[Chronique] L’autre coup qui assomme la vision diplomatique de Wade. Par Abdoulaye Mbodji

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Pendant soixante douze heures le président des Etats-unis, Barack Obama, accompagné de sa famille, son épouse, sa fille et sa belle mère, ont séjourné au Sénégal. Au delà de la forme, accueil grandiose à la mesure de la personnalité de l’homme, visite à Gorée, rencontre avec des président de cours suprêmes de certains pays africains, conférence de presse conjointe des deux présidents, pour ne citer que les faits saillants, c’est le fond de cette visite qui nous intéresse. Obama n’est pas n’importe qui, c’est une lapalissade que de le dire me diront d’aucuns. Mais tout de même. Le locataire de la maison blanche, nous rapportent les spécialistes de cette imposante bâtisse, par ailleurs construite par nos vaillants ancêtres « esclaves », l’équivalent de notre palais présidentiel, reçoit chaque année des milliers d’invitations de chefs d’états .Pour autant il ne les honore pas toutes, ces invitations. Et pour cause. Les choix des pays à visiter répondent à des critères objectifs. Aux yeux de l’administration américaine le développement économique, politique, social et culturel s’appuient obligatoirement sur une béquille incontournable: l’arrimage du système de gouvernance aux valeurs démocratiques, aux principes de la transparence de la gestion des affaires de l’état, aux respects des droits de l’homme. Surnommé (s) gendarme(s) du monde, les états-unis sont très attachés aux valeurs de la démocratie, fondement indiscutable de toute stabilité. C’est dans ce cadre que s’inscrit la logique intrinsèque de cette visite qui le conduira, après le Sénégal, en Afrique du Sud et en Tanzanie. Pays classé avancé, notre pays, cinquante fois plus petit que les états-unis, a vu le blason de sa diplomatie complètement redoré depuis seulement un an maintenant. Activation de la cour de répression de l’enrichissement illicite, respect des institutions étatiques et des droits de l’homme, transparence dans la gestion des deniers publics, volonté affichée de combattre la pauvreté, indépendance de la justice, respect de la liberté d’expression, respect de la laïcité, bref une politique qui a remis l’homme au cœur des orientations programmatiques de la politique du gouvernement. Mais ce combat fût loin d’être facile. Le gouvernement actuel a hérité à son arrivée au pouvoir d’un pays qui a profondément souffert de la zizanie de ses dirigeants précédents, de leur ponce-pilatisme, de leur gestion gabegique des affaires de l’état, de l’écrasement des valeurs de la démocratie, de son image diplomatique désastreuse tout au long des douze ans de pouvoir d’Abdoulaye Wade. Cette image profondément écornée de notre pays nous a valu pendant les douze ans de Wade une diplomatie calamiteuse sur la scène internationale. Relativement rayonnante pendant les magistères de Senghor et de Diouf, notre diplomatie a connu un passage à vide tout au long des douze ans de Wade. Alors qu’aussi bien dans la sous-région ouest-africaine que dans le reste du continent des soubresauts socio-politiques déferlaient dans plusieurs zones, la diplomatie sénégalaise a été inaudible. la rupture aidant, notre pays est désormais reparti sur des choix diplomatiques qui font entendre sa voix. Une vision nouvelle qui tranche d’avec celle inintelligente, illisible et invisible d’Abdoulaye wade.
Abdoulaye Mbodji
Journaliste (promotion 2005, ecole supérieure de journalisme de Paris).
obamamacky

9 Commentaires

  1. Decidement votre cecite intellectuelle ne fait point l’ombre du moindre doute.A ce demander si vous n’etes aller a l’ecole que pour decrocher le diplome de la calomnie.Pour votre gouverne Abdoulaye Wade est un monument historique bien different de vos pietres heros bon petits eleves de l’occident.Wade c’est le courage dans l’intelligence,l’infatiguable travailleur qui a su ouvrir nos yeux,nous faire rever qu’on comprenne que l’emergence peut etre aussi senegalaise.
    Oui un homme de rupture qui a mis fin a la diplomatie des suivistes pour activer une diplomatie economique en souvrant vers les pays emergeant pour redynamiser la cooperation sud sud.C’est extremement grave de lire un jeune de votre generation comme si vous etiez d’une autre nationalite.Obama une fois a dakar n’a pas manque de saluer le travail remarquable de ce grand batisseur qui ne fait aucun compromis face aux interets de son pays .Vous devriez plutot vous en inspirer et arreter cette incoherence.

