« Le Témoin » quotidien Pour avoir de tout temps ferraillé d’abord contre un éventuel emprisonnement de Karim Wade, à travers notamment un éditorial qui avait suscité beaucoup de commentaires à l’époque et intitulé « Pourquoi il ne faut pas emprisonner Karim Wade », pour n’avoir pas cessé ensuite, tout au long des plus de trois ans d’emprisonnement du même de réclamer son élargissement, le happy end intervenu dans la nuit de jeudi à vendredi dernier ne peut évidemment que nous remplir d’aise. Nous n’avons cessé d’écrire durant toutes ces quatre dernières années qu’une traque contre des biens supposés mal acquis n’a de sens que si on jette en prison tous les voleurs. Autrement, qu’on laisse tout le monde en liberté et qu’on cesse de nous donner des leçons de morale. Surtout que notre conviction est faite que toute cette classe politique — en tout cas son écrasante majorité — est constituée de voleurs. C’est en effet devenu banal dans notre pays de voir des gens qui crevaient la dalle lorsqu’ils étaient dans l’opposition évaluer leur patrimoine en termes de milliards quelques années à peine après avoir exercé des responsabilités étatiques, et particulièrement gouvernementales. Regardez donc tous ceux qui aspirent à présider aux destinées de ce pays et, donc, à nous gouverner. Ils sont tous riches à milliards sans avoir hérité cette fortune de leurs parents, ni l’avoir gagnée dans des activités industrielles, agricoles ou autres… bref, dans le business par exemple. Presque tous l’ont acquise en monnayant leurs positions et signatures dans l’appareil d’Etat. Par conséquent, dans ces conditions, que l’on vienne nous tympaniser avec des histoires de traque à de supposés biens mal acquis, ça ressemble franchement à une vaste blague. Encore une fois, si on devait jeter des voleurs en prison, c’est presque toute la classe politique actuelle, en tout cas ses ténors, qu’il faudrait embastiller. Telle a été de tout temps notre conviction et c’est pourquoi nous avons toujours considéré l’emprisonnement de Karim Wade comme étant particulièrement injuste car relevant d’un règlement comptes pour ne pas dire d’une vengeance de l’actuel président de la République contre celui qui avait été à l’origine de ses malheurs lorsqu’il était président de l’Assemblée nationale…
Pour en revenir à la libération de Karim Wade, si elle nous réjouit, les conditions dans lesquelles elle est intervenue nous mettent cependant mal à l’aise, on ne sait trop pourquoi. Disons-le tout net : on a la désagréable impression que cette libération a été négociée et qu’elle a fait l’objet d’un « deal ». De ce point de vue, force est de donner raison à M. Idrissa Seck, le leader de Rewmi. C’est comme si, à travers cette grâce accordée par le président de la République au candidat du Pds à la prochaine élection présidentielle, on avait fait au peuple sénégalais un enfant dans le dos. Car avouez que ce n’est pas courant qu’un détenu soit libéré alors qu’un jet privé était en train de l’attendre, moteurs ronronnant, pour le transporter dans l’heure qui suit dans un pays du Golfe persique, le Qatar en l’occurrence. Surtout qu’à bord de ce jet se trouvait déjà le procureur du Roi de ce pays ! Cela veut dire qu’à tout le moins, dans ce richissime Emirat du Golfe, on était dans la confidence de cette libération intervenue en pleine nuit. Oui, à tout le moins… Il s’y ajoute que, c’était un secret de Polichinelle depuis que le bulletin confidentiel français « La lettre du continent » en avait fait la révélation, que Dakar et Doha étaient en négociations au sujet de la libération de l’illustre détenu Karim Meïssa Wade. Ces révélations remontent à deux mois et depuis lors, des émissaires faisaient la navette entre les deux pays