Le moins que l’on puisse dire c’est que Aïda Mbodj n’est pas du genre à se laisser marcher. La preuve, lorsque certains de ses frères de Parti ont voulu revenir à la charge, concernant leurs critiques à la participation des élus libéraux aux Concertations autour de l’Acte III de la Décentralisation, au motif que le Parti démocratique sénégalais ne peut répondre à un appel du chef de l’Etat, au moment où certains anciens dignitaires du défunt régime sont en taule, la députée-maire de Bambey a glissé une réponse assassine à Omar Sarr : «quand le président Me Abdoulaye Wade écrivait à son successeur Macky Sall, Karim Wade était aussi en prison», a-t-elle lâché. Suffisant pour qu’Omar Sarr demande la levée de la séance.
Niokhobaye lui demande d’arrêter de chanter les «prouesses» de Macky Sall : la députée-maire de Bambey la catapulte dans les cordes
Autre responsable qui en a eu pour son grade, c’est le responsable Niokhobaye. Son tort : avoir eu le culot d’étouffer de rage contre la propension chez Aïda Mbodj à rendre hommage à Macky Sall, quand ce dernier pose des actes nobles. «Tu ne dois pas te féliciter publiquement de l’action de Macky Sall, car c’est une manière de l’élever au-dessus du président Abdoulaye Wade», fait-il remarquer à la députée-maire de Bambey. Cette dernière de lui demander : «même si le président Macky Sall fait de bonnes choses ?».
Niokhobaye, sans réfléchir, lui répond : «oui, y compris s’il fait de bonnes choses. Jamais je ne hausserai sa cote, au risque de voir celle du président Wade reléguée au énième plan». Alors, là, Aïda Mbodj gifle Niokhobaye en ces termes : «moi, je me soucie du devenir des Sénégalais, notamment des populations de Bambey. Tant que Macky fera de bonnes choses, je m’en féliciterai. Tu veux, donc, que je me mette à mentir devant les Sénégalais. Désolée, mais cela ne me ressemble pas. Maintenant, si un autre peut mentir, il est libre de le faire».
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««Quand le président Me Abdoulaye Wade écrivait à son successeur Macky Sall, Karim Wade était aussi en prison»
Madame Aïda M’bodj divague en cherchant des alibis pour justifier une présence que n’avait pas sa raison d’être compte tenu de la guerre menée par le pouvoir à son parti !
Quand le Président Wade Abdoulaye écrivait à son successeur, comme vous dites, chère madame, ce n’était pas dans une position de faire-valoir.
Je suis surpris de constater que cette grande dame dont le courage, la fidélité à Wade et l’intelligence politique m’ont toujours impressionné en soit arrivée à commettre cette grosse erreur qui, à mon avis la poursuivra pendant des mois, et cela pourrait même sonner le début de ses retrouvailles avec son ami, son « thiamègne » Macky Sall parce qu’elle aura créé les conditions de sa mise en quarantaine au sein de la direction du PDS!
aida mbodj est loyale en wade. seulement elle connait la souffrance des populations en temps que maire. n oubliez pas qu elle a tout fait pour ramener macky aupres du pr wade jusqu a essuyer des tirs. il faut comprendre cette dame