Le dialogue facteur de paix sociale et régulateur politique Par Moussa Diallo

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Le Sénégal est bel et bien un modèle de démocratie à travers le monde et ceci n’est plus à démontrer.

La transition pacifique du parti unique à l’alternance en passant par le multipartisme intégrale sans effusion de sang, ni de chasse aux sorciers en est une illustration originale qui honore tous les sénégalais et sénégalaises sans discrimination.

La situation politique confuse qui s’est installé actuellement dans le pays doit nous amener à plus de retenue, plutôt que de verser dans la violence l’anarchie et l’opposition crypto personnelle.

L’intérêt national est considéré comme le dénominateur commun du rassemblement des forces vives d’une nation et me semble t’il, le dialogue sans aucun préalable, doit en être un élément de consensus prépondérant et privilégié pour aboutir à des résultats probants, dont les générations futures en seront fières.

Je peux donc affirmer sans risque de me tromper que ce dialogue en tant qu’élément régulateur et facteur de paix sociale, ne peux en aucun cas être sous la paternité ni du parti au pouvoir, ni d’un quelconque parti de l’opposition, encore moins de la société civile.

Ce dialogue dis-je est un besoin impérieux pour le peuple afin de pouvoir justifier son choix électoral sur le président de la république qui lui convient le soir du 26 février 2012.

Ce choix de la majorité se fera sur la base de l’éthique, du leadership et des projets de société soumis à la sanction du peuple et qui devront être en relief avec les acquis de la république, de l’indépendance à nos jours. Ce dialogue me semble t-il est le premier jalon dans la marche impatiente des élections de 2012.

Combien de fois Abdou Diouf et Abdoulaye Wade ont privilégié le dialogue, même si ce dernier a toujours été taxé de naïf par ces militants ?

Du gouvernement parallèle au principe de discuter de tout avec un grand T, en passant par l’entrisme qui a failli l’emporter sur le pape du Sopi, c’était toujours le dialogue, et la voie du peuple (vox populi) a tranché.

Le peuple par les mécanismes électoraux mis en place, est le seul juge et la Presse en général, toujours impartiale et égale à elle-même, demeure le socle de l’information qui l’oriente et le rassure  dans ses convictions.

Aussi m’est- il choix de lancé un appel au patriotisme de tous les candidats dans leurs différents parti politique et autres structures, pour que la paix dans la république soit préservée.

Vive la République dans toutes ses diversités

 

Moussa Diallo

                     Président de la Fédération des                                                                Parcelles Assainies et Périphéries

                                                                                                                Unité 15-180 tel : 77 630 09 12/ 33 835 22 04

                    

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