[Audio-Exclusivité xalima] Adama Gaye témoigne et annonce son entrée en politique

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xalima-news-Adama Gaye a été l’un des premiers à avoir rencontré Mandela. Il a eu le privilège de voyager avec lui dans un avion prive et de l’interviewer pour le magazine Jeune Afrique Economie, en 1991.
Faisant une analyse de la vie de Nelson Mandela, le consultant international nous montre comment le premier président noir de l’Afrique du Sud était une personnalité aux dimensions multiples. Il est devenu à sa mort un symbole universel et son nom, une marque. Cet homme, aussi exceptionnel qu’il soit, avait aussi conscience malgré tout, de sa dimension humaine c’est-à-dire, il était quelqu’un qui a su reconnaître ses défauts et ses erreurs, refusant, selon ses propres termes, d’être considéré comme un saint.
Parmi les leçons de l’ancien président sud africain Mr Gaye aura retenu qu’il fallait s’engager en politique. Mandela, dit-il, s’est accompli en prenant des positions politiques et en restant fidèle à certains principes et valeurs supérieures pour faire triompher sa conception d’une Afrique du Sud post -apartheid. Ces diverses raisons expliquent pourquoi M. Gaye compte annoncer, sous peu, ses couleurs dans le jeu politique national. L’intelligentsia africaine, estime-t-il, ne doit plus rester les bras croisés alors que nos pays sont confrontés à de graves défis, notamment dus à l’absence d’un leadership capable, courageux et clairvoyant…Pour perpétuer l’œuvre politique d’un Mandela !

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Mayacine Diop.

22 Commentaires

  1. Felicitations Adama. Le pays a besoin que ses dignes fils s’engagent. Te connaissant, j’espere que tu as aussi pris les services d’un bon avocat pour poursuivre en justice les jaloux et medisants qui tenteront de te salir. Il est temps que les vrais combattants de la democratie dont tu fais partie sortent du bois, tout en gardant l’option nucleaire de faire face avec tous les armes contre les mediocres et vendus qui pullulent sur les sites et dans l’espace public senegalais…Bonne chance dans ces combats.

  2. je suis Adama Gaye depuis près de 10 ans et ses prises de positions sont le levier sur lequel je m’appuie pour me faire une opinion.FÉLICITATION, et vivement, soyez tel que vous êtes,on a besoin de personnes qui savent et qui ont parlé tout le temps qu’ils devaient le faire sans se soucier de plaire aux dirigeants.Vous avez toujours défendu des idées justes et je prie que vous le fassiez toujours. Peu d’intellectuels osaient donner un avis divergent du temps de la « wadie » et de la « mackie » naissante

  3. Courageux nak et constant ce gars…Et surtout si, pour des raisons alimentaires, les gens de l’Apr, ou quelque plumitif,osent encore s’en prendre a vous pour des ambitions perso, sortez la grosse artillerie. Vous en savez assez pour provoquer un seisme de la plus grande amplitude a l’echelle de Richter. Le pays est en crise. Se taire n’est plus une option, n’en deplaise aux cireurs de bottes des pouvoirs.

  4. Bravo Adama
    Je vous suivrai partout ou vous serez et je ferai parti si DIEU le veut un de vos militants de première heure Faites moi appel ma connaissance du pays, mons expérience et mon âge pourraient vous être utiles
    Courage

  5. Avec les premières réactions, cela sent déjà un énième remake de nos sénégalaiseries.N’allez-vous pas trop vite en besogne? Il n’a encore rien dit de clair (sans parler de la cohérence, à surveiller par la suite,entre le discours et l’engagement effectif et jamais démenti, et vous faites déjà du « djebbelou » a priori?
    Non, il ne faut pas suivre les individus pour eux-mêmes, quels qu’ils soient, mais leurs idées et actions d’émancipation et de développement auto-centré de nos pays et de notre continent, et cela de facon critique et intransigeante. Que fait-on s’ils se dédisent prestement, faisant un virage à 180 degrés, compte tenu de leurs intérêts perso, aller brouter sur les verts, ou plutôt marrons paturâges? Cela est bien sénégalais, n’est-ce pas? A mon avis, seule la nation doit être le critère. Mais, c’est vrai, on est en Afrique où on a, semble-t-il, toujours besoin de quelqu’un au-dessus de soi, auquel on impute(ra) ses réussites et ses échecs….