pour effectuer les réglages de cette libération. Voir aussi les révélations canalfrance.info que nous publions dans ce journal… S’il ne s’agissait que d’ouvrir la porte de la cage pour laisser l’oiseau s’envoler, était-il besoin de navettes diplomatiques entre le Golfe et cette partie la plus avancée sur la côte occidentale du continent ? Connaissant l’immense richesse du Qatar ainsi que l’efficacité qui n’est plus à démontrer de sa diplomatie dite du chéquier, il serait fort étonnant que ce pays n’ait pas payé une sorte de rançon — ou au moins une sorte de compensation — en échange de l’élargissement du fils de l’ancien président de la République. Ou alors doit-on croire que c’est par pur « Rahma » (miséricorde) que, en ce mois de Ramadan, le président de la République a accordé sa grâce à Karim Wade et, accessoirement, à Ibrahim Aboukhalil alias Bibo Bourgi et Alioune Samba Diassé ? On voudrait bien croire aux contes de fées mais enfin…
Car si c’était par pur « Rahma », les intercessions et les demandes de pardon n’ont pas manqué depuis trois ans, émanant aussi bien de marabouts sénégalais que de chefs d’Etat africains, les noms des présidents ivoirien, Alassane Dramane Ouattara, et congolais, Denis Sassou Nguesso, étant les plus fréquemment cités. A notre connaissance, le président de la République, Macky Sall, avait éconduit poliment tous ces demandeurs de pardon en faveur de Karim Wade. Et voilà que ce qui avait été refusé à toutes ces éminentes personnes, on l’accorde à l’émir du Qatar ! On nous cache des choses, assurément…
Pour le moment, évidemment, nul ne peut affirmer que la libération de Karim Wade a été monnayée contre des pétrodollars. Peut-être qu’un jour on saura tous les dessous de cette libération pour le moins intrigante. On ne peut cependant s’empêcher de ressentir, encore une fois, comme une désagréable impression de « deal » qui se serait fait sur la tête des Sénégalais. N’est-ce pas d’ailleurs Karim Wade qui parle des « conditions de ma libération » qui l’auraient empêché de faire ce qu’il aurait voulu à sa sortie ? Des conditions que l’on aimerait bien évidemment connaître. Encore une fois, en attendant qu’il fasse jour sur les tractations ayant précédé cette libération, qu’on nous permette de citer une expression wolof qui résume bien la situation « xel teeyna » (ça donne la nausée) !
S’il n’avait pas donné l’impression d’avoir « dealé » la libération de Karim Wade, quel extraordinaire bénéfice politique le président de la République n’aurait-il pas tiré de cette grâce accordée à un prisonnier devenu finalement très encombrant ! Au lieu de quoi, aujourd’hui, l’opinion n’aura majoritairement retenu qu’une combine, une de plus, sur son dos. Le bénéfice aurait été comparable à celui qu’avait récolté le président Léopold Sédar Senghor lorsque, en 1974, il avait décidé souverainement et sans tractation aucune, de libérer le président Mamadou Dia, premier président du Conseil du Sénégal, ainsi que ses compagnons Valdiodio Ndiaye, Joseph Mbaye et autres. Parmi les graciés de cette année-là figuraient aussi des héros du mouvement estudiantin comme Pape Blondin Diop, Alioune Sall dit Paloma etc. Un acte de grandeur qui avait facilité l’intégration du poète-président au sein de l’Internationale socialiste quelques mois plus tard… Et avait précédé l’instauration du multipartisme dans notre pays.M.O.N « Le Témoin » quotidien
« Si ce n’est pas un «deal», c’est quoi alors? » Mamadou Oumar NDIAYE
Date:
Idy a presque toujours fois raison ! C’est à croire que tous les autres sont aveugles ou simplement hypocrites !
IDY A RAISON MÊME QUAND IL AVOUE S’ÊTRE ENRICHI A LA FAVEUR DES FONDS POLITIQUES?
OU QUAND IL SIGNE LE PROTOCOLE DE REBEUSS AVEC L’AUTRE DELINQUANT?
