Quand Sarkozy charmait Valérie Trierweiler

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On ne l’apprendra plus à personne. Valérie Trierweiler est devenue un sujet des plus « bankables » pour les médias, mais aussi les éditeurs. Les articles sur la première dame comptent parmi les plus lus et les livres qui lui sont consacrés parmi les plus vendus en librairie. Le dernier opus de la saga, « La frondeuse » (Editions du Moment), ne devrait pas déroger à la règle. Ecrit par le directeur de la rédaction de RMC Christophe Jakubyszyn et par Alix Bouilhaguet, journaliste politique à France 2, il aurait reçu l’approbation de la compagne de François Hollande. Parmi les principales révélations de l’ouvrage, une réconciliation de Trierweiler avec Ségolène Royal est évoquée. Les deux femmes qui se sont disputées le même homme puis une certaine forme de pouvoir politique, seraient disposées à se revoir et à se parler. L’initiative viendrait d’ailleurs de Ségolène Royal. « Tout naturellement, nous avons demandé à l’intéressée si elle saisirait une main tendue par Ségolène. La réponse a été oui », explique Alix Bouilhaguet dans une interview à Point de Vue. Valérie Trierweiler aurait même « envie de calmer le jeu ». Une bonne occasion de donner une lumière nouvelle sur l’affaire du tweet (d’abord un message d’amitié à Olivier Falorni) et de confirmer la solidité du couple Hollande-Trierweiler selon les auteurs.

Mais c’est la vie sentimentale antérieure de la journaliste qui fera encore le plus parler. Une tentative de séduction de Nicolas Sarkozy fait partie des révélations les plus croustillantes de « La Frondeuse ». L’Express publie en effet un extrait du livre qui raconte que Nicolas Sarkozy, alors qu’il était encore ministre de l’Intérieur, aurait tenté d’approcher Valérie Trierweiler lors d’une garden-party à l’Elysée. « Qu’est-ce que t’es belle », aurait lancé le futur chef d’Etat à la reporter, alors même qu’il tenait la main de Cécilia Sarkozy. Un compliment qui n’aurait reçu en réponse qu’un « regard de défi ». Vexé par cet anecdote et par d’autres accrochages révélés dans l’ouvrage, Nicolas Sarkozy aurait vite pris ombrage du comportement de Valérie Trierweiler. Il serait même allé jusqu’à enquêter sur elle et sur ses enfants en marge de la dernière campagne présidentielle, selon les auteurs. « Mais pour qui se prend- elle ? Je ne suis pas assez bien pour elle ? », aurait-il un jour lâché selon Christophe Jakubyszyn.

Le nom d’un autre homme politique de droite est cité dans l’ouvrage : celui de Patrick Devedjian. L’ancien ministre de Nicolas Sarkozy et actuel patron du département des Hauts-de-Seine aurait eu une aventure avec Valérie Trierweiler au début des années 2000. Une relation « qui aurait duré plusieurs années » selon Christophe Jakubyszyn. Les deux amants auraient même failli s’engager et dévoiler leur relation. Mais les hésitations de Patrick Devedjian, déjà engagé avec une autre femme, auraient eu raison de la patience de Trierweiler qui finira par se « laisser courtiser » par un autre : un certain François Hollande. La rupture aura lieu en 2003 et sera un coup dur pour l’homme politique, toujours selon les auteurs de « La Frondeuse ».

 

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