Me Khassimou Touré révèle : « C’est moi qui suis derrière la grâce « 

Avez-vous remarqué la vitesse à laquelle il s’est précipité au-devant des micros et cameras des organes de presse pour affirmer, haut et fort, que c’est lui qui a introduit la demande de grâce sur laquelle Macky Sall s’est fondé pour gracier Khalifa sall ? Il le fait pour essayer de crédibiliser les propos mensongers du Ministre de la Justice qui affirme que Khalifa Ababacar est gracié suite à sa demande.
Khass, tu ne trompes personne ! Macky Sall est acculé, affaibli, impopulaire et illégitime. Il se trouve au fond du gouffre. Lui et ses thuriféraires avaient cru que Khalifa allait sauter sur la perche tendue : formuler, en personne, une demande de grâce. Contrairement à leurs calculs et attentes, Khalifa Ababacar Sall a fait preuve d’une résilience, sinon d’une résistance surprenante. Devant l’impasse, Macky et son minable Garde des Sceaux, Malick Sall, ont recouru à un farfelu et déroutant énergumène comme Khass.
Me Kass n’a jamais cessé de claironner sur tous les toits, qu’il est ami de Macky Sall et qu’il bénéficie de ses enveloppes financières lors de ses cérémonies annuelles de «thiant» qu’il organise à Guinguinéo (Me Khass dixit). Le rôle de mercenaire joué dans ce dossier par Me Khass est sans conteste. Il ment effrontément lorsqu’il affirme qu’il avait entamé les démarches depuis 3 mois. Il y a moins de 2 mois il exprimait son incompréhension face à l’attitude de Macky Sall dans ce dossier (en qualité de représentant de MBaye Touré) en dépit de leur «amitié». Me Khass était la cible idéale pour Macky Sall : c’est une forte gueule, un fort en thèmes, un homme fragile pour beaucoup de raisons que je m’abstient d’évoquer ici en dépit des apparences (le saggou) et, de surcroît, un frère de MBaye Touré. Qu’il sache qu’il ne trompe personne. Personnellement, je le range, désormais, parmi les comploteurs de la République.
IBrahima Sadikh NDour

L’expression « remise de peine » se dit communément de toute mesure de clémence par l’effet de laquelle le condamné est dispensé de subir la peine en tout ou partie.
Juridiquement, on parle d’une « réduction de peine », c’est-à-dire une diminution de la durée de la peine privative de liberté infligée à un condamné. Zoom sur les modalités d’une remise de peine dans la suite de notre article.
Bon à savoir : la remise de peine renvoie aussi à la grâce qui est une mesure de clémence, décidée par le chef de l’État à la requête d’un condamné (recours en grâce). En vertu de cette mesure, le condamné est dispensé de subir tout ou partie de sa peine (remise de peine) ou doit exécuter une sanction plus douce que celle initialement prononcée (commutation de peine).

Il la fait pour son frere maitre Khassimou Toure. Comme on ne pouvait pas liberer son frere sans liberer khalifa…..Khalifa na pas demande a etre libere et na pas introduit de grace comme l’a indique le ministre de ce qu’il appele justice qui est un menteur notoire.