  2. État de droit, gouvernance vertueuse, transparence, etc. à l’épreuve des faits.
    « Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde. »

    Un recteur qui ignorait royalement l’autonomie des structures et les lois du Sénégal, avec une gestion hors norme tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l’Enseignement Supérieur de la Recherche, sans autre forme de procès. Les faits avérés qui lui sont reprochés sont d’une telle gravité qu’il ne doit certainement son « salut » (c’est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que grâce la transhumance du PDS à l’APR à la 25ème heure. Les « amis » avant la patrie.

    Sauvons nos universités publiques du naufrage.
    (leral.net 9 oct. 2012 de Citoyen)

    Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l’enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l’UNESCO. Nos instituions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management ([b]mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.[/b]) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire ([b]avantages indus, intimidations, etc.[/b]), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.

    Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s’évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d’existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l’inaction de l’État.
    En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.
    A l’État de faire l’état de la gestion de ceux qu’il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.

    L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d’enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.
    Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d’être juge et parti.
    Il n’est jamais trop trad pour bien faire un devoir citoyen.

    ———————-kathior, 24 novembre 2012 00:18 de nettali —————-
    DÉCLARATION SAES

    La section SAES-UGB s’est réunie en AG ce jeudi 11 octobre 2012 en vue d’évaluer la situation qui prévaut en interne au sein de notre institution universitaire.
    Devant le constat :
    d’une situation générale de mal gouvernance,
    de non fonctionnement des structures et directions démultipliées,
    de non respect des textes universitaires,
    de mauvaise gestion des deniers publics alloués à l’UGB,
    de la dégradation des conditions de travail,
    de recrutements massifs et clientélistes de personnels non prévus dans le budget en cours,
    de retard dans le paiement des salaires et de retenues sur salaires non versées.
    L’Assemblée Générale de Saint-Louis condamne avec la dernière énergie le mode actuel de gestion du Recteur Mary Teuw Niane….

    L’Assemblée générale, note avec indignation, désolation et amertume que le Recteur de l’UGB n’a respecté aucun des engagements qu’il avait pris lors de ses dernières rencontres avec le bureau de la section SAES.
    Ainsi, l’AG exige :
    le respect des textes en vigueur sur le recrutement de personnels enseignants non titulaires,
    le paiement sans délai de toutes les sommes dues :
    Heures Complémentaires du second semestre,
    perdiem de voyage d’études aux ayant droits restants,….
    le versement effectif des prélèvements opérés sur les salaires des enseignants au profit de certaines institutions financières,
    le paiement effectif des sommes dues aux institutions sanitaires,
    L’AG regrette la lecture partielle ou contextuelle que le Recteur fait des textes qui nous régissent. Elle insiste sur l’urgence de la situation désastreuse dans laquelle se trouve l’UGB et interpelle les pouvoirs publics sur la nécessité d’auditer les fonds alloués.
    Nous restons mobilisés pour la sauvegarde et la défense de notre institution.
    Vive l’Université sénégalaise, vive le SAES.

    Fait à Saint-Louis le 12 octobre 2012.
    L’Assemblée Générale
    ————-
    SYNTUS (Syndicat des travailleurs de l’UGB de Saint louis).
    Saint Louis, 22/06/2012.

    APPEL A LA COMMUNAUTÉ CONTRE LES DÉRIVES D’UNE GESTION SOLITAIRE.

    Depuis quelques années la gestion solitaire, le subjectivisme, le népotisme et les règlements de compte sont monnaie courante a l’UGB. Dans la vie des établissements ( UFR LSH, CCOS…) comme dans la gestion des ressources humaines (recrutement, traitement salarial, nominations) les exemples ne se comptent plus. Retraits de prérogatives, mises en quarantaine et tentatives d’humiliation sont le lot de ceux et celles qui qui refusent de marcher au pas et qui ont osé faire face.

    LE SYNTUS FERA FACE COMME PAR LE PASSE.

