l’étudiant succombe…

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Il s’appelait Bassirou et était régulièrement inscrit à la Faculté des Sciences Techniques en L1 MPI ( Maths Physique et Informatique). Selon le responsable des étudiants sur place, après avoir reçu une balle perdue des forces de l’ordre, l’étudiant Bassirou qui avait été évacué à bord d’une ambulance, a finalement rendu l’âme. Nous y reviendrons plus en détails…

dakaractu.com

8 Commentaires

  1. faisons preuve de responsabilités chers étudiants,il faut respecter les forces de l’ordre qui sont garants de notre sécurité.la violence peut toujours conduire à des dérapages,et nous faisons face aujourdhui à cette situation qui a conduit a la mort d’un étudiant.c’est une situation déplorable

  2. entant que étudiant j’appel mes camarades aux calmes car la violence ne règle rien et nous ne pouvons pas aussi affronter les forces de sécurité qui sont là pour nous défendre la sécurité de gens et de leurs bien.
    aussi faisons attention avec les jeunes politiciens étudiants qui sont a l’ucad les genre de madické de rewmi . ils ne font que nous entraîner dans leurs sale boulot qui consiste a entraîner le pays dans le chaos via l’université je suis apolitique je déteste même la politique mais force et de reconnaître qu’au moment ou débuté les affrontement l’argent était dispo pour la majorité des étudiants les paiement avaient commencé . donc ne détruisons pas ce pays a cause des opposant

  3. il est anormal que notre université soit le théatre d’échange de violence entre force de l’ordre et étudiant.
    l’étudiant en quète de connaissance est devenu un faiseur de trouble à l’ordre public
    les allées de l’avenue cheikh anta diop sont devenues impraticables pendant les périodes de mouvement de gréve,le transport perturbé,les marchands ne valent pas à leurs activités quotidiennes.
    ces violences ne sont pas le role d’un étudiant,l’étudiant doit prendre sa plume et s’interressait aux préoccupations des sénégalais
    les forces de l’ordre sont garants de notre sécurité,ils ne reculeront pas aux ménaces et aux désordres.
    cette situation devrait ouvrir nos yeux vers la responsabilité et la prise de conscience face a ce qui est

  4. il est anormal que notre université soit le théatre d’échange de violence entre force de l’ordre et étudiant.
    l’étudiant en quète de connaissance est devenu un faiseur de trouble à l’ordre public
    les allées de l’avenue cheikh anta diop sont devenues impraticables pendant les périodes de mouvement de gréve,le transport perturbé,les marchands ne valent pas à leurs activités quotidiennes.
    ces violences ne sont pas le role d’un étudiant,l’étudiant doit prendre sa plume et s’interressait aux préoccupations des sénégalais
    les forces de l’ordre sont garants de notre sécurité,ils ne reculeront pas aux ménaces et aux désordres.
    cette situation devrait ouvrir nos yeux vers la responsabilité et la prise de conscience face a ce qui est commun.
    cette université appartient à des générations futurs,les politiciens passent tout leur temps à vous infiltrer en poussant aux gréves
    reveillez vous chers étudiants,méfier de la manipulation politique qui depuis des années est entrain de détruire notre système éducatif

  5. De « Universités entre violence et impunité »

    « L’injustice est une mère qui n’est jamais stérile et qui produit des enfants dignes d’elle. »
    Adolphe Thiers.

    État de droit, gouvernance vertueuse, transparence, etc. à l’épreuve des faits.
    « Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde. »

    Un recteur, qui ignorait royalement l’autonomie des structures et les lois du Sénégal, avec une gestion hors norme tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l’Enseignement Supérieur de la Recherche, sans autre forme de procès. Les faits avérés qui lui sont reprochés sont d’une telle gravité qu’il ne doit certainement son « salut » (c’est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que grâce à la transhumance du PDS à l’APR à la 25ème heure. Les « amis » avant la patrie.

    LE RAPPORT D’AUDIT QUI MET À NU LA GESTION DE MARY TEUW NIANE
    (rapport commandité conjointement par les ministères de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et de l’Économie et des Finances, sur financement de la Banque mondiale)
    sur ndarinfo
    UGB-de-Saint-Louis-Le-rapport-d-audit-qui-met-a-nu-la-gestion-de-Mary-Teuw-Niane
    __________
    « Chaque fois qu’un homme défend un idéal, ou une action pour améliorer le sort des autres ou s’élever contre une injustice, il envoie dès lors une petite vague d’espoir. » Robert Fitzgerald Kennedy

    Sauvons nos universités publiques du naufrage.
    (leral.net 9 oct. 2012 de Citoyen)

    Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l’enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l’UNESCO. Nos institutions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-elles pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.
    Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s’évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d’existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l’inaction de l’État.
    En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.
    A l’État de faire l’état de la gestion de ceux qu’il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.
    L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d’enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.
    Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d’être juge et parti.
    Il n’est jamais trop trad pour bien faire un devoir citoyen.
    ———–
    « Chaque fois qu’un homme défend un idéal, ou une action pour améliorer le sort des autres ou s’élever contre une injustice, il envoie dès lors une petite vague d’espoir. » Robert Fitzgerald Kennedy

    «LA JUSTICE DOIT FAIRE LA LUMIERE SUR L’ARGENT INJECTE DANS L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR»
    BIRAHIM SECK DU FORUM CIVIL
    sur seneplus
    la-justice-doit-faire-la-lumiere-sur-l%E2%80%99argent-injecte-dans-l%E2%80%99enseignement-superieur
    Publication 16/09/2013

    Actuellement, la polémique fait rage entre le Saes et ministère de l’Enseignement Supérieur sur l’utilisation des milliards injectés dans l’enseignement privé pour l’orientation des bacheliers. Qu’est ce que cela vous inspire ?

