Redémarrer le « Train du peuple » pour l’Indépendance Nationale, la République Démocratique
et Citoyenne de Justice Sociale.
Ce « train » a pris son départ au référendum de 1958 avec comme pilotes, les défenseurs du « NON à la France », afin d’acquérir l’Indépendance Nationale des peuples africains, sous domination coloniale Française en Afrique Occidentale (AOF), et en Afrique Equatoriale (AEF).
Depuis lors, ce « train » a traversé des « gares », où à chaque fois, des membres de l’équipage et certains passagers descendent, pendant qu’autres prennent leurs places pour continuer vers la destination finale.
Et c’est en 2000 que le train, arrivé en « gare », a vu », pour la première fois de l’histoire de notre peuple, les membres de son équipage, descendre pour « chasser les occupants de gare, et les remplacer, tout en procédant au « démantèlement » du moteur de la Locomotive pour l’empêcher de poursuivre son chemin vers sa destination finale.
Le moteur n’a pu être réparé qu’en Mai 2008, après la tenue des « Assises Nationales » des Forces vives de la Nation, pour qu’il reprenne son chemin jusqu’à la « gare du 23 Juin 2011 », où l’équipage de la locomotive fut renforcé par de nouveaux membres, et les passagers reçurent de nouveaux compagnons, pour continuer ensemble le voyage à destination de la « gare de 2012 », en reproduisant , pour la seconde fois de notre histoire, le scénario de 2000, en débarquant les occupants de la « gare » pour les y remplacer, mais avec comme tâche nouvelle, de « moderniser » le train et sa locomotive, pour qu’il puisse repartir à plus « grande vitesse », et en plus « grande sécurité » vers sa destination finale.
Mais certains membres de membres de l’équipage et certains passagers ont voulu répéter le scénario de 2000, pour empêcher que le train soit réparé, pour qu’il reste définitivement en gare.
Cependant, puisque la « modernisation » du train et de la locomotive avec le « Train Express Régional » (TER), est à un stade avancé en 2019, des membres de l’équipage et un certain nombre de passagers s’attellent alors à « saboter les rails », en proposant des réformes qui ramènent les « voyageurs » dans les années 80, lorsque de nombreux obstacles jalonnaient le parcours du train pour l’empêcher d’atteindre sa vitesse de croisière jusqu’à la « gare de 2000 ».
C’est ainsi que dans le cadre du « Dialogue National » auquel le « Pilote du Train, et Chef de « gare » en même temps, a appelé pour éclaircir l’horizon, que certaines propositions de réforme sont agitées, comme, entre autres, la limitation du nombre « d’ayants droit » pour prétendre être membre de l’équipage, sous prétexte qu’ils sont « pléthoriques » ( limitation du nombre de partis), le changement du mode de désignation des « contrôleurs de base du train » ( élection du Maire et du Président du Conseil départemental au suffrage universel direct), la confusion des désignations des « contrôleurs de base » et « des contrôleurs supérieurs » ( jumelage des Locales et des Législatives), et même, le jumelage de la désignation des « contrôleurs supérieurs avec celle du pilote du train » (jumelage des Législatives et de la Présidentielle).
Pourtant, les passagers savent, que si le « Train du peuple » a pu arriver à si bon port , à la « gare de 2019 », c’est bien grâce à sa lutte acharnée, jonchée de lourdes privations et même de sacrifices, pour obtenir le respect de la liberté de compter parmi les « ayants droit », et la clarté des modes de désignation des « contrôleurs de base », des « contrôleurs supérieurs », et du « Pilote », favorisée par leur stricte séparation, dans un calendrier connu d’avance et respecté.
Ainsi, ces propositions de réforme sont de nouveaux obstacles pour maintenir le train en « gare », et remettent en cause, tous ces « acquis des voyageurs » en la matière, depuis le « départ du train » en 1958, pour l’amener jusqu’à la « gare 2019 ».