    Nous avons toujours préfère le dialogue social constructif a la confrontation. C’est pourquoi depuis la tentative avortée de licenciement dont certains de nos camarades ont été victimes en 2010 et toutes les tentatives vaines de déstabiliser notre syndicat, nous avons voulu rester sereins et positifs.
    Seulement la récidive dans l’irrespect et le manque de considération à l’ endroit des travailleurs y compris certains de ces collaborateurs attitres, du Recteur, mettent gravement en péril la gestion démocratique et la justice sociale.
    C’est pourquoi sentinelle au service exclusif de l’institution, le SYNTUS est résolu a faire face pour réinstaller la confiance et la joie de travailler ensemble toutes composantes confondues au développement concerté de l’UGB.

    VIVE LES SYNTUS, VIVE L’UGB.
    L’Assemblée générale
    _

  3. Un texte de plus comme preuve de l’avènement de la nouvelle race d’intellectuels en vogue au Sénégal depuis Mars 2012. Force est de constater qu’une nouvelle race de pondeurs de textes est née, particularités : Une malhonnêteté intellectuelle qui frise le ridicule, un choix avéré pour le service du mensonge. De tous leurs textes, il est toujours possible de trouver des affirmations qui ne sont acceptables que venant d’un illettré. Malheureusement se sont des gens au masque d’intellectuels qui ont choisi d’être les porteurs de ces faussetés.Si Obama est grand, il ne l’est que par le haut degré de ses crimes. A Jean Marie Le Pen, le lobby juif français avait dit: « Faites un geste envers Israël et nous vous offrons la presse mondiale ». Le Pen n’a pas accepté. Résultat dés qu’il l’ouvre (sa bouche) se sont des pierres qui pleuvent. Ceux qui ont accepté d’être au service du lobby juif, pour la promotion de ses crimes? font la une des médias. Ce sont les gens médiatiquement corrects, ceux que les Abdoulaye Mbodji soutiennent par ignorance ou par complicité.Obama a signé son allégeance à Israël pour être candidat aux élections américaines et depuis, il continue de renouveler son allégeance, à chaque occasion.
    UN INTELLECTUEL SENEGALAIS, DIGNE DE CE NOM,A HONTE DE LA VISITE D’OBAMA.

  4. la visite d’obama est le fruit d’un long processus,dans cela il y a wade
    ce n’est pas que papiss cissé a marqué deux buts que les autres joueurs n’ont rien fait
    mon cher evite les raccourcis et ce style laudateur

  5. Vraiment Monsieur Mbodj vous etes nul. Comment Obama peut il recevoir des milliers d’invitations de Chefs d’Etat du monde entier, alors qu’il n’y a pas plus de 200 Etats dans ce monde? Voulez vous dire que chaque Chef d’etat lui envoie au moins pres ou plus d’une dizaine d’invitation par an pour faire les milliers dont vous parlez? Vos professeurs de journalisme n’auraient jamais du vous laisser quitter les bancs de l’ecole. Vous n’etes ni mur ni qualifie pour exercer ce metier exigeant et rigoureux. Laquais, ca vous irait mieux!

  6. Xalima publie encore ce texte?Mais enfin c’est aussi ca la democratie.Mr Mbodji allez revoir votre copie nous croyons enormement au Wadisme .Celui qui est deja passe a la tete de ce pays n’est qu’un lancement de ce qui deviendra l’une des plus grandes ideologies politico-economique de nos tropiques.
    Cheikh Ibra Fall disait ceci « KAGNE LAGNOUYE FAYE WAKH BAYI DIEUF ».Wade c’est un homme d’action mais aussi un laboratoire d’idees comme le disait president Chirac.Le fond pour la reduction du gap numerique,la case des tout petits,le badjenou gokh le plan sesame la multitude d’infrastructures scolaires(ex:19 lycees en 2000 87 en 2007) etc… Entre Wade et vos larbins de grands diplomates il n’ya pas photo.Le president Macky a tout interet de s’en inspirer plutot que de s’engoufrer dans une coalition perdante au change avec de vieux paresseux tres peu inspires a l’ouvrage.Je suis sidere de vous voir sortir des inepties du genre « la diplomatie sous Wade etait reste inaudible »,(le conflit soudano-tchadien,les crises mauritanienne,malgache etc)Sans oublier qu’il avait ete mandate par le president Diouf aupres de tchissekedi l’opposant de mobutu.Il faudra d’abord relever le defis de votre inculture avant d’insulter notre intelligence.

