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Docteur Abdourahmane Diouf, porte-parole du parti REWMI: « Macky Sall est en train de reprendre tous les transhumants et nous espérons que Dieu et les sénégalais vont arbitrer »

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Rencontré au siège de Rewmi sis au quartier Colobane (à l’Est de Rufisque) lors de l’installation du comité électoral du parti orange à Rufisque, le docteur Abdourahmane Diouf s’est ouvert à nous à bâtons rompus.

 Vous venez d’être porté à la tête du comité électoral du parti Rewmi dans le département Rufisque. Pouvez-vous revenir sur vos ambitions pour les élections locales à venir?
Je commencerai par remercier les militants de Rewmi, notamment les militants du département de Rufisque qui ont placé leur confiance en ma modeste personne. Je suis arrivé dans le parti il y a deux ans, j’ai fait le travail qui m’avait été confié. Je pense très sincèrement que la plupart d’entre les membres de Rewmi sont beaucoup plus méritants que moi. Donc, si aujourd’hui ils décident aujourd’hui de me placer à la tête du département de Rufisque, je leur rends hommage et j’accepte cette responsabilité. Comme je l’ai dit tout à l’heure, je ferai en sorte de mener à bien cette mission pour qu’ils soient totalement satisfaits.
Mon objectif c’est d’aller à l’assaut des douze collectivités locales du département de Rufisque et de faire des résultats plus qu’honorables. Nous allons présenter des listes partout avec une coalition et l’objectif c’est de donner une visibilité à notre parti, donner à notre parti une parcelle de pouvoir sur l’ensemble du territoire national pour participer à la résolution des problèmes des sénégalais. Maintenant par rapport à la coalition, nous en avons discuté au niveau national, nous sommes en train d’en discuter au niveau départemental. Notre objectif, c’est d’avoir la coalition la plus large possible pour travailler avec toutes les forces vives de la nation qui ne se reconnaissent dans la façon dont le pouvoir est exercé actuellement au Sénégal. Là, nous parlons à la fois du pouvoir central et du pouvoir local.
Le pouvoir local au niveau de Rufisque, ne donne pas entièrement satisfaction et nous sommes en train de proposer des alternatives. Nous proposons une coalition qui sera de type horizontale. Rewmi y sera avec ses forces, avec ses compétences, avec ses talents et avec ses forces de proposition. Mais, nous appelons tout le monde à venir discuter avec nous et discutons avec tout le monde. Les discussions ont bien commencé et nous en train de mettre en place ce que nous appelons le troisième pôle au niveau de Rufisque qui pourra faire face et à la coalition Benno Bokk Yaakar et à la coalition du maire sortant. Et je pense que si nous mettons en place toutes ces coalitions, forcément la victoire nous reviendra dans les douze collectivités locales du département de Rufisque et par de là, tout le Sénégal.
Concernant l’acte 3 de la décentralisation, vous dites avoir noté des incohérences notamment pour des villes comme Rufisque et Thiès. Quelles sont les observations que vous avez faites ? Pensez-vous que les dés soient pipés pour Rufisque ?
Les dés sont déjà pipés pour Rufisque et pour toutes les quatre autres villes. Il faut savoir qu’actuellement au Sénégal, il n’y a que cinq villes qui sont Dakar, Guédiawaye, Pikine, Rufisque et Thiès. Comme par hasard, Thiès est une ville où le Rewmi a une certaine hégémonie, Rufisque est aussi une ville où Rewmi essaie d’avoir une certaine hégémonie. Donc, c’est tout à fait naturel que nous nous posions des questions parce que dans une démocratie, les règles du jeu doivent être claires pour tout le monde. Les gens doivent savoir pourquoi ils sont candidats. Ce que nous redoutons aujourd’hui, c’est l’allocation des ressources qui devraient permettre à un maire de dérouler son programme, soit calibrée en fonction du futur vainqueur. Aujourd’hui à Rufisque, nous devons savoir quel est le taux d’allocation budgétaire donné à la ville. Dans le code des collectivités locales actuellement, on dit juste