CET OPPORTUNISTE MALHONNÊTE ET REMPLI DE HAINE DEVRAIT SE TROUVER EN TAULE DANS TOUT PAYS Où LA JUSTICE EST INDEPENDANTE ET EQUITABLE.
Il n a jamais avoué s etre enrichi avec les fonds politique. C est de la pure propogande. Il dit au contraire que chaque centime que je possede a une origine licite. Qui fut président lors de ce fàmeux protocole de reubeuss s il existe wade et macccky pm . Qui est président pour ce protocole de 2016 macky et wade ex president. TOUJOURS LES DEUX. KHEL AMOULO SI TOUSS
Si c’est pas un deal c’est DEAL! CQFD.
Si c’est pas un deal, c’est donc magouille et si c’est pas magouille, c’est complot et si c’est pas complot, c’est dealers, et si c’est pas dealers c’est trafiquants. CQFD
au Senegal il y a que des malhonnètes intellectuels.il ne confirment que des prèjugès sans aucune investigation.allez ceuillir des information au près des concernès et les servirent aux sènègalais au lieu de passer votre temps à declarer comme realitè des suppositions…
Mais toi aussi khana guisso l’investigation digne de son nom de Canalfrance.info? Ils ont déjà fait ce travail et ils l’ont bien fait, pourquoi donc faire un double travail pour rien?
La signature d’un contrat juteux entre le Qatar et des entreprises Francaises,est soumise à une condition:laliberation de Karim Wade, alors Hollande appelle notre president et lui dit tout simplement:libére le paquet!!!c aussi simple que cela
Laissons la France en paix!!!!!ce pays est à déchirer c’est tout!!!!
Alors, faisons la synthèse de leurs mensonges.
– Karim Wade est gracié par Macky sur condition, une grâce d’ailleurs bien verrouillée. Et parmi les conditions, l’exil.
– Macky a gracié pour respecter le souhaits des guides religieux. Soit dit, en passant, qu’il est attentionné à leurs désirs. Et soit dit, en repassant, que les talibés votants doivent tenir compte de cette belle nature de Macky (Hi Hi Hi ! Astafourlah).
– La grâce offerte par Macky ne doit pas faire oublier que Karim va payer jusqu’au dernier franc des mensonges des légionnaires et de la presse des 100. La preuve, Macky continue de le poursuivre à Paris pour tout récupérer.
– La grâce offerte par Macky a été faite sur demande de l’émir de Qatar qui va payer pour Karim, jusqu’au dernier franc volé dans la presse des 100. Soit dit, en passant, que les poursuites à Paris, c’est pour le bonus. Que voulez vous ? Le dernier franc payé n’empêchera pas de faire payer des francs de plus.
– La grâce offerte par Macky n’a pas été marchandée. Il ne s’agit pas d’une affaire d’argent. Le gentil Macky offre des grâces gratuites. Wade n’a rien négocié, Karim n’a pas demandé de grâce, Macky a offert, bon cœur sans rien marchander.
Alors ?
Ben, alors, la moralité c’est qu’un menteur, c’est simple, laissez le beaucoup parler, et il va se marcher sur la langue et tomber. C’est tout.
Les fanatisés étaient déjà tournés en bourriques, maintenant ils sont tournés en bourriques puissance 2.
IL FAUT RECONNAÎTRE UNE CHOSE:C’EST MANQUER DE DIGNITE QUE D’ACCEPTER UNE « GRÂCE CONDITIONNELLE ».
C’EST KARIM HIM SELF QUI AFFIRME N’AVOIR PAS EU ASSEZ DE TEMPS A CAUSE DES « CONDITIONS » DE SA LIBERATION.ALORS QU’IL VEUILLE BIEN EDIFIER LE PEUPLE SENEGALAIS.
ET QU’IL DISE TOUT.VRAIMENT TOUT.CAR C’EST OBSCUR,BIZARRE.
