C’est au début de l’automne que les hirondelles sont reparties vers des contrées lointaines pleines de promesses. Il en est ainsi des hirondelles, elles sont libres et ne connaissent pas les frontières des hommes. Il y a quelques années je les ai vues arriver dans la réserve d’oiseaux du Djoujd sur les bords du fleuve Sénégal. Elles s’étaient posées sur la terre au bord de l’eau, épuisées, vulnérables. Elles ont attendu que leur rythme cardiaque s’apaise et que leurs forces reviennent, puis elles se sont élancées vers le ciel pour participer aux ballets incessants des flamands roses, des canards rieurs, des aigles pécheurs et des pélicans
Ma France me fait peur
DEPECHES
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