    Le Saes a tout à fait raison de demander des comptes au gouvernement sur l’argent injecté dans l’enseignement supérieur pour la prise en charge des bacheliers orientés dans les universités privées. Les dirigeant du Saes n’ont usé que des dispositions des articles 14 et 15 de la Déclaration des droits de l’Homme et des peuples qui fait partie intégrante du préambule de notre constitution qui prône la bonne gouvernance et la transparence. Il ne devrait y avoir même pas de polémique. Les autorités devraient même rendre compte avant que le Saes ne le demande. Les étudiants également doivent demander des comptes parce que les services sont pour eux.

    De plus, mon étonnement est plus grand sur le silence affiché par le gouvernement par rapport aux différents audits publiés sur l’enseignement supérieur qui intéressent les autorités de l’enseignement supérieur et au plus haut niveau. C’est grave et inquiétant au moment où nous dit que l’Etat veut injecter 302 milliards dans le domaine de l’enseignement supérieur.

    La justice traque des citoyens sénégalais et quand on produit des audits qui intéressent les membres du gouvernement ou des administrateurs, l’Etat ferme les yeux. Ce sont ces pratiques que les Sénégalais ont combattues. La justice sénégalaise doit également faire la lumière sur l’argent injecté dans l’enseignement supérieur. Les rapports d’audit sont là.

    Cependant la Banque mondiale est également interpellée car il ne sera logique ni acceptable que de l’argent soit à nouveau injecté sans que la vérité ne soit connu sur les faits invoqués dans ces rapports d’audit sur l’enseignement supérieur.

    Le Saes est bien dans son rôle et il appartient à l’Etat d’éclairer les Sénégalais si on veut avoir un enseignement supérieur de qualité dans un espace de sérénité et de lumière.
    _________

    « Ne l’oubliez jamais : celui qui laisse commettre une injustice ouvre la voie à d’autres injustices. » Willy Brandt

    «MARY TEUW NIANE MENE LE PRESIDENT DROIT AU MUR»
    SEYDI ABABACAR NDIAYE, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DU SAES
    Oumar KANDE | Publication 23/08/2013
    sur seneplus «mary-teuw-niane-mene-le-president-droit-au-mur »

    « Seydi Ababacar Ndiaye, continuant son interpellation, demande quelle suite sera donnée à l’audit des universités où il a été noté une mauvaise gestion généralisée, «y compris la gestion du ministre actuel quand il était recteur de l’Ugb».

    «Est-ce qu’on peut continuer à faire confiance à des dirigeants qui ont été épinglés par différents rapports ? IL Y A AUSSI UN AUTRE DOCUMENT COMMANDITÉ PAR L’ACTUEL RECTEUR DE L’UGB AU NIVEAU DE LA DÉLÉGATION POUR LA RÉFORME DE L’ETAT ET DE L’ASSISTANAT TECHNIQUE (DREAT), QUI ÉPINGLE LE MÊME MINISTRE.

    Ce document à montré que l’actuel ministre de l’Enseignement supérieur, quand il était recteur à l’Ugb, son jeu favori c’était de créer des postes de responsabilité, de direction. Il en avait créé dix-neuf dans une petite université comme l’Ugb et il y avait des conséquences sur la masse salariale car tous ces directeurs avaient l’équivalent d’un million d’indemnité.

    Ces manquements devraient édifier qu’il faut faire les bonnes enquêtes et prendre les individus qu’il faut pour les missions importantes.

    Quelqu’un qui dirige une simple université et qui a ces types de comportement, on lui confie le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Il y a lieu de se poser des questions», a dit Seydi Ababacar Ndiaye. »

  6. Vous ne savez pas ce qui se trame au sommet de l’Etat. Ou bien vous vous méprenez sur toute la ligne. A l’étape actuelle une VIE pour un régime aux abois cela ne signifie pas grand chose surtout celle d’un étudiant.
    N’oubliez pas que Macky a été Ministre de l’Intérieur au centre des renseignements. Notez que au delà du fait que Mamadou Diop était son militant et il cherchait le pouvoir, Macky a gueulé fort jusqu’à promettre une plainte contre Wade devant l’ONU. Qu’est ce qui a suivi? RIEN
    A cahque étape il faut savoir comment déplacer la PEUR?
    Aujourd’hui avec les émotions qui nous tiennnent le ventre le manque de pluie, la faim, le vie chère et le procès de Karime Wade c’est e bon ton de déplacer la PEUR du coté des population pour les tenir en laisse et après on régle les quelques détails qui vont suivre et avec le temps on oubliera Bassirou Faye comme celà l’a été avec Mamadou Diop, Balla Gaye et tous ceux qui ont toujours été tués dans de telles circonstances de tumiltes.
    Ne vous en faites pas pour l’Etat c’est de bon ton de TUER quelque fois pour atténuer les tensions. Après on fera intervenir les croyances de la « destiné »; les imams, les grandes gueules de la société civiles qui n’appeleront jamais à la résistance parce que alliés et les « y en a marriste » et par là « Lebb dox tabi ajani » comme dans les histoires de grand mère.
    C’est pas demain la veille que le peuple boutera ce système tatillon.

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