Après la mort d’un jeune maçon à Sangalkam,le capitaine Pape Ibrahima Diop, Chef de la Division communication de la gendarmerie nationale, a fait une sortie pour donner la version de la maréchaussée dans les évènements survenus ce lundi à Sangalkam et qui ont couté la vie à un jeune père de famille de 30. Voici la version de la gendarmerie.
Ce 30 mai à 10 heures 45 minutes, la brigade de gendarmerie de Sangalkam a été la cible de nombreux manifestants fortement armées et résolument décidés à en découdre avec le personnel qui s’attelait à son service normal pour saccager les locaux de cette unité.
Devant cette situation grave et inattendue, les militaires de cette unité, conduits par leur commandant de brigade, ont cherché à sauvegarder leur intégrité physique et à protéger l’infrastructure, en attendant l’arrivée des renforts demandés.
Mais l’agressivité et la détermination, qui ont réussi entre temps à se faire rejoindre par d’autres personnes de la localité, étaient telles que les éléments de la brigade qui ont apporté une réponse graduée, ont été obligés de faire usage de leurs armes, conformément à la loi. Le résultat est que du coté des manifestants, un individu a malheureusement perdu la vie. Il s’agit d’un jeune sénégalais dénommé Malick Bâ.
Du côté des militaires de la gendarmerie, six éléments ont été grièvement blessés dont le commandant de brigade lui-même. Ils ont tous été conduits à l’hôpital dans la journée. Leurs jours ne sont pas en danger.
Il faut dire que cette manifestation déplorable semble s’inscrire dans un projet global de sabotage des symboles de la République dans cette localité en proie depuis quelques semaines à une tension récurrente, mais jusqu’ici contenue. Aussi, le siège de la communauté rurale, la sous-préfecture et la brigade de gendarmerie de Sangalkam sont-ils devenus les sites à conquérir pour essayer d’atteindre la République.
En tout état de cause, et sans préjudice des résultats de l’enquête en cours, la gendarmerie a fait face à une foule déchaînée, qui menait des actions et des voies de fait tendant à mettre en danger la vue des gendarmes. Ces derniers ont tenté autant que faire se peut, de défendre les locaux de la brigade contre l’attaque de manifestants armés de machettes, de projectiles et autres armes blanches, comme en témoignent les images qui ont été prises dans l’enceinte de la brigade.
Actuellement, des enquêtes judiciaire et interne ont été ouvertes pour situer les responsabilités. En ce moment le calme est revenu et la situation est maîtrisée.
nettali.net
le titre est de xalima
Monsieur Diop pensez une seconde au jour du jugement dernier Adouna Diarou yényi.
mr le chargé de com toi aussi daguay doul
si vrément les manifestant voulait sen prendre au vies des gendarmes il y aurai eu plus de morts pourkoi il seul dentre eux a eu utiliser son arme
si vrément leurs vies étaient menacés ils aurai tous utilisé leurs arme a feu
en plus pour atteindre sa cible a bout aussi portan ke son œil fau prendre le temps de bien viser
aussi la gendarmerie disposerai d’otres moyen de repression ke darmes a feu
en plus on est au sénégal la plus part des population non jamai vu une arme a feu a plus for raison dentendre sa détonation le sénégalais tien bokou a la vie donc si de besoin était fallait tirer en lair pour les sommer
kel était lutilité et lurgence de tirer sur lui a moins de le buter
kholal yalla thi liguéy wakh
ya salam