  6. @Modd Seck Taaly…Merci pour votre contribution mais ne versez pas dans les jugements de valeur. Monsieur Gaye n’est pas une girouette, ne l’a jamais ete, ne le sera jamais. Cessez d’employer des formules vertes du genre brouter dans telle ou telle prairie. Gaye ne broutera pas dans une quelconque prairie. Il fera de la politique a visage decouvert sur la base de ses convictions et des responsabilites qu’il considere siennes. D’accord avec vous sur la centralite de la nation, cependant. Mais n’empechons pas ceux qui veulent agir de le faire. L’Afrique souffre du verbiage de ceux qui decouragent les initiatives les plus simples, honnetes. Wassalam!

  7. Pour ceux qui connaissent l’homme et ses antecedents aussi bien a Africa NO1 et a Jeune Afrique, son entree en politique n’est pas une surprise. Ce qui constitue une surprise, c’est le long detour utilise pour atterrir sur l’aeodrome politique.
    Dites-moi ce que ce mec a concretement fait pour le Senegal? A-t-il jamais planté un arbre, pas en Chine, mais au Senegal? A-t-il jamais créé un emploi, ou dispensé des cours gratuits a des éleves? A-t-il jamais cree ou essayé de creer une activite economique, pas en Chine, mais au Senegal?

    • Moi aussi, cher Badiane, j’aimerais bien savoir dans quel domaine concret il aurait servi ses semblables, dans son quartier, village ou Ville.
      On peut avoir des grandes ambitions à être un personnage important dans son pays sans avoir aucune ambition pour l’ensemble de ses compatriotes.
      Curieusement, ceux qui aspirent à occuper les fonctions gouvernementales au Sénégal, e ne parlent jamais de partage des richesses, de diminution drastique des revenus tirés de l’exercice de toutes ces fonctions.
      Quand on sait qu’il y a peu d’activités qui permettent de gagner en peu de temps ce qu’on aurait pu gagner en moins de vingt ans, on peut douter de la sincérité de beaucoup de prétendants.
      Le jour où on nous proposera de ne rémunéré qu’à la limite de 70 fois le SMIC tout élu et tout membre du Gouvernement, je ne croirais à personne dans ce pays.
      Pour donner l’exemple de ce qu’il faudrait faire au Sénégal, j’ai commencé à me l’appliqué en m’exigeant de donner 30% de mes revenus à ma Communauté de Grand/M’bao/mer dès 2014.
      Nos populations ne sont généreux que pour leur entourage familiale alors que dans les pays organisés la solidarité est d’abord officielle, parce que imposée par les textes clairs dont personne n’oserait oser se soustraire.
      Ce monsieur, dont je respecte l’engagement ne ferait pas plus que Mame Adama Guèye qui est rentré dans le rang après avoir cru que le peuple était prêt à faire confiance à un troisième homme, d’autres aussi ont fini par se rallier à l’homme fort du moment.
      Ce monsieur n’aurait il pas voyagé en Afrique du Sud dans l’avion présidentiel il y a quelques mois?

  8. Mais Badiane, ce que ce mec a fait concretement pour le Senegal demandez-le autour de vous, si vous voulez savoir. Au Senegal. Des gens comme vous pensent que l’aerodrome politique c’est une sphere privee. Detrompez-vous. Et si vous versez dans la diffamation, meme par internet, la justice s’occupera de votre cas. Leggui thiakhaan faxxee…Politique et justice rekk.

    • Sincèrement, je ne demande qu’à être édifié sur son parcours, et je serais même prêt à l’aider si besoin. Si vous savez quelque chose sur ce monsieur, autrement que par sa profession de foi dites le nous!
      Merci!

  9. Au moins Adama Gaye lui ne fait pas partie des voleurs qui sont poursuivis par la Crei ni parmi ceux qui le seront demain. Si Badiane etait honnete il s’informerait mieux pour savoir combien ce mec a rendu des services ou amene des projets a son pays. Et puis c’est drole de ne pas considerer que la contribution intellectuelle comme aussi importante que n’importe quelle autre demarche economique, et la Monsieur Gaye reste une valeur sure. Oui, en avant pour de nouveaux hommes politiques au Senegal, comme lui !!!

