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Le pouvoir d’Etat est sacralisé en Afrique. Mais la famille est tout aussi sacrée. Des parents et beaux-parents de Macky Sall se sont vus nommer ou attendent d’être nommés, qui à la Présidence de la République, qui à des postes de direction et qui au Sénat. Le Pays au Quotidien a mené l’enquête.

Sous le Président Macky Sall, la famille et la belle-famille seront, à coup sûr, des leviers de confiance dans la gestion du pouvoir dit de « la rupture ». Les uns sont déjà Ministres-conseillers, les autres Chargés de mission à la présidence de la République tandis que d’autres, enfin, attendent d’être officiellement promus.

Après la nomination du beau-frère du Chef de l’Etat, Mansour Faye dit « Marco Polo » au très stratégique poste de Délégué à la solidarité nationale et aussi celle du cousin de Macky Sall, Abdoulaye Timbo au poste de Directeur général du Fonds national pour la promotion de la jeunesse (Fnpj), voici venue la promotion du beau-père, Abdourahmane Seck dit grand « Homère » à la Présidence du conseil d’administration de la très liquide société de pétrole (Petrosen). Joint au téléphone par la rédaction du journal Le Pays, ce beau-père du Chef de l’Etat confirme d’emblée sa nomination en tant que PCA de Petrosen. Seulement, fait-il remarquer avec une courtoisie qui nous accable : « J’ai été PCA bien avant que Macky Sall ne soit Ministre ». Mieux, Abdourahmane Seck dit « Homère » précise qu’il est ingénieur et ancien Pca de Saed alors que son gendre n’était pas connu dans les sphères de décision de l’Etat. Non sans ajouter que sa nomination au Petrosen, il la doit en partie à l’ancien Cdp Garab-gui du Professeur Iba Der Thiam. Lequel avait bénéficié en son temps d’un quota au niveau de cette entreprise. Un retour de politesse entre deux grands amis.

Dans la foulée, de ces nominations, nous avons reçu la confirmation de celle de son cousin-germain Ibrahima Sall à sa qualité de Chargé de mission à la Présidence, quant à Diagué Sall, son nom a été avancé pour le poste de Pca ou une direction générale. Samba Sall, oncle du chef de l’Etat est, quant à lui, promu Ministre-conseiller. Le beau-frère Daouda Faye dit « Moulaye Thieuguine » est sur le point d’être nommé à la Présidence à un poste stratégique. Il faut dire que Daouda s’est employé, dès le début de la campagne, à être indispensable à l’Alliance pour la république (Apr). Ouvert, serviable et humble, il est, en réalité, très influent au palais présidentiel. Allés aux meilleures sources, il nous revient que « rien de petit ou de grand ne peut se faire, en ce moment, à la Présidence sans Moulaye » le frère de sang de Marème Faye et donc beau-frère de Macky Sall. Alors qu’Adama Faye (beau-frère) serait lui aussi, discrètement nommé à la présidence de la République. Le cousin Harona Timbo est déjà Chargé de mission. L’oncle Djibo Sall est sur le point d’être promu Président d’un conseil d’administration dans quelques jours, murmure-t-on. Quant à Ndèye Binta Gassama, [la fille de son homonyme Macky Gassama], jusqu’ici conseillère technique à la Présidence, elle se verrait bien Ministre-conseiller. La belle-tante Sira Diallo attend le décret de nomination à un poste à la présidence. Souleymane Ndiaye, père du mari de Fatou Bintou Seck – [petite sœur de la Première Dame Maréme Faye] est nommé Ministre-conseiller, dès après la prise de fonction du Chef de l’Etat. La même Fatou Bintou Seck [sœur de Marème Faye] pourrait être Sénatrice et si plus affinité, Vice-présidente du Sénat, au mois de septembre.

