Ce 19 Mars 2011, le Sénégal festif, impitoyable d’Abdoulaye le Premier(I) compte avec le milliard mesurer la longévité d’une alternance désastreuse et empoisonnée par des T-shirts, des ballons et des confettis pour faire un point d’étape sur la bonne gestion calamiteuse du pays. Et des « intérêt -tuels » à la place d’intellectuels tels des panégyristes en mal d’inspiration qui essayeront tristement de défendre le bilan tragique, catastrophique et inimaginable d’Abdoulaye le Premier dans tous les domaines.
Un jour considéré par les libéraux et leurs alliés comme sacré, seuls les adeptes du sadisme de Wade pourront chanter et danser « GORGUI DOGUALIGNOU » puis manifester sur la place publique cette joie de vivre absurde et imaginaire dans le pandémonium où les sénégalais sont retranchés dans des zones inondées, le ventre creux, avec des coupures d’électricité quotidiennes