  7. Je suis étonné de la manière dont dans ce pays certains considère la diplomatie. Jamais dans l’histoire du Sénégal, la diplomatie sénégalaise n’a été aussi dynamique que sous Wade. Avec Wade, la diplomatie sénégalaise s’est impliqué dans plusieurs conflits et son travail a été déterminant dans les solutions adoptées. Les cas les plus emblématiques sont la Côte d’Ivoire et Madagascar. C’était une rupture notable par rapport à ce qui existait sous Diouf, c’est-à-dire, une diplomatie silencieuse voire atone. Car contrairement à ce que certains pensent, une diplomatie efficace est une diplomatie qui fait du bruit et s’impose ou même dans certains cas impose. Les Etats-Unis ou la Russie sont des exemples (les plus grandes diplomaties au monde) qui montrent que quand on s’implique on se fait entendre très fort, quitte à froisser quelques uns. C’est cette attitude noble que Wade avait adoptée. Monsieur Gadio alors ministre des affaires étrangère avait démontré que nous Africains, pouvions résoudre nos problèmes en s’inspirant des occidentaux. Son travail remarquable a été un cas d’école qui a impressionné plus d’un. Mais au Sénégal, on reste toujours dans des débats partisans. Là où il faut féliciter le Président et son ministre, on nous dit « qu’il parle trop », « qu’il prend parti »… Quelle est la grande diplomatie qui ne parle pas trop ? Quelle est la grande diplomatie qui ne prend pas parti ? Sûrement pas les Etats Unis ! Eh bien la méthode a été imitée ces dernières années par… Blaise Compaoré, qui compris à la suite de Wade que c’est une nouvelle forme de diplomatie qu’il fallait à ce continent pour réussir : le temps de négocier certes, mais aussi le temps d’imposer sa vision. On sait tous qu’il a imposé ses vues en Côte d’Ivoire et que il préférait Ouattara.
    La méthode Wade doit être poursuivie. Maintenant dire que Wade a échoué là où Macky Sall a réussi est archi-faux. Wade Président a reçu la plupart des grands dirigeants du monde, à commencer par le Président des Etats Unis. Et s’il était toujours Président, il aurait peut être reçu Obama. OUI ! Si Obama n’était pas réélu (ça pouvait arriver n’est ce pas ?), Macky Sall aurait peut être reçu le Président des Etats Unis, mais Obama (en tant que Président). Il y’a des circonstances différentes. Il se trouve que Wade n’est plus Président, donc il ne peut plus recevoir qui que ce soit en tant que Président. Il faut néanmoins préciser que Wade a été reçu plusieurs fois à la maison blanche (par Obama) dont toute une journée lors de la signature du MCA (il faut le rappeler car le Président des Etats Unis ne consacre pas toute une journée à n’importe qui).
    Donc ça suffit. On est pas là pour faire de procès de Wade, qui quoi qu’on dise a porté la diplomatie du Sénégal haut et fort. D’ailleurs, il se serait sûrement impliqué au Mali autrement que ne le fait Macky Sall en suiveur de la France. Macky Sall avait dit que le Sénégal ne s’engagerait pas au Mali avant d’être obligé par la France (comme d’autres Etats africains) a envoyé des soldats. Alors que que Sénégal, pays frère et ami du Mali devait être en première ligne, que fait notre diplomatie en ce moment sur cette question ? Elle est inexistante !
    Le problème c’est nous pensions que Diouf parce qu’il était « neutre » (en fait toujours derrière la France), le Sénégal avait une diplomatie. Macky Sall ne doit pas faire cette erreur. Il doit s’impliquer, donner une position claire, s’il faut prendre parti le faire, s’engager diplomatiquement et politiquement s’il le faut. Une diplomatie se fait entendre, sinon elle n’existe pas. Demandez au américains ou aux russes…

  8. Le même Macky Sall qui vient de déclarer à un journal ETRANGER(il faut le souligner) que « La demande de retrait de la base française était une erreur qui relevait d’un sentiment nationaliste quelque peu mal placé » Extraordinaire de descendre son prédécesseur et son propre pays à la face du monde. Je ne sais pas s’il le sait mais ça c’est une grave déclaration

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