XALIMA NEWS – Maître El Hadji Diouf aurait mieux fait de ne pas traiter Ibrahim Aboukhalil (IA) de malade imaginaire.
L’interrogatoire de l’avocat de la partie civile a tourné court: ‘‘Je ne répondrai à aucune question de Me Diouf, il a souhaité ma mort sur des plateaux de radio et de télévision’’, a déclaré le prévenu pour justifier son refus de parler à l’avocat. ‘‘Cela n’a rien à voir avec la procédure’’ a déclaré le juge. Mais rien n’y fit. S’adressant à Henri Grégoire Diop, qui répertoriait les questions de l’avocat, Ibrahim Aboukhalil a servi un implacable : ‘‘Je m’en tiens à ma réponse M. le président’’, à chaque salve de Me Diouf. Ce dernier veut poursuivre Bibo pour diffamation. Résultat des courses : beaucoup de questions pour zéro réponse.
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