Deux affaires de sorcellerie et d’anthropophagie secouent les localités de Ndiaganiao, dans le département de Mbour et celle de Kafountine en Casamance. A Mbour, deux femmes se sont retrouvées devant le commandant de brigade. L’une réclamant le fils de l’autre en guise de paiement d’une dette. Elle affirme avoir offert son enfant en guise de festin à un dame qui, à son tour, devait lui payer avec son fils. A Kafountine, ce sont des cartons de chair humaine qui ont été découvert auprès de ressortissants d’un pays de la sous-région.
« Une affaire de sorcellerie défraie la chronique dans un village de la communauté rurale de Ndiaganiao. Elle a atterri à la brigade de gendarmerie de Mbour. Deux femmes qui ont avoué être des sorcières ont juré devant le commandant de brigade de cesser leurs pratiques de sorcellerie, sous peine d’être emprisonnées », écrit« L’Observateur ».
« L’Observateur » raconte que « l’une d’elles, en l’occurrence S.D, réclame une dette à sa voisine. Une dette qui, selon elle, remonte à plusieurs années. S.D avait « prêté » à C.F son enfant pour être « mangé ». Cette dernière devait « rembourser » donc en offrant à son tour son fils comme…régal à S.D. Mais, selon la plaignante, C.F n’a pas voulu respecter les termes du contrat après avoir « mangé » l’enfant de S.D. Assaillie par sa « créancière », C.F finit par se proposer pour épargner son fils. Mais S.D tient coûte que coûte à prendre l’âme du fils, celle de la mère ne l’intéressant pas. Lasse de ne pas avoir gain de cause, elle « possède » le fils de C.F sans l’aval de celle-ci. Ce dernier tombe dans un état comatique. Sachant ce qui s’est passé, C.F. va voir le chef de village pour lui demander d’intervenir. En présence des maris des deux dames, le chef de village supplie S.D de lâcher l’âme du fils de C.F. Ce que S.D a fini par faire devant la persistance du chef du village. Le commandant de brigade de Mbour, informé de cette affaire, convoque les deux dames et le chef de village. Devant l’homme en bleu, S.D raconte l’affaire qui l’oppose à C.F et soutient mordicus que si elle a essayé de prendre l’âme de son fils, c’est parce qu’elle a failli à sa promesse après avoir pris en créance son enfant il y a quelques années ».
« L’Office » rend compte d’une autre histoire tout aussi rocambolesque.
Selon « L’Office », « des caisses bourrées de chair humaine auraient été saisies entre les mains de ressortissants de la sous-région, installant la panique parmi les populations de Diogué, un patelin situé dans le département de Bignona et non loin du célèbre centre de pêche de Kafountine ».
« Tout est parti de l’enterrement d’un jeune du village dans le cimetière de la localité. Dans la pure tradition du patelin. Quelques jours après, les habits du défunt sont retrouvés, enfilés par un ressortissant de la sous-région. Un geste surprenant, poussant les autochtones à lui administrer une sévère correction. Ils mènent leur propre enquête, pour en savoir un peu plus sur le comportement étrange de cet « étranger », renseignent des sources locales. C’est sur ces entrefaites, révèlent nos sources, qu’ils auraient découvert huit caisses bourrées de chair humaine, soigneusement cachées dans un endroit, non loin de la mer ».
nettali.net extrait revue de presse
allahou akbar kou né deum amoul dala diapoul ma warou, yalla soubhanahouwa taala ken mounou ko kham , ils ont dis que c interdit de dire ce nom a une personne humaine , mé alors lui il a créer doyna warrrrrrrrrrrrrr