que les trois communes doivent se cotiser pour donner à la ville son budget. Ça peut être 1%, ça peut être 2%, ça peut être 50%. Ce que nous redoutons, c’est que si un candidat de l’opposition arrive à la mairie de la ville,  qu’on nous sorte une clé de répartition  qui fait en sorte que la ville soit extrêmement pauvres. Ils peuvent faire un décret disant que chaque commune va donner 100.000 francs à la ville et la ville aura 300.000 francs. Si par contre c’est un membre du parti au pouvoir qui arrive à la mairie de ville, ils peuvent dire à chaque commune de donner 1 milliard et la commune aura trois milliards. Donc, nous avons peur que la ville soit administrée en fonction du vainqueur. Et malheureusement, nous allons vers cela parce que ce décret de répartition des allocations financières ne sortira malheureusement qu’après les élections. Donc tant qu’on n’a pas encore déposé les listes, nous en faisons un combat. Il faut que dans une démocratie, on apprenne à être prévisible. Il faut que le président de la République, son premier ministre et le ministre de la décentralisation, nous disent quels sont les sorts de ces cinq villes. Il faut qu’on arrête la politique politicienne et donner à ces villes les moyens qui permettront aux futurs maires de pouvoir dérouler leurs programmes.
Un mot sur votre ancien frère de parti, le ministre Oumar Guèye qui a rejoint aujourd’hui l’APR. Il a eu à déclarer qu’il amenait avec lui l’essentiel des militants de Rewmi dans ses bagages. Partagez-vous cette opinion ?
Je ne sais pas de quoi vous parlez. Moi ce que je sais aujourd’hui, c’est que nous sommes une force politique très importante au niveau de Rewmi. Nous travaillons avec d’autres forces politiques qui sont aussi importantes. Nous avons des projets alternatifs que nous proposons. Nous ne sommes pas dans des débats de personnes. S’il y en a un qui part, y en a cent qui arrivent. J’ai dit ailleurs que pour tous ceux qui partent, je leur souhaite une excellente carrière politique. Nous nous occupons de nous-mêmes, nous avons des ambitions, nous avons un cap, nous avons un programme et nous allons y travailler s’il plait à Dieu.
Peut-on savoir l’opinion de Rewmi sur la cascade de transhumances à laquelle les sénégalais assistent ces derniers temps ?
Il y a deux volets qui me semblent importants par rapport aux transhumances. C’est le problème du non-respect des codes éthiques et moraux. Vous savez, la définition du code moral et éthique, c’est que ce n’est écrit nulle part, chacun a sa conscience. Nous considérons que dans une démocratie comme le Sénégal, les gens doivent avoir des convictions, ils doivent prendre des engagements en fonction de leurs convictions et y rester. Nous avons du mal à comprendre quelqu’un qui a combattu un président de la République jusqu’au soir de sa défaite et qui le lendemain se retrouve dans une posture de vouloir exercer le pouvoir avec celui qu’il avait combattu. Ce n’est pas éthique, ce n’est pas moral. Nous, nous  sommes dans un parti où l’éthique et la morale occupent une place particulièrement importante. Nous savons ce que les gens font pour gagner de l’argent, pour avoir des strapontins, pour avoir des privilèges, mais, nous refusons de le faire. Nous nous rendons compte que de plus en plus des gens adhèrent à notre discours. C’est-à-dire que c’est le discours du « ngor », du « fouleu », du « faïda », « took sa place khaar fa lii nga khamné moom lala Yaala diagleel ». Ce que nous sommes en train de faire, nous le continuerons.
Pour l’autre aspect, il faut savoir que même dans la gestion interne des partis politiques, ça pose problème. Je ne peux pas faire le combat à la place des militants de l’APR mais, c’est quand même désagréable de mener un combat pour un parti et de voir d’autres qui étaient en face de vous, il y a quelques mois auparavant, venir vous diriger dans votre propre localité. Cette forme de transhumance là est totalement exécrable. Nous n’y adhérons pas.
Pensez-vous que le président de la République soit en train de se faire une nouvelle majorité avec ces nouveaux transhumants ?
 