  10. @Jouvence; tu es certainement la seule personne au monde qui peut dire sans reserve que tel ou tel fera ceci ou ne fera pas ceci ou cela dans le futur. Mandoul. Tu ne sais pas qui ce Gaye va supporter ou quelle idee concrete il a pour lutter contre le seul adversaire de ce peuple qu’est la pauvrete. En tout cas un gars qui passe tout son temps a dire que je suis Mbacke-Mbacke, ou que tel ou tel leader politiqu ou religieux est mon copain, generalement s’il entre en politique c’est pour le prestige, ou supporter ses copains ou se donner de l’importance. Les Kaolackois connaissent ce gars jusqu’a l’histoire de son pere. Un gars qui a toujours eu la certitude d’etre sorti tout droit dela cuisse de jupite, qui passe son temps a raconter ses voyages dans tel ou tel jet prive ou de yacht de tel businessman. En tout je me mefie de ce genre d’individu. DEF LENE NDANK

    • Oh la la…Xfhhs moytoul diffamation. Ca peut etre lethale. Koumou nekh mou deff politique. Les jaloux vont maigrir. Parler au nom des Kaolackois sans qu’ils vous donnent un avis, c’est pretentieux.

  11. C’est tellement bête de penser que la seule manière de contribuer au développement d’un pays est de construire des usines ou de mener une activité économique. Cette vision du pauvre doit nous quitter impérativement si nous voulons avancer. C’est ce qui explique la larbinisme, le griotisme, l’enrichissement illicite et bien d’autres maux qui gangrènent la société sénégalaise. Cette notion de « looma défal » plombe notre développement. Ceux qui ont le plus d’influence positive sur la scociété sénégalaise (Cheikh A. Bamba et El H. Malick Sy) n’ont laissé aucune usine. Il y a un progrès mental à faire dans ce pays et Adama Gaye et des gens comme lui sont en ce sens très utiles.

  12. Moi aussi, cher Badiane, j’aimerais bien savoir dans quel domaine concret il aurait servi ses semblables, dans son quartier, village ou Ville.
    On peut avoir des grandes ambitions à être un personnage important dans son pays sans avoir aucune ambition pour l’ensemble de ses compatriotes.
    Curieusement, ceux qui aspirent à occuper les fonctions gouvernementales au Sénégal, e ne parlent jamais de partage des richesses, de diminution drastique des revenus tirés de l’exercice de toutes ces fonctions.
    Quand on sait qu’il y a peu d’activités qui permettent de gagner en peu de temps ce qu’on aurait pu gagner en moins de vingt ans, on peut douter de la sincérité de beaucoup de prétendants.
    Le jour où on nous proposera de ne rémunéré qu’à la limite de 70 fois le SMIC tout élu et tout membre du Gouvernement, je ne croirais à personne dans ce pays.
    Pour donner l’exemple de ce qu’il faudrait faire au Sénégal, j’ai commencé à me l’appliqué en m’exigeant de donner 30% de mes revenus à ma Communauté de Grand/M’bao/mer dès 2014.
    Nos populations ne sont généreux que pour leur entourage familiale alors que dans les pays organisés la solidarité est d’abord officielle, parce que imposée par les textes clairs dont personne n’oserait oser se soustraire.
    Ce monsieur, dont je respecte l’engagement ne ferait pas plus que Mame Adama Guèye qui est rentré dans le rang après avoir cru que le peuple était prêt à faire confiance à un troisième homme, d’autres aussi ont fini par se rallier à l’homme fort du moment.
    Ce monsieur n’aurait il pas voyagé en Afrique du Sud dans l’avion présidentiel il y a quelques mois?

