommet de l’OCI pour laquelle des centaines de milliards ont été englouties sans aucun bilan, ni projet d’audit ;
– Considérant que les citoyennes, citoyens et contribuables sénégalais doivent connaître la vérité et non se contenter de simples contes de prédateurs avérés et multirécidivistes ;
– Considérant que cette vérité doit d’abord profiter aux contribuables, victimes de ceux qui ont piloté ces opérations que l’on est pour le moment en droit de qualifier de génocide économique orchestré par une bande de jeunes malfrats qui semblent avoir été à bonne école d’un certain vieux maître connu en la matière;
– Considérant qu’il existe au Sénégal des instruments d’audit et d’inspection de telles opérations ou agences bien souvent mises en place pour un pillage plus aisé loin des lourdeurs des ministères, bien que ces instruments sont le plus souvent agités à des fins politiques ;
– Considérant qu’il existe dans ce