C’est l’ambition légitime du président de chercher une nouvelle majorité. S’il pense qu’il va y arriver avec de la transhumance, nous le laissons faire. Ce que nous savons, c’est que le président Abdou Diouf  à l’époque avait énormément de transhumants. A un moment donné, le parti d’Abdoulaye Wade était totalement vide, les sénégalais ont arbitré et ont donné le pouvoir à Abdoulaye Wade. Abdoulaye Wade a fait la même erreur qu’Abdou Diouf en prenant tous les transhumants du Ps. Les sénégalais ont arbitré et ont donné le pouvoir à Macky Sall. Macky Sall est en train de reprendre tous les transhumants et nous espérons que Dieu et les sénégalais vont arbitrer et vont donner le pouvoir à quelqu’un d’autre.
Les sénégalais se demandent si le président Idrissa Seck va bien vu sa longue absence de la scène politique. Y aurait-il quelque chose qui retiendrait ?
 
J’ai eu le privilège il y a juste une dizaine de jours à Paris de déjeuner avec lui, de passer avec lui toute la journée, de discuter avec lui des problèmes du Sénégal. Il est en très bonne santé, il travaille. Il dit que les sénégalais n’ont plus besoin de leaders chômeurs dont le travail c’est la politique ; cela ne nous intéresse pas. Chacun d’entre nous a un métier, il faut une part que nous donnons à notre famille, une part que nous donnons à notre parti politique, une part que nous donnons à nous-mêmes et une autre part que nous donnons au Sénégal. Idrissa Seck est en train de travailler. Ce que je peux vous dire et vous rassurer, c’est que tout ce qu’il fait est orienté vers la résolution des problèmes des sénégalais. Il reviendra très bientôt, il parlera aux sénégalais, il parlera à ses militants et tout ira bien incha allah.
dakaractu.com

19 Commentaires

  1. J’ai beaucoup de respect et de considération pour monsieur Diouf, mais je lui conseillerais d’expliquer aux Sénégalais comment il peut continuer à accepter que son mentor, Idrissa Seck soit toujours hors du Sénégal tout en prétendant être en mesure de se sacrifier pour son peuple ! J’ai vraiment du mal à comprendre cette attitude de monsieur Seck, sachant que notre pays ne vit pas une dictature totalitaire qui restreigne les libertés individuelles et collectives pour que des hommes politiques aillent se réfugier ailleurs pour mener un combat libérateur! Je suis convaincus que beaucoup d’entre nous qui ont pensé un moment rejoindre Idrissa, commencent à douter. EN CE QUI ME CONCERNE, jamais je ne mènerais un combat aux côtés d’un leader qui ne vit pas avec le peuple et en son sein, quand bien même ce leader était mon géniteur !  » Tiakhan Fakhé Way » !

    • @Sadaga Diop
      Ou etait Abdoulaye Wade entre 1999 et 2000 ? le monsieur est reste hors du pays pendant plus d’une annee et meme il refusait de revenir au pays pour se presenter aux elections de 2000
      Que Idrissa Seck soit present ou absent il reste dans le coeur de millions de senegalais et beaucoup comme moi qui n’ont jamais vote pour lui pensent qu’il incarne l’espoir et il est le seul opposant credible qui peut sauver le pays du desastre ineluctable que le regime de Macky Sall va conduire le pays avec son plan SENEGAL ENDETTEMENT (PSE) PUIS BANQUEROUTE les fonctionnaires vont rester des annees sans recevoir leurs salaires l’Etat sera en cessation de paiement le secteur prive sera en faillite
      Quant a toi Sadaga Diop on a pas beoin d’un type comme toi meme a l’APR j’en doute qu’ils ont besoin de toi un individu qui change d’opinion suivant ses interets depuis plus d’un mois tu fais un appel au pied a l’APR pour entrer de violent pourfendeur de Macky Sall tu es devenu son griot zele pire que Farba Ngom
      Qui a besoin de toi dans son parti ? PERSONNE

      • Mais justement, c’est parce que les élections étaient rarement transparentes que Wade Abdoulaye n’y croyait plus, raison de son absence du pays entre 1999 et quelques mois avant la Présidentielle de 2000 ! La différence avec votre mentor, est que lui y croit toujours, à moins que vous ayez des informations qui disent le contraire ! Comment pourrais je être sur les mêmes positions politiques si les données changent ? C’est cela la souplesse dans les idées !

  2. « hacun d’entre nous a un métier, il faut une part que nous donnons à notre famille, une part que nous donnons à notre parti politique, une part que nous donnons à nous-mêmes et une autre part que nous donnons au Sénégal. Idrissa Seck est en train de travailler. Ce que je peux vous dire et vous rassurer, c’est que tout ce qu’il fait est orienté vers la résolution des problèmes des sénégalais. Il reviendra très bientôt, il parlera aux sénégalais, il parlera à ses militants et tout ira bien incha allah »( Abdourahmane Diouf) ci-dessus.