Mamadou Oumar NDIAYE analyste politique des voleurs
Posté par: Duc Dediapal| Dimanche 27 avril, 2014 12:14 | Consulté 586 fois | 0 Réactions |
Jamais de mémoire de sénégalais on n’avait entendu autant de sollicitations en faveurs des voleurs détourneurs et affiliés, qu’à l’occasion de cette émission de Sud Fm du 27/04/2014, ou Monsieur Oumar NDIAYE, directeur de publication de l’hebdommadaire « le Témoin », est venu nous dire en substance: » même si Karim WADE est un voleur, c’est une grave faute politique de la part du régime que de l’arrêter dès l’instant qu’il y’a d’autres voleurs qui ne sont pas encore pris ». On pourrait s’imaginer que l’expert du jour est un karimiste ou un wadiste masqué, qui essaie de suggérer une libération salutaire de Karim si on ne l’avait pas entendu dire au cours de ce débat que le solution économique du Sénégal n’est pas dans la gouvernance vertueuse mais plutôt dans la modélisation d’une destination Sénégal pour tous les investisseurs qui le souhaiteraient sans vérification, autre que le niveau d’enrichissement. Pour lui, si les potentiels investisseurs pouvaient venir chez nous et investir même avec de l’argent volé et que l’état pouvait favoriser un patriotisme économique qui permettrait de bâtir un modèle de gré à gré favorisant les entreprises sénégalaises, on assurerait une redistribution en faveur du Sénégal et des sénégalais. Pour finir notre analyste dit en substance, il faut encourager tous ceux qui ramènent des sous au Pays même si c’est de l’argent volé, de toute façon selon lui il n’ya pas d’argent dans ce monde qui ne soit pas volé. Nous avons atteint là je crois le summum de l’irresponsabilité avec ce type de discours proposé sur une radio de choix et avec un air bonnaire et malsain.
Nous tenons ces propos hilarants, dangereux et foncièrement hallucinants, d’un sénégalais identifié comme faisant partie de la crème des analystes de ce pays, quelqu’un à qui on donne la parole assez souvent pour éclairer la lanterne du citoyen lambda. Je ne peux m’empêcher de me demander ce qui peux motiver quelqu’un à prendre des positions aussi laxistes et surtout pourquoi ?
Dans un contexte social aussi alambiqué, avec la venue de Wade théâtralisé à outrance par des partisans sans arguments, apeurés par la traque entamée des biens mal acquis, dont ils savent qu’ils sont les cibles les plus en vue, je pourrais comprendre que l’analyse puisse s’évertuer à rappeler à Macky ses nombreuses promesses aux sénégalais et à lui décrypter le message des ces gens sortis accueillir Wade après l’avoir chassé du pouvoir. Il a certainement raison de dire que le peuple n’est pas prêt de réélire Wade dans ce pays, car l’avenir si je ne m’abuse appartient au futur et non au passé, j’ai envie de rajouter, ni lui, ni son fils, ni un seul de sa descendance politique qui ne se soit pas départie complètement de l’idéologie wadiste.
Comment peut on défendre la liberté de Karim WADE avec le seul argument stipulant qu’il y’a d’autres voleurs en liberté ? Et même si certains d’entre eux ont migré vers les prairies marrons, ce qui est foncièrement dégoutant de la part du régime en place qui ne tirerait ainsi aucune leçon du wadisme, il faut dire que défendre le principe de la libération de quelqu’un en disant qu’il est coupable mais que politiquement ce n’est pas avantageux de l’arrêter est en soi un déni profond de toutes les vertus et de toute la valeur qui doit fonder le nouveau type de sénégalais que ce peuple s’est mis à idéaliser après toutes les waderies vécues entre 2000 et 2012.