Quant au frère direct du Chef de l’Etat, Aliou Sall, il se tient volontairement éloigné des affaires d’Etat. Au grand bonheur de Macky Sall…

La triple vérification est une règle élémentaire dans notre métier. C’est pourquoi Le Pays au Quotidien a interpelé deux voix autorisées au Palais de la République : il s’agit respectivement du Porte-parole Abou Abel Thiam et du Conseiller spécial El Hadji Hamidou Kassé. Le premier évacue avec finesse: «je ne suis pas au courant de ces nominations». Le second clôt avec certitude: « ce sont des conjectures qui sont quasi-impossibles à vérifier ». Nos multiples tentatives pour joindre d’autres proches collaborateurs de Macky Sall, comme son Conseiller spécial, Cheikh Sakho et surtout les personnes concernées ont été vaines.

Parmi les personnalités citées plus haut, il faut reconnaître que beaucoup ont le mérite et la compétence. Il n’y a aucun mal à se faire du bien…

Dévolution familiale du pouvoir- « Qui aime l’arbre aime la branche ».

Dans les années à venir, Idrissa Seck, Khalifa Ababacar Sall, Youssou Ndour, Aïssata Tall Sall, Cheikh Bamba Dièye, Cheikh Tidiane Gadio, Modou Diagne Fada, Karim Wade, Malick Gackou, Abdoulaye Baldé, Aliou Sow, entre autres, seront des adversaires potentiellement irréductibles du président Macky Sall. En politique comme à la guerre, il est suicidaire de se tromper de terrain, de combat et d’adversaire. Après avoir conquis le pouvoir suprême, on le conserve en pensant à la réélection. Les challengers de Macky Sall, sur le chemin de la confirmation électorale, seront exclusivement ceux qui auront su se forger et préserver un destin national.

En revanche, pourront toujours agir, ceux qui peuvent revendiquer un passé glorieux, ceux qui présentent un état de service digne d’estime et un tableau de chasse politique de bon aloi (c’est le cas, entre autres, de Moustapha Niasse, Pape Diop, Djibo Leïty Kâ, Iba Der Thiam, Mbaye Jacques Diop, Ousmane Tanor Dieng). Hélas pour eux, ils ne pourront plus mordre. Il leur manquera l’appétit de la fonction et la passion de la mission. Très vite, des loups, bien affamés, rôderont ostensiblement dans le périmètre de la mêlée électorale. Deux possibilités s’offriront alors au successeur de Wade : satisfaire pour de bon leur appétit ou les gaver jusqu’à l’indigestion. L’appétit vient, dit-on, en mangeant. La soif, par contre, s’en va en buvant…

Pour le moment, le chef de l’Etat devra composer avec certains de ses alliés déjà encombrants, tenir à distance respectable et surveiller quelques autres et circonvenir le dernier tiers. Et ne jamais perdre de vue, que les peuples, en ce siècle de vitesse et d’exigence, sont devenus versatiles. Le peuple sénégalais cultive l’intrigue avec un art qui frise le paradoxe. Il est aussi prompt à punir qu’à pardonner. Dans un an, deux peut-être, les Sénégalais célébreront mezza-voce, puis ouvertement, leur ancien président, Me Abdoulaye Wade. Il ne faut pas s’étonner si, au même moment, ils brocardent Macky Sall qu’ils ont plébiscité dans les urnes et porté au pinacle. Les électeurs et, au-delà, les peuples adorent détester ce qu’ils ont aimé.

En fait, nous sommes un peuple émotif, lunatique et complexe. « Nous sommes tous des Bantous ». D’un chef d’Etat en fonction, un Bantou ne retiendra que ce qui ne roule pas [les affaires ne vont pas bien]. Si l’immobilisme triomphe, Macky Sall deviendra rapidement impopulaire. Exactement comme François Hollande : au centième jour, il a vertigineusement baissé dans les sondages. D’un ancien chef d’Etat, ce même Bantou ne reviendra que sur ce qui roulait fort bien [les bonnes affaires allaient vite]. Nonobstant les scandales, fort regrettables et choquants. « Enrichissez-vous ! », semblait dire Abdoulaye Wade. Le business n’est pas un pêché : là où il y a le miel, il y a des mouches. Aujourd’hui, Macky Sall sort le sabre et monte sur son cheval de bataille : « Justifiez votre richesse ! » Comme si la richesse était en soi un délit ou un crime. Or, l’investisseur, d’où qu’il soit, n’aime pas la lumière. L’argent n’aime pas le bruit.