  13. @Sadaga Diop. Nous ne nous connaissons pas. Mais je me dois de vous repondre. Voyager dans l’avion presidentiel, appurtenant a tous les contribuables du Senegal, dont je fais partie, n’est pas un crime. Je ne suis pas alle en Afrique du Sud dans l’avion presidentiel. Mon dernier voyage en Afrique du Sud a ete paye par moi meme. En revanche, sur invitation du President Senegalais(que je remercie) j’ai pris l’avion presidentiel pour me rendre en Namibie avec lui parce que surtout un de mes amis proches m’avait invite a cette occasion -il s’agit du Premier Ministre Namibien, Hage Geingob. Futur President de la Namibie, il est un de mes amis de longue date. Je remercie tous ceux qui ont reagi a mon interview, y compris les critiques…bienvenus. Cela dit, le champ politique n’appartient a personne. S’engager est meme un devoir citoyen. Je remercie aussi Xalima pour le travail remarquable qu’il fait…Vive le Senegal democratique et libre. Quiconque prefere jouer sur un terrain interdit par la loi, par la diffamation, en subira les consequences. Rien ne doit plus empecher la libre expression des opinions et des ambitions legitimes. Ce pays est le notre, a tous. Wassalam !

  14. Cher Adama,

    Je dis cher, parce que vous me semblez être animé d’une grande volonté pour changer les choses, si j’en juge par le contenu de vos différentes sorties dans les médias, dont celle avec Oumar Gningue il y a quelques mois !
    Loin de moi le mauvais esprit qui m’animerait en évoquant ce voyage avec le Président de la République.
    Je me posais simplement la question de savoir si vous ne seriez pas de ceux qui s’apprêteraient à rejoindre cette « nouvelle alliance » naissante autour du Président Macky Sall dans la perspective d’insuffler une dose d’efficience dans la manière dont notre pays est dirigé depuis quelques mois.
    Je serais très heureux d’avoir en vous celui qui créerait un électrochoc salutaire dans les mentalités pour qu’enfin nous menions une véritable révolution sociale et politique au Sénégal pour que dans moins de quinze ans il soit possible à plus de 90% de nos populations de se faire soigner, que nos enfants soient dans de bonnes conditions pour apprendre et nous ayons au moins de quoi vivre convenablement.
    Je serais sans aucun doute à vos côtés si votre objectif est de sortir de ces sentiers battus que nos gouvernants suivent depuis plus de cinquante ans sans grands succès.
    Voyez en moi un futur partenaire dans ce combat si c’est le vôtre! Bon week-end!

  15. Cher Sadaga,
    Votre interpellation m’oblige. Je vais etre un peu long. En en profitant pour m’adresser aux autres qui ont suivi le debat suscite par l’interview publiee par ce site, qui m’a fait l’honneur de m’inviter a temoigner a l’occasion du deces de Mandela afin d’evoquer les incidences qu’il peut avoir sur notre pays.

    Je suis soucieux de ne pas verser dans une sur-exposition mediatique susceptible d’amoindrir la portee des vues que je tente de porter. Ni, donc, de vouloir repondre a toutes les reactions, du reste fort attendues pour instaurer un debat ouvert et constructif. Je ne m’en rejouis pas moins de constater qu’au fond nous sommes, l’un et l’autre, beaucoup d’autres senegalais sans doute avec nous, animes par les memes ambitions pour ce pays. Ce qui nous reunit, c’est la claire conscience que nous avons des defis multiples qui continuent de plomber sa marche.

    Soyons-francs: se parler ne signifie pas gommer les differences d’identites encore moins nier les valeurs differentes qui peuvent nous separer dans une culture democratique plurielle qui presuppose l’existence de conflits conceptuels des lors que la competition electorale, politique ou ideologique soit tournee vers la production d’offres politiques de nature a tirer le Senegal, demain, hors des eaux boueuses dans lesquelles il s’enlise. Etre democrate, c’est accepter que des forces diverses aillent vers les electeurs-citoyens pour cueillir leurs suffrages. Sous ce rapport, il est concevable que le pouvoir en place tente de mettre en oeuvre une nouvelle alliance autour du President. C’est son droit. Comme d’autres forces ont celui de le contrer. Democratiquement. A ce stade, je ne me sens pas concerne par cette alliance autour du President. Mais si on m’en parle, je me reserve le droit d’ecouter de quoi elle retourne, avec l’option de decliner toute participation!!! Cela pose, je refuse desormais la conception manicheenne de la politique si dommageable a notre pays ces dernieres annees. D’abord parce qu’il est important de tirer les lecons des comportements aux antipodes de leurs vues anterieurs que certains heraux, devenus des zeros de la democratie, observent depuis qu’ils sont aux manettes du pouvoir. Les vrais democrates ne sont pas les plus bavards. Par ailleurs se parler, parler meme avec le diable, ne signifie pas se compromettre ni vendre son ame.