Je suis d’avis que cet analyste est un homme complètement dénué de vergogne et vertu et qu’il est à parier qu’il ne verrait aucun inconvénient à ce que le vol, le vice redevienne monnaie courante, voire notre unique modèle de fonctionnement. C’est avec des gens comme ça que la théorie selon laquelle « l’argent ne se gagne pas, c’est le fruit de la débrouille » est née dans ce pays. Et au nom de ce principe digne de la société des malappris, certains politiciens passent le plus clair de leur temps à imaginer des stratégies pour berner le peuple afin d’arriver à leurs fins, et profiter au maximum de tout ce que peut leur offrir leurs positions autour de ce gâteau du bonheur qu’est le Pouvoir.
Pour finir ce dangereux analyste ne sait pas s’élever suffisamment pour se rendre compte, que le Sénégal a des bailleurs qui l’écoutent et qui l’entendent faire cette messe nauséabonde autour de la favorisation de l’investissement et de la production à partir d’argent volé, peut importe comment et où, à la seule condition qu’il soit ramené au Sénégal.
Nous refusons d’être le pays des voleurs, et encore moins le pays qui nourrit ses enfants des fruits du vol ; nous refusons d’ériger la concussion et la malversation en règle, et nous n’avons aucune intention de faire fuir les investisseurs du monde, Monsieur NDIAYE ; nous souhaitons rester et demeurer les dignes fils de Ngoné Latyr avec l’éthique et la responsabilité comme socle, les valeurs de vaillance, d’honneur et de travail comme moyens d’y arriver, la foi en bandoulière, afin de pouvoir continuer à chanter ce célèbre cantique sénégalais :
Nous disons NON, Ngoné Latyr
Nous disons NON, Ngoné Latyr
Nous disons NON à la peur qui fait fuir
Nous disons OUI, Ngoné Latyr
Nous disons OUI, Ngoné Latyr
Nous disons OUI à l’appel de l’honneur
Duc de Diapal
vu quelque part, tres pertinent
la vraie histoire de la libÉration de karim
?#?une libertÉ pour 119 milliards ,la ou le ministre nous parle de 50 milliards recouvrés
les négociations pour libérer karim ont commencé depuis longtemps, quand notre président s’est rendu à dubaï pour bifurquer au qatar afin de trouver un support pour financer son pse .trouver des fonds était devenu pour lui une obsession pour pouvoir terminer ses projets . les terminer,parce que certains de ses bailleurs de « confiance » {notamment la france}ont vite senti et décrypté la grogne sociale qui couvait et ont agi sciemment de manière à lui fermer les robinets, histoire de monter les enchères et mieux tirer profit du sénégal (d’où les accords incongrus et bradages à tout va: port bolloré =francais ..sénégal-airlines bientôt francais..sonatel=franÇais,ligne ferroviaire dkr aibd = alstom francais ect..).
donc, se sentant dos au mur avec ses réalisations qui battaient de l’aile, faute d’argent (livraison aibd qui peine à s’achevé malgré les turcs, l’université de diamniadio (unidak 2) le problèmes des enseignants à qui il doit des milliards, les médecins, l’autoroute ila touba, ect..ect), il était alors obligé d’accepter le deal, malgré les conséquences qui risqueraient d’en découler. ainsi, le maquis devait manœuvrer subtilement pour « mackyller » cette forfaiture enfin de pouvoir vendre la libération de karim.
mais comment procéder pour ne pas éveiller de soupçons ?
il s’agissait tout d’abord de berner les pauvres sénégalais, et la note qui devait s’accorder à la musique émergente n’était pas du tout difficile à trouver : choisir une date (le 28/03/2016) et lancer les dialogues nationales : fameuses dialogues au cours desquelles, il a eu à réunir chefs religieux et opposants qui n’avaient absolument rien « pigé » du sombre accord, ficelé en amont, secrètement entre les trois concernés susmentionnés. ce simulacre de dialogue national est en réalité un fade monologue local vu le manque de sérieux et la précipitation qui l’ont entouré: posez-vous la question à savoir comment, pour un pays de 14 millions d’individus, que des concertations puissent durer que des heures (8 tours d’horloge) avec 56 intervenants triés sur le volet, pour soit disant sortir le sénégal de l’ornière ? il fallait vraiment être bÊte pour y croire !
