Lancement de la Nouvelle Alliance pour la Sécurité Alimentaire (Nasan) : Un partenariat public-privé pour booster l’agriculture

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Xalima newsPlusieurs facteurs contribueraient à booster notre agriculture, selon le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural. Il s’agit, entre autres, de la facilitation de l’accès à la terre, des mesures fiscales devant tenir compte de la spécificité du secteur agricole, la consolidation du Fonds de garantie pour les investissements prioritaires (FONGIP) et de l’élévation du niveau du crédit-bail en faveur des équipements agricoles. C’est pourquoi, la volonté du gouvernement d’accélérer la cadence de l’agriculture du pays étant  manifeste, selon le ministre Pape Abdoulaye SECK, la Nouvelle alliance pour la sécurité alimentaire (NASAN) a tout son sens dans le contexte actuel du pays.

Le ministre qui présidait, hier, l’ouverture de l’atelier de validation dans un hôtel de la place estime en outre que la NASAN regorge de potentialités, et est d’une importance capitale pour notre pays qui compte beaucoup sur son agriculture et sa sécurité alimentaire. La NASAN est un projet initié par les pays du G8 et des gouvernements des pays africains. Il a été lancé à Camp David aux Etats-Unis d’Amérique en 2012.

Selon le ministre, au Sénégal, l’idée est de permettre au gouvernement de mieux mobiliser des investissements privés dans l’agriculture. « À cet effet, notre département va mettre en œuvre les mesures nécessaires à la création d’un climat favorable à l’investissement du secteur privé dans l’agriculture et la nutrition« , souligne le ministre.

Aux yeux de Pape Abdoulaye SECK, le seul levier sur lequel notre pays peut s’appuyer pour arriver à une émergence économique est le secteur agricole. Le gouvernement du Sénégal est partant pour un partenariat public-privé mutuellement avantageux et fondé sur des impératifs d’excellence. « Et le gouvernement compte favoriser et amplifier les initiatives privées porteuses de progrès« , assure le ministre.

 Lu dans LIBERATION

1 COMMENTAIRE

  1. Le paradoxe, c’est que nous misons sur l’agriculture alors que nous peinons à gérer trois mois de pluie! Le paradoxe, c’est que nous souffrons des inondations alors que nous avons soif! Le paradoxe, c’est que notre population est majoritairement jeune alors que d’immenses terres de notre pays sont inhabitées, inexploitées! WHAT TO DO???

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