De sources proches de la présidence du groupe parlementaire « Libéral et démocratie », une motion de censure sera déposée sur la table du président de l’Assemblée nationale, dès la semaine prochaine, pour contraindre le Premier ministre Abdoul Mbaye à s’exprimer devant la représentation nationale sur les accusations de blanchiment de l’argent volé du dictateur déchu Hissène Habré.
La motion de censure est une procédure qui permet aux députés de mettre en jeu la responsabilité politique du gouvernement par un blâme motivé à son encontre. Remise en cause de la légitimité gouvernementale ou de son chef, la motion de censure est recevable, si elle est signée par quinze députés au moins. Elle doit être votée à la majorité des membres composants l’Assemblée, 48 heures au moins après le dépôt. En cas d’adoption, le Gouvernement est contraint de démissionner.
« L’enjeu principal c’est le débat sur le recel, le blanchissement, les biens mal acquis et l’argent sale. Abdoul Mbaye l’a fait devant la presse pourquoi ne viendrait-il pas le faire devant les élus du peuple », révèle l’interlocuteur de votre portail d’informations lesenegalais.net.
La dernière motion de censure date de 1998, contre le gouvernement Mamadou Lamine Loum, déposée par le groupe parlementaire de l’Union pour le renouveau démocratique de Djibo Leyti Kâ. Au tout début de la législature installée en juillet 1998.
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les anciens barons voleurs du PDS sentent la justice se rapprocher d’eux alors ils ouvrent ce que l’on appelle un « contre-feu »
Attaquer le plus possible quelqu’un pour se faire oublier du peuple : c’est la peur qui les mène, ils sont comme des animaux cernés et apeurés ils deviennent méchants !
MËME SI ON ADMETTAIT QUE CEUX qui présntent cette motion decsure sur le bureau du Président de l’Assemblée Nationale étaient des voleurs de la pire espèce, celan’en, décribiliserait l’opportunité pour contraindre monsieur le Premier Ministre à s’expliquer devant la représentation Nationale. Chaque chose à sa place, le moment venu, ceux de l’ancien régime, chacun en ce qui le concerne, auront eux aussi à s’expliquer ailleurs. QU’on soutienne ou pas l’actuel pouvoir, force est de reconnaître que monsieur le Premier Ministre afait une bourde monumentale en cherchant, maladroitement à justifier l’injustifiable dans la mesure où un argent sale supposé sous l’ancien Régime l’est sous tous les autres Régimes qui se sont succédés au Sénégal, même si on objecte qu’à l’époque il y avait pas de lois réglementant l’origine des sommes d’argent qui transitaient p le système bancaire au Sénégal. CETTE AFFAIRE DE L »ARGENT DE MONSIEUR Habré était un secret de polichinelle au Sénégal et au Tchad et rien n’obligeait monsieur Abdou M’baye à faire ces tentatives d’éclaircissements qui n’ont fait que l’enfoncer d’avantage et c’est dommage car , chose rare au Sénégal, nopus avopns un Premier Ministre non partian en ce sens qu’il n’appartiendrait à aucun parti politique, à ma connaissance. sOUHAITONS SIMPLEMENT QUE CETTE SALE AFFAIRE SOIT LAV2E AU SEIN DE NOTRE FAMILLE, et que d’autres, à l’extérieur de nos frontières ne s’en mêlent point, sinon bonjour les dégâts !
Monsieur le premier ministre tenez bon,vous ne risquez rien à 10 deputés,qui sont la que pour sauver leurs peaux au lieu de defendre les interets du peuple.