suite à cette mise en scène sur fond de sanexeries », il fallait maintenant laisser la mayonnaise prendre avec la mise à contribution d’une certaine presse alimentaire et manipulatrice (et ce fut rapide). le lendemain, les journaux ont tous relayé l’appel de macky à wade pour lui souhaiter joyeux anniversaire. et quelques jours après, en france, macky annonçait dans une radio étrangère, une probable libération de karim.. bref.
revenant sur la libération de karim: pour ceux qui ont des problèmes de compréhension ou de lecture, je n’essaie nullement de blanchir qui que ce soit, au contraire..
si je dis que karim ne connaissait ni les tenants et les aboutissants de sa libération, c’est que c’est bien le cas.
karim, même étant le fils de wade, ne sait pas ce dont son père est capable. car s’il l’était vraiment, on n’allait pas l’extirper de force de sa cellule par 03 éléments de la gendarmerie, pour le ‘’jeter ‘’dehors. car il est établi qu’il ne voulait pas de cette grÂce crasseuse et grasse. (c’est la triste et véritable version, contrairement à ce que beaucoup de « journaleux » fabriquent et vs servent).
karim était pour une amnistie, à la place d’une grâce présidentielle qui l’empêcherait de se présenter pour 2019. en réalité, il n’était pas aux faits que son père avait négocié pour lui depuis longtemps le deal d’une amnistie qui ferait de lui un candidat en 2019. amnistie, parce que dans les clauses de l’accord, il est bien stipulé que la première phase serait d’abord de le gracier pour tendre d’ici quelque mois, vers une amnistie totale qui laverait karim de toute poursuite et ferait de lui prÉsidentiable. politiquement ce gosse est vierge: donc l’objectif futur de son père, c’est de le « forcer » aux sénégalais pour être le prochain président du sénégal, d’où son départ précipité du sénégal (sur instruction du futé wade père), sans pour autant rencontrer ses sympathisants et souteneurs. mais que ces derniers se rassurent: les deux wade reviendront pour parader et faire le show..
ma version est dingue certainement ? mais vous vous êtes demandé la présence d’un procureur national dans un pays souverain ? nous savons tous qu’un procureur n’est pas n’importe qui surtout qu’il est venu la veille reçu par macky pour signer des papiers .mais signer quoi ?alors pourquoi seydou gueye acculé par mamoudou ibra kane affirmait qu’il n’était pas ici en tant que procureur du qatar mais en tant qu’ ami de karim ? qu’on ne vous dupe pas encore une fois ce monsieur ne raconte que des mensonges
ce procureur n’est autre que le garant représentant du qatar du deal entre macky et wade pour pouvoir revenir dans les affaires .signer pour une somme de 25 millions de dollars pour libÉrer karim par grace, et l’amnistier d’ici quelques mois pour que macky puisse recevoir enfin ses fonds .ce sera l’ultime étape du contenu de ce deal émergent… mais ce que ces dealers n’ont pas intégré dans leur plan, c’est que le peuple sénégalais est assez mâture pour tomber dans ces leurres et lueurs funeste…
alors ne nous étonnons pas du retour imminent des arabes en pole position pour rentrer dans leurs fonds ,mais surtout,attendons nous a avoir beaucoup de problème avec ceux qui verront leurs intérêts menacés .et en parlant de menace ,avec la menace djihadiste crée par qui vous savez..que ne faut il pas faire pour préserver ses intérêts ?je dis ça je dis rien
voila ,j’ai vraiment raccourci pour pour pouvoir en terminer avec la pression et invite les journalistes a faire leur travail afin d’informer juste et vrai
Mais deal c est quoi le fait d enferme Karim est un deal si ce n etait pas un deal Karim ne va aller en prison c etait un reglement de compte first et macky sait qu il peut rien faire pour les Senegalais si ce n est pas mettre Karim en prison et encore ca arrange les autres comme idy et consorts in deal se paye par un deal