    Je suis meme convaincu que le refus radical d’engager un dialogue avec Abdoulaye Wade, au cours des douze dernieres annees (surtout quand il pronait, a tort ou a raison, la realisation d’une majorite d’idees), en preferant plutot l’affronter sans recul, les adversaires politiques de Wade (dont je me comptais) ont ete aussi coupables que lui de l’accouchement, en 2012, comme cela avait ete le cas en 2000, d’une transition democratique grosse de desillusions…Si en lieu et place le principe d’une transition pactee, par un dialogue sans compromission, vigoureux et profond, avait triomphe, le Senegal, a l’instar d’autres democraties reussies ailleurs, aurait eu une alternance moins brouillonne que celle qu’il vit aujourd’hui. Il est tentant des lors de penser que seul un electrochoc peut le tirer d’affaire, comme vous le suggerez. Gardons-nous cependant des formules sans consequences. Pour aller de l’avant, le premier pas devrait consister a mettre en sourdine les inquisitions et attaques personnelles relevant plus d’un enfantillage intellectuel mediocre que d’un souci de redonner du lustre a l’economie, a la politique, bref a la nation senegalaise. Dans ce contexte, la disparition de Nelson Mandela m’est apparue comme le meilleur pretexte pour reflechir aux enseignements de sa vie. Le premier d’entre eux est que dans la situation peu reluisante du Senegal, aucun messie n’a les solutions qu’il faut au pays. Leader emblematique mais capable de jouer en equipe, Mandela n’a pas agi seul. Son partenaire fut De-Klerk. A-t-il trop concede aux blancs dans la repartition des richesses nationales? Peut-etre. Mais le resultat n’est pas mal, au final: l’Afrique du Sud post-apartheid est en marche, dans la douleur certes mais dans les faits c’est une realite ! D’autres leaders de pays ayant reussi a surmonter les clivages internes qui les dechiraient, ont aussi pu creer les bases d’un vrai depart democratique, economique et social, plus equitables et durables. Le Senegal doit s’elever pour faire de meme. Pour y parvenir, il faudra un leadership clairvoyant, courageux, capable….Une oeuvre collective? Des dirigeants ‘transformationels’? Dans tous les cas, cela ne pourra se faire sans qu’un terme soit mis aux alchimies de salons pour preserver des interets gregaires ou aux scenes folkloriques ou l’argent est jete par terre pendant que resonnent des hagiographies immeritees.

    Ce message est un tantinet oecumenique mais il n’a pas vocation a absoudre les mefaits des predateurs qui sont aujourd’hui -ou pourraient l’etre demain- dans l’oeil du cyclone. Vous avez dit courage? Je dis capacite de se depasser. Ceux qui ont en partage des valeurs communes qualitatives doivent alors pouvoir se retrouver. Le pays en vaut la chandelle !

  16. Planter un arbre dans est un geste symbolique certes, mais tres significatifet et riche en enseignements pour les bons esprits. Quand on ne peut se prevaloir d’une telle servitude pour son pays,LE SENEGAL, la pudeur devrait nous imposer une certaine HUMILITE.Et eviter tout amalgame. N’est-ce pas Senegal Ndiaye?

  17. Pour empecher le debat, certains n’ont que des jugements de valeur a la bouche. Vraiment, la situation du pays exige qu’on en parle. Bon y en a qui vont prendre part au debat interessant rien que pour defendre le regime.

  18. Vraiment Badiane, parlons des enjeux mais pas des personnes. Surtout que tu ne sembles pas connaitre la personne qui fait l’objet de ta maladive jalousie. Demmal fadjou dji et après tu pourras contribuer au debat. Sinon, tu risques de subir une action en justice, et alors lossi gobee garr ko.

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