Elle aurait pu se draper dans les oripeaux du titre même officieux de Première Dame pour se passer des regards de simples curieux ou des quolibets d’opposants professionnels en mal d’arguments politiques. Elle aurait pu, à l’instar des épouses de chefs d’État Mamans-Benz plus enclines à faire leurs emplettes à prix d’or, loin des sénégalaiseries de mauvaise saison, pendant que son mari de Président de la République se démène comme un diable, au milieu des Grands du monde, pour vendre l’image rutilante de notre cher Sénégal.
En bonne mère de famille, en militante respectée des grandes causes sociales et sociétales, Marieme Faye Sall, a refusé le confort des beaux palaces pour se mêler aux citoyens convaincus par la politique du Président Macky SALL afin de porter la réplique aux saboteurs regroupés en toute petite quantité, décidés à jeter honteusement du sable dans le couscous.
Contrairement aux bruits véhiculés par les mauvais perdants, la Première Dame est restée stoïque, sereine, admirablement debout sur ses pieds pour les observer avec son légendaire sourire.
Une autre attitude nous aurait surpris.
Sans elle, nous étions nombreux et déterminés à relever le défi. Avec elle, nous nous sommes sentis requinqués et dopés, prêts à encore découdre avec ces néo-opposants encore sous le choc de leur cinglante défaite du 24 février 2019 lors de la présidentielle remportée haut la main par le président Macky SALL.
Depuis la publication des images volontairement gonflées pour intoxiquer l’opinion publique nationale à travers les réseaux sociaux, des millions de compatriotes ne cessent de manifester leur indignation. Largement suffisant pour témoigner de l’attachement des consciences populaires à la Première Dame, Marieme dont les immenses efforts fournis aux côtés de époux ont fini d’obtenir l’approbation de toutes les intelligences et l’adhésion massive du peuple, notamment les couches défavorisées.
Doxaal sa dokh, Faye Birame Penda Wagane ! Allah est avec les justes.
Sale larbin. Texte digne d’un esclave pour son maître.
Oui un vrai gueule. Il s’en fou de la Bonne marche du pays. Pourvu qu’il rentre chez lui avec un gigot et quelques billets en poche.