La Tribune fait ainsi valoir que ‘’le commissaire Cheikhna Cheikh Sadibou Keïta est exposé à toutes sortes de représailles’’, en attendant les résultats du rapport d’enquête commandé sur cette affaire. ‘’Entre le marteau des narcotrafiquants et l’enclume du camp qu’il a accusé, l’ex-boss de l’Office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants (ORCTIS), doit surveiller ses arrières et ses atours, écrit ce quotidien.
La Tribune ajoute, dans son commentaire du jour, que ce ‘’scandale inédit (…) devrait être la voie royale pour remettre les choses à l’endroit’’, au moment où le journal Le Quotidien, se faisant l’écho de certaines organisations dont l’ONG Amnesty International, estime que le commissaire Keïta ne doit pas être l’agneau du sacrifice.
‘’Que la justice fasse son travail jusqu’au bout et que les coupables soient châtiés. Ainsi se résume le point de vue de la Ligue sénégalaise des droits humains (LSDH) et de la section sénégalaise d’Amnesty International sur l’affaire de drogue dans la police’’, rapporte ce journal.
Si vous voule régler ce probléme commencez par chercher une justice non corrompue, n’est ce pas?
Ce Commissaire est un dur à cuire , ce ne sont pas des salopards , trafiquants de drogue qui vont l’impressionner!
Et d’ailleurs, comment des étrangers , hors la loi de surcroît , viendraient-ils faire la loi Chez-nous ?
La peur devrait plutôt être dans le camp de ceux dont les mains ne seraient pas propres et pas chez ceux qui sont vertueux !