    Avec ces explications qui ne tromperont personne monsieur Idrissa Seck devrait être inscrit alors dans le « uiness »pour être le seul homme politique qui quitte son pays dès les premiers mois suite à un échec pour aller s’expatrier !

  3. Mr Sadaga Diop,
    Je vous connais pas mais reliser un peu Mr Idrissa Seck.
    Je pense qu il a dit ne pas vouloir gener le president Macky Sall dans sa mission.Et si Idrissa Seck etait resté au senegal forcement il allait parler , ce qui ferait dire au mauvais langue qu’il fait ombre au president.
    Autre chose, il faut aussi qu’on arrete de faire la politique un emploi en temps plein comme pense beaucoup de senegalais

  4. Waw Sadaga une question: si Mr Seck revient au Senegal es-tu sur de pouvoir lui assurer ses charges quotidiennes. Arreter un peu de nous bombiner avec aux idees arrierees la.Les elections st terminees RV 2017 ou 2019. Laisser le en paix en fin.

    • Nous sommes à l’ère des NTIC ! On peut faire pleins de choses dans sa petite case depuis M’beuleukhé, en travaillant avec des collaborateurs qui sont à Londres, Paris, New -York ! Quand on a amassé quelques dizaines de milliards, on peut au moins avoir ses bureaux dans son propre pays ! Les excuses ne sont pas faciles à lui trouver! S’il revenait dès cette année 2014 pour ne plus quitter le pays pour plus d’une semaine, je le soutiendrais peut être si son programme est réalisable et bénéfique pour le Sénégal!

  5. @ ST : Je comprends que vous cherchiez à trouver des circonstances atténuantes à Idy, mais avouez que même dans les plus grandes démocraties excepté quelques unes dont les USA, le perdant d’une élection présidentielle reprend le combat dès le soir de la proclamation des résultats attestant sa défaite. Tout cela est fait dans un esprit Républicain, et personne ne s’en offusque, malgré les invectives échangées ! La vérité est que notre Idy national donne l’impression de faire de la recherche de milliards la clé de voûte sine qua none de ses chances d’accéder un jour à la Magistrature Suprême du Sénégal. Je ne suis pas d’accord avec cette assertion absurde qui veut que pour gagner une présidentielle au Sénégal il faut absolument que l’on dispose de plusieurs dizaines de milliards pendant au moins six mois de campagne! Je suis convaincu qu’avec un bon programme réaliste et réalisable, et des milliers de militants qui le feraient comprendre dans toutes les langues jusque dans le plus petit hameau de notre pays, une équipe désintéressée dans la réalisation du bien être personnel de ces membres pourrait accéder au pouvoir pour y réaliser une sorte de révolution sociale. IL M’ARRIVE DE RËVER DE VOIR CES HOMMES POLITIQUES auprès du Président Macky Sall pour la réalisation de son PSE dans les 7 ans à venir :

    Mamar Samb (S.G RTAS

    Mamadou Lamine Keïta (Tekki)

    Mamadou N’doye (AJ PADS)

    Talla (pour l’Enseignement Technique)

    Abdou Fall ancien Ministre

    Serigne M’baye Thiam

    Thierno LO (ancien ministre)

    Abdourahmane Diouf (Rewmi)

    Mamadou Diop Decroix

    Aïda M’botj – Implication des femmes pour le développement

    Aminata Niane : Industrialisation et Infrastructures

    Souleymane N’déné Niaye affaires Etrangères(Affirmation de notre souveraineté (monnaie?)

    Fatou Sow Sarr Sociologue

    Woré Gana Seck ; Chargée du Co – Développement(rattachée aux AF)

    Abdoulaye Diop ancien ministre : retrouverait son poste
    OU
    Mamadou Lamine Loum

    Marie Thérèse Dhiédiou (Entreprenariat féminin)

    N’goné N’doye .

    M° Amadou Sall à la justice

    Latif Coulibaly :onne gouvernance

    CETTE N’étant pas exhaustive, elle pourrait être complétée par une bonne trentaine d’éléments qui seraient choisis par le Président Macky Sall !