Et pour mieux inciter les « ayants droit » à « rester en gare » et à renoncer à continuer le voyage, un « financement public leur est promis », et pour ceux d’entre eux qui ne sont « pas membres de l’équipage », ils auront un « Chef » qui sera doté d’un « statut spécial » et d’un « financement » approprié pour que tout le monde renonce à reprendre le train.
Pourtant, ceux qui conseillent, de l’étranger, à entreprendre ces réformes pour « rester en gare » en renonçant à la destination finale, sont ceux-là même contre lesquels, le « train du peuple » a démarré en 1958 pour l’accession des « passagers à leur souveraineté nationale », pour construire une République Démocratique et Citoyenne de Justice Sociale, afin de prendre en main leur destin.
Surtout qu’avec les nouvelles richesses naturelles découvertes dans les environs de la « gare de 2012 », ces « Conseillers étrangers », pour s’en approprier, ont convaincu un certain nombre de passagers et de membres de l’équipage, que le train avait déjà atteint sa destination finale.
Donc, le défi auquel sont confrontés les « Participants au Dialogue National » qui veulent faire « repartir le train » vers sa destination finale, qui est la « République Démocratique et Citoyenne de Justice Sociale », c’est de se retrouver pour parachever la « modernisation du train », mettre hors d’état de nuire tous ceux qui veulent « saboter les rails », et ensuite remonter à bord en laissant à quai tous ceux qui ne le souhaitent pas».
Pour ce faire, la « Confédération pour la Démocratie et le Socialisme » (CDS), qui est l’héritière des passagers et des membres de l’équipage du « train de 1958 », et tous ceux qui ont fait le voyage avec elle dans BBY, et même ceux qui ont rejoint le train depuis 2012, sont interpellés par l’Histoire, pour relever ce défi du siècle.
Ils ne peuvent pas laisser que les sacrifices de tant de générations pour amener le « train à la gare de 2019 », soient vaines, et que les espoirs des générations futures pour arriver à destination finale, soient hypothéqués par l’égoïsme de ceux qui veulent rester à quai.
Le « train du peuple » doit repartir pour continuer son chemin historique !
Ibrahima SENE PIT/SENEGAL
Dakar le 23 juin 2019
Si les Assises Nationales sont si vitales a ton train stupide, pourquoi ne les applique t-il pas?
Ibrahima Sene a perdu la raison et c’est vraiment triste de le voir tomber si bas.
Dommage, tres dommage!
Si les Assises Nationales sont si vitales poourquoi « le chef de gare » ne les applique t-il pas?
Ton train stupide, a l’image du TER, est en panne.
Ibrahima Sene est tombe bien bas. Dommage!Tres dommage!
Mr Sene tu es tout simplement desesperant!Depuis que tu es a la soupe ,ton masque est tombe.Tu defends une chose et son contraire au grand bonheur du « Macky »!!!!
La gare, le train, la locomotive, le rail, le chef de gare, cheuteuteut!! Le degré zéro de la prose pseudo militante. Quand on est incapable de mener les vrais combats pour la libération de son peuple, quand on est le valet du premier préfet de la France, ne vaut-il pas mieux se taire que de forcer une tribune ferroviaire d’une platitude indigne?
Cette métaphore ferroviaire est proprement insipide et ridicule !
Quelle déchéance M. sene. Ridicule, pitoyable pour un ex communiste devenu libéral par la force tiompaal.
Avant d’avoir sa part du gâteaux Sène Ibrahima dont Wade disait qu’il est nul , incapable d’être ministre de quoi que ce soit, cassait du sucre matin midi et soir sur Macky Sall. Ce dernier, pour se protéger contre les actes d’acrimonie de Sène a fini par lui donner quelque chose. C’est cela la politique au Sénégal, quand on sait que peut d’entre-nous avons plus d’un million de demi de FCFA pour vivre à l’Européenne au Sénégal. Ces gens là, seraient incapables d’être heureux sans avoir au moins 3 millions chaque mois.