Wade avait organisé et planifié l’insolvabilité historique de Abdou Diouf et l’avait même raturé du roman national. C’est bien après, qu’il enverra à l’éditrice (la Nation), un long chapitre de rattrapage. Quant à Macky, il s’est embarqué prudemment dans une entreprise de réhabilitation de Diouf qui est, pour lui, une figure apaisante et rassurante face à la montée des périls socio-économiques et devant les servitudes et probables ingratitudes en politique. Macky voudra subtilement ressembler à Diouf, comme Wade copia furieusement Senghor. C’est bien connu : un nouveau président s’oppose, en permanence, à son prédécesseur. Au demeurant, entre Wade et son « fils » Macky, il y a un point commun. Pour le premier, on évoquait avec conviction le projet de « dévolution monarchique du pouvoir ». Le point faible du Papy ; tandis qu’avec le second, le plan de dévolution familiale du pouvoir est, d’ores et déjà, en gestation. Depuis le 25 mars 2012, le Sénégal n’est-il pas tombé de Charybde en Scylla puisque la rupture, tant vantée, prend hélas, les allures de la continuité. La patrie, le parti, mais, avant tout, la famille…

lesenegalais.net

10 Commentaires

  1. Belle article. C’est les journalistes et le M23 qui parlaient de dévolution monarchique qui ont à se poser des questions sur leur bonne foi s’ils restent inertes. En tout cas, nous ne comtons pas sur un Abdou Latif COULIBALY ou un Alioune FALL ces jour -nalistes qui ont brisés leur plum.

  2. MONSIEUR LE PRESIDENT QU ENTENDEZ VOUS POUR CHANGER LES DG ET PCA LIBERAUX DES SOCIETES D ETAT AGENCE ET OFFICE COMME LA POSTE -SNR –
    CNQP-ONFP…VOUS NOUS L AVIEZ PROMIS ET EN TANT QUE NTS J ATTEND AVEC IMPATIENCE DES CHANGEMENTS AU SEIN DE CES STRUCTURES
    1 NTS

  3. Oye, c´est bien écrit le texte, mais nous ne sommes pas des bantous, au moins au Sénégal. Nous sommes des africains de type soudanais, les bantous sont de l´Afrique centrale et australe.

  4. Le présent serait, hélas, plein de promesses de ruptures attendues,si le passe fait de pratiques honnies et décriées a juste raison,n y projetait son ombre.
    l écho des voix et les plumes les plus prestigieuses de nos analystes et observateurs politiques,résonnent encore dans tètes.
    Ces voix qui ont fustige, sur toutes les latitudes,la consanguinité au service de l exercice du pouvoir ne sont pas éteintes. Nul doute qu elles vont bientôt tonner a nouveau pour contribuer a remettre les pendules a l heure.

  5. IL Y AVAIT 14 CANDIDATS, LES GENS ONT VOTE POUR MACKY.DANS 5 ANS, S’IL NE FAIT RIEN QUE NOMMER SES PROCHES, LES ELECTEURS VONT L’ENVOYER AU CHOMAGE COMME ON L’A FAIT AVEC WADE.C’EST AUSSI SIMPLE QUE CELA.