    • je cherche pas d’alibi pour Mr Idrissa Seck .C’est juste des propos qu’il a dit et que je confirme .
      En plus dit moi quel candidat dans le monde n’a pas dépensé une importante manne financière pour une campagne presidentielle.idrissa a un emploi et tout ce que tu as cité sur la liste travaille. Et les gens de l’APR savent que si Idy arrive à dakar il seront servis

  6. Sadaga saneté Diop, Moi ce qui me gène un peu, c’est d’entendr dire les aperist que idy est mort politiquement mais de reclamer encore et tjrs sa presence au senegal. Vous ne croyez meme pas a sa mort politique bilaye.

    • Si des « Apéristes » disent qu’Idy est mort politiquement, c’est leur opinion et non la mienne. Je ne suis pas de l’APR, je fus Wadiste, et espère toujours que sa vision sur les voies et moyens pour développer le Sénégal inspirent ceux qui nous gouvernent. Macky est un fils de Wade, qui l’a façonné, il ne peut que réunir les meilleurs éléments du PDS , de l’APR et de Bok Guis-Guis pour son PSE, après la libération de Karim et de tous les autres « détenus politiques »!

  7. Sadaga on dirait que tu es ds un autre pays. Quel opposant va ouvrir un cabinet ds son pays et mene trankilement son job. Vous avez quand on est politiqment marke ses chances de prosperer ds son business est quasi nul.Notre actuel chef de l’etat avait ouvert un cabinet mais nothing.Laissait le la ou il est travaille pour lui et son pays et les militants de rewmi qui ont la chance d’avoir du boulot au pays freont la massification.Si on est convaincu de ses competences, leadership et honetete, kil soit la ou ailleurs importe peu.
    bonjour from Kuwait a tous

  8. hè sadaga a raison, quand on veux le suffrage du peuple c’est d’être a côté de ce peuple mais pas resté laba vivre paisible tout en laissant son peuple souffrir. personne ne conteste qu’idy c’est un vrai politicien bien formé par son père mais la manière dont il a voulu mené ces idées, sa manière, son absence au côté de son peuple ne pourra en aucun cas influé pour qu’il soit président s’il continu ainsi. et moi je penses que jusqu’à présent il ne connait pas son peuple s’il le connaissait c’était lui qui allait être au fauteuil actuel mais dommage son petit frère a compris son peuple et souillonnè tout le senegal ce que lui n’a jamais fait pensant que le senegal se limite toujours a Thies. les années passent et ne se ressemble. les années ou wade était resté laba et ojrdui fait deux, ce peuple sénégalais veux des politiciens de surcroît un leader de parti qui est 5em chef leader de parti au pays qui quand il y a difficulté du peuple leur assiste au lieu d’envoyé leur adjoint cela n’aura aucun impact sur son électorat car le peuple sénégalais est si mature que personne depuis 2000 ne peux les trompé. les électeurs sont ici et pas en Europe au USA……

  9. NOUS SOMMES DIRIGES PAR DES ARNAQUEURS. ILS SAVENT N’AVOIR RIEN FAIT POUR LE PEUPLE SENEGALAIS.
    ILS VEULENT CONTINUER A S’ENRICHIR SUR NOTRE DOS.
    DANS TOUS LES PAYS DÉMOCRATIQUES ET MODERNES, CHAQUE PARTI POLITIQUE OU MOUVEMENT POLITIQUE VA AUX ELECTIONS, SEUL, SEUL.
    LE PEUPLE DOIT CHOISIR SES DIRIGEANTS EN FONCTION DE LEUR PROGRAMME, DE CE QU’ILS VEULENT FAIRE POUR LE PAYS.
    LES COALITIONS SE FONT APRES LES ELECTIONS.
    LES COALITIONS AVANT LES ELECTIONS SONT DESTINÉES A GARDER LE POUVOIR, A CONTINUER A PILLER LE PAYS.
    L’EXEMPLE DOIT VENIR D’EN HAUT POUR QUE LES AUTRE SUIVENT.
    EN FAISANT LE CONTRAIRE, NOS DIRIGEANTS NOUS TROMPENt, NOUS MENTENT.
    ILS TRAVAILLENT UNIQUEMENT POUR LEURS POCHES. C’EST TOUT.

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