Xalima news – Les jours du mouvement feeke maci boole sont comptés. A en croire Le Quotidien qui donne l’info dans sa livraison du jour, le leader Youssou Ndour est dans une dynamique de fondre son mouvement dans l’Alliance pour la République (APR).
Une information qui est confirmée par Charles Faye, par ailleurs, porte-parole de l’ancien ministre du Tourisme.
« L’idée de dissoudre « Fekke ma ci boole » fait son petit bonhomme de chemin. Mais si ça doit avoir lieu, je sais que ça fera l’objet de discussion formelle au sein du mouvemen« , déclare Charles Faye dans les colonnes du quotidien.
Par ailleurs, il se murmure que Youssou Ndour veut ainsi s’appuyer sur l’appareil électoral que constitue l’APR pour se faire élire à la tête de la mairie de Dakar aux prochaines joutes locales. Une carte que le président Macky Sall entend jouer pour faire face à Khalifa Sall.
Le Quotidien rapporte que le leader de « Fekke ma ci boolé » veut figurer parmi ceux qui vont présider aux destinées de la commune d’arrondissement de la Médina.
Source: Le Quotidien
Ce ne serait que logique ! Pour cette fois-ci je suis en parfaite convergence de vue avec notre ami Youssou N’dour !
Quoi de plus normal et logique que quand on partage des idées, une doctrine politique, en un mot une vision avec quelqu’un, avec un parti politique ou un mouvement qu’on se rassemble dans une même structure ?
Bravo alors à monsieur N’dour et ses camarades pour avoir été inspirés dans le but de fondre leur parti dans le parti de leur choix.
Les Sénégalais, dans leur très large majorité, selon une étude ancienne, souhaiteraient qu’il y ait cette profusion de partis qui nous a fait battre le record du monde du pays ayant le plus grand nombre de partis politiques dont les 95% ne se réclament d’aucune idéologie connu!
Il appartient au gouvernement du Sénégal de poser des actes concrets pour obliger nos compatriotes à s’investir, s’ils le désirent au sein de quatre à six partis politiques qui se réfèreraient à quelques sensibilités politiques pour ainsi, favoriser des coalisions en vue de conquérir les pouvoirs sur des bases saines et claires.
Il y a des moments où la politique d’un pays doit s’exercer dans un champ de contraintes politiques, psychologique, sociales et démographiques dont le Président lui-même doit tenir compte pour poser sa marque dans la marche de son pays.
Le Sénégal a grandement besoin que des partis qui sont d’accord sur telle ou telle autre façon de gérer notre pays se rassemblent, et si les dirigeants des partis « cabines téléphoniques » faisaient des blocages, qu’on le leur impose, quitte à « tordre le coup » à ce principe démocratique qui empêche la limitation, au nom du droit à la liberté d’association, mais qui nous fait du tort dans nos pays en voie de développement qui devraient travailler mieux, en parlant moins !