  6. je dis que en tant que homme très proche du pouvoir…je sais q c judicieux ce qu’il a fait..Le pouvoir avec les secrets d’etat, les pièges et les mystiques, il faut prendre un proche…D’ailleurs, c’est la sécurité meme qui conseille au president de le faire…
    Secundo, quand le president souffrait dans l’opposition, ce sont ses noms qui l’avaient soutenu..Et pourtant il a nominé plusieurs personnes…
    D’ailleurs, ces gens choisis sont trè competents…
    Macky a fait un choix judicieux…

  7. je l’attends d’ici trois ans pour un bilan…Pour moi, un régime doit être jugé après 3ans au pouvoir…J’attends de lui l’allègement de la vie chère, la finition des chantiers, les audits et l’application des assises nationales…
    Pour le moment,il faut le laisser faire..Je pense que ces nominations peuvent apporter quelque chose à la bonne marche du pays.Pour le moment, il est sur le bon chemin selon mes constats.
    Merci et soyons un peu plus positifs

  8. trop fort cet article du journal le pays. Il aurait été plus simple de nommer toutes ces personnes à des postes plus juteux comme Wade père l’a fait pour Wade fils.La prochaine fois vérifiez vos sources je suis sûr que les principaux concernés cités dans cet article n’ont jamais été contactés. Karim parle à tes employés du journal le pays toi l’ancien ministre du ciel et de la terre

  9. Assalamou aleykoum
    Je veux creer une association d’entraide pour venir en aide,assister,construire,appuyer nos compatriotes senegalais.Une cotisation mensuel a partir de 1OOfcfa.Toute personne desirant etre membre ou voulant apporter son aide,son soutien,son don est prier de nous contacter:facebook:solidarite au senegal ou [email protected]
    Bienvenue aux suggestions et critiques aussi

  10. Attention monsieur le Président, il y a du bruit dans les rangs »
    Jeudi 23 Août 2012 – 22:16
    C’est avec une très profonde désolation que nous constatons avec vous, que notre très chère Patrie « Sunu-Gal », est sous l’emprise de groupes d’intérêts qui n’ont rien à envier à la Mafia sicilienne. En effet, le Peuple sénégalais ainsi que ses deniers, sont à la merci d’une bande de tartuffes dont la seule motivation, est le partage du butin.

