La première audience n’ayant pu se tenir le mercredi 12 septembre, dans cette affaire de viol contre le journaliste Cheikh Yérim Seck, la seconde a finalement eu lieu ce 19 septembre. A la barre, CYS s’est défendu d’avoir commis un quelconque viol sur la personne de Ndèye Aissatou Tall.
Pour le journaliste, la jeune femme a « expressement consenti ». « Elle ne m’a ni repoussé, ni griffé avec ses ongles et n’a pas non plus , opposé une quelconque résistance. » « C’est après 15 mn de rapports, qu’elle a pleuré et paniqué à la vue du sang« , ajoute t-il.
« Sa sœur est à l’origine de tout. Sinon, elle n’aurait pas porté plainte« , fait remarquer M Seck
Revenant sur leur rencontre, Cheikh Y. S a affirmé n’avoir pas demandé à la fille, son numéro : « C’est elle qui me l’a donné sans que je ne le lui ai demandé« .
Le journaliste a toutefois fait savoir qu’il était désolé. Mais pour lui, » les dégâts sont partagés« .
Il n’a pas aussi manqué de » mettre en doute« , le certificat médical présenté à la barre, car les spécialistes lui ont dit qu’une femme peut saigner pour des raisons : soit de déchirures de l’hymène, ou soit de blessures à l’utérus.
nettali
mais ki c un menteur comen on peu pénétré une fille vierge sans kell ne bronche comme ca dal dans le plaisir ki daffa yapeu nit yi sakh
Hee yaw mi ya ya nitgni hana mouso lal. tu nous les mets avec tes idioties. c vrait qu une fille qui n est pas vierge peut saigne. il a raison de donnes les details des evenements meme si c sensible c cela la procedure kou begoul deg yenyi nga lire lenen on n force personne a suivre c proces. hypocrites vous etes pires et aimez vs faire passe pour des saints.