La pirogue partie de Kayar a été secourue…, une quarantaine de mineurs, 21 femmes et deux bébés étaient à bord

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XALIMANEWS: Plus de peur que de mal

Libération, dans sa publication du jour, signale que ‘’la pirogue partie de Kayar a été secourue à Dakhla’’. 

‘’Elle avait à son bord 128 personnes dont une quarantaine de mineurs, 21 femmes et deux bébés, tous les passagers sont sains et saufs’’. 

Le journal ajoute que cette embarcation était partie de Kayar il y a plus de 17 jours.

2 Commentaires

  1. Triste sort pour la jeunesse de mon pays, contrainte pour un certain nombre d’hypothéquer leur vie, pour aspirer à un mieux vivre, ailleurs. En tout état de cause, le rythme effréné des départs vers cette aventure périlleuse de Barça ou Barzakh, traduit un profond désespoir chez les populations.
    Le plus écœurant reste ce mépris affiché par nos gouvernants, qui semblent ne rien devoir entreprendre pour éradiquer ce fléau. Ils se contentent juste de dénombrer les morts rejetés par l’océan, avec une liste macabre qui s’allonge de jour en jour. En vérité leurs priorités sont ailleurs, leurs préoccupations essentielles demeurent la prochaine présidentielle. Dès lors, ils cherchent les voies et moyens cyniques de perpétuer leur règne macabre, empreinte de crimes tant économiques, qu’humains.
    Le plus grand échec consacré par la gouvernance politique et économique d’un état, c’est de susciter un désespoir grandissant au niveau de ses populations. Malgré les ressources naturelles relativement abondantes, mais aussi des ressources humaines de qualité, le pays sombre dans une pauvreté endémique.
    Il faudrait reconnaitre depuis toujours, que le système de gouvernance en vigueur dans notre pays, est réputé inefficace pour nous sortir du sous-développement et de la misère.
    Le règne des renégats et autres traitres au service des néo colons et impérialistes occidentaux devrait s’estomper, pour laisser place à l’espoir d’un meilleur devenir. L’escroquerie politique, la gestion partisane de l’état, la gabegie, les prévarications et autres détournements de nos ressources qui caractérisent la mal gouvernance, devront être conjugués au passé. Le Sénégal qui se veut manifestement émergent, devrait être envisagé sous de meilleurs auspices. L’ampleur des maux dont souffre notre pays nécessite un changement total de paradigme. La mise à mort du système et de ses adeptes devrait être actée. Dans cette optique, le peuple sénégalais est invité à être pragmatique, à faire preuve de réalisme. Le sentiment de patriotisme véridique nous interpelle tous, en tant que de vrais citoyens du pays.

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