    Le Président de la République semble royalement ignorer l’assertion tant aimée de son mentor, « mieux vaut avoir des ennemis intelligents que des amis fous ». En se sentant redevable envers les siens, « gérants de stations politiques », « terroristes médiatiques » et autres, le Président Macky Sall se constitue indéniablement, un lourd chef d’accusation devant le « Tribunal du Peuple », au terme de son mandat. Le concept du « fekke maci boole », à ne pas confondre avec un mouvement du même vocable, a fini de faire de la plupart des acteurs politiques du Sénégal, des « Moor Ndajje», des hommes et des femmes dépourvus de toute Conviction, d’Ethique et de Connaissance profonde de leurs pratiques. Le culte de l’excellence et du travail honnête est presque érigé en contre-valeur, en faveur de la démagogie et de l’appartenance politique. Les disciples de Machiavel li font la pluie et le beau temps, au détriment d’honnêtes citoyens sénégalais, dont le seul tort est d’avoir refusé d’être le « bétail » de la gent politique.
    Dans ce qu’il convient désormais d’appeler « l’affaire Sheikh Bethio Thioune », nous avons noté des zones d’ombre, qui nous permettent de réfuter purement et simplement, le plaidoyer du Parquet. Nous ne sommes pas sans savoir que la sortie prématurée du fameux Procureur, Chef de la chambre d’accusation et auxiliaire du ministère de la justice, pour faire le procès de Sheikh Bethio Thioune, avant même que la gendarmerie ait fini d’entendre les présumés témoins, est une violation flagrante de la présomption d’innocence. Ce forfait ne saurait avoir lieu, sans que le Procureur n’obtienne l’avis de son ministre de tutelle, et que ce dernier ne recueille l’instruction du Président de la république. Ce préalable juridique ou hiérarchique, nous permet d’évoquer un « procès d’intention », visant non seulement Sheikh Bethio Thioune, mais aussi à travers lui, toute autre autorité religieuse qui s’aventurerait à mettre la main dans le choix des dirigeants des destinées de la Cité.
    Pour détourner l’attention de l’opinion nationale et internationale de la consécration ignominieuse de Moustapha Niasse à la tête de l’Assemblée Nationale par le Président Macky Sall, Messieurs et Mesdames les pourfendeurs de la Vérité et de la Justice, indexent le bémol en utilisant SHEIKH BETHIO THIOUNE, sous prétexte de la « Reconstitution des attentats de Madinatoul Salam » le 30 Juillet 2012. Ce feuilleton digne de Molière, a pu déceler et démanteler la mauvaise foi du Parquet aux yeux de tous les observateurs avertis, à travers son procès verbal dont le Chef de la chambre d’accusation ou « d’inculpation », a sciemment fait omission pour refuser et récuser, non pas la liberté provisoire, mais l’acquittement pur et simple ou le non-lieu total. Sheikh Bethio Thioune ne saurait être responsable des actes commis par des personnes majeures et matures, qui ont d’ailleurs reconnu en toute responsabilité, leur forfait. Par conséquent, nous portons à l’attention de tous les concitoyens, et particulièrement a celle du Président de la république, que « face à l’oppression, l’existence est un droit, la résistance un devoir ». Nous demandons à tous les militants de la Justice et partisans de la Vérité, d’exiger la publication du procès verbal de la reconstitution des « Attentats de Keur Samba Laobé ».
    Contrairement à la tentative de diabolisation dont il ferait l’objet, Sheikh Bethio Thioune est victime de son courage, de sa vivacité d’esprit, et de sa conviction sans faille en Borom Touba Khadimou Rassoul (psl). Cela crée forcement de la jalousie chez d’aucuns, et indispose tant d’autres L’intelligence et la subtilité d’esprit de Sheikh Bethio Thioune face au bataillon blindé du G.I.G.N. et de la L.G.I., lui ont permis d’éviter de justesse, le sort qui a été réservé à feu Khadim Bousso dans la Capitale de la Mouridya. Qui aurait pu croire que le Serviteur de Serigne Saliou Mbacke, serait en détention préventive sur de fausses accusations, sous le regard amorphe de toute une communauté ? Qui aurait pu croire que l’on retirerait un simple véhicule 4×4 au Khalife de Sheikh Ibrahima Fall, sous prétexte de restituer les biens de l’Etat? . C’est drôle, voire même ahurissant de constater, combien l’histoire nous apprend que les hommes n’apprennent rien de l’histoire. Le Président Macky Sall doit s’approprier le leitmotiv de Lénine, « la politique s’intéressera toujours à la religion, aussi longtemps qu’elle restera dans le cœur des citoyens ».
    Les détenteurs des deniers publics ou voleurs de la république, sont les premiers à crier « Au voleur ». Nous insistons sur ce que nous avons appelé, le « Procès de la Réconciliation Nationale », afin de situer toutes les responsabilités dans la gestion des deniers publics. Nous n’accepterons absolument pas de procès partiel ou partial, visant particulièrement et exclusivement, une personne ou un groupe de personnes. Nous sommes convaincus, que la banqueroute socio-économique et même politique du Sénégal, est un long processus qui couvre la période de 1960 à nos jours, les auteurs de ces malversations, restent toujours impunis, et d’aucuns prétendent même à la magistrature suprême.
    La déclaration de patrimoine, n’est absolument pas un supplétif à l’enrichissement illicite, encore moins à la détention illégale de fonds. La procédure inquisitoire doit être privilégiée et renforcée, afin de faire comparaitre tout l’attelage étatique et gouvernemental devant l’Assemblée nationale et autres juridictions, pour justification de biens (comptes bancaires, habitats, bétail…), à l’entrée comme à la sortie de l’appareil. Nous faisons honneur au Président de la république, « charité bien ordonnée, commence par soi-même ». Nous espérons de tout cœur, qu’en bon toucouleur de tradition sérère, le Président ne saurait être moins qu’un fervent militant de la Justice impartiale, et un infatigable partisan de la Vérité immuable.
    A suivre…

    Papa Latyr Faye
    MBA International Development Consulting
    [email protected]
    “Justice to the Righteous-Rule of Law” (Justice aux Ayants droit-Force à la Loi).

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