Classement des pays africains les plus prospères en 2016 : Le Sénégal dans le top 10

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Le Sénégal est considéré comme le 7ème pays le plus prospère de l’Afrique durant l’année 2016. C’est du moins ce que révèle une étude Intitulée «Africa Prosperity Report 2016». Selon ce rapport  qui classe 38 pays africains en fonction de la prospérité qui y règne, l’Afrique du Sud reste le pays africain le plus prospère du continent.

Le Sénégal est classé 7ème pays le plus prospère d’Afrique en 2016, indique un rapport Intitulée «Africa Prosperity Report 2016». L’étude classe 38 pays africains en fonction de la prospérité qui y règne.  L’Afrique du Sud reste le pays africain le plus prospère du continent, selon ce rapport publié le 1er juin par le Think Tank londonien Legatum Institute.

Legatum Institute établit son classement en se basant sur les niveaux de Pib par habitant ainsi que sur 89 facteurs qu’il regroupe en huit grandes catégories. Il s’agit de  l’économie, la présence d’opportunités d’entrepreneuriat, la gouvernance, l’éducation, la santé, la sécurité, la liberté personnelle et enfin le capital social.  Le document précise ainsi  que  la catégorie «liberté personnelle» inclut, entre autres, la liberté d’expression et de conscience ainsi que la tolérance à l’égard les minorités.

Bien qu’elle n’occupe actuellement que le rang de 3ème puissance économique du continent derrière le Nigeria et l’Egypte, l’étude relève que la nation arc-en-ciel doit sa suprématie en matière de prospérité à ses bonnes performances dans les catégories éducation, capital social, santé, gouvernance, présence d’opportunités d’entrepreneuriat et liberté personnelle. Selon la même source, l’économie la plus industrialisée du continent réalise cependant des performances moyennes dans les domaines de l’économie avec un score de 12  points et de sécurité avec un score de 19 points. Plus le nombre de points attribués est important, plus la catégorie est problématique pour le pays.

Le Botswana est le deuxième pays le plus prospère du continent. Et ce sont les catégories éducation,  gouvernance, présence d’opportunités d’entrepreneuriat,  sécurité et  liberté personnelle qui ont tiré ce pays vers le haut.

Le Maroc occupe la troisième position dans ce classement devant la Namibie, l’Algérie, la Tunisie, le Sénégal, le Rwanda et le Ghana. Le Burkina Faso ferme le Top 10.

Legatum Institute souligne par ailleurs, que le Rwanda a réalisé la plus forte progression par rapport à la précédente édition du classement grâce notamment aux réformes lancées dans le domaine du renforcement de l’Etat de droit et de la lutte contre la corruption.

Suivant le rapport, le Sénégal et le Burkina Faso ont aussi réalisé de belles progressions du fait de l’amélioration de leurs performances dans les domaines de la liberté personnelle et de la gouvernance.

Sud Quotidien

1 COMMENTAIRE

  1. Parmi les 25 les plus pauvres; oui. J’avais pourtant averti les sénégalais dés 2012.
    Rappel.
    Après la campagne pour faire haïr Wade (qui se poursuit encore, jusqu’après les législatives), on est dans la campagne pour faire aimer Macky. Fini le plan B de Wade. Fini le Wade sans Wade. Vive le timonier élu par le peuple, l’étoile polaire du destin national, le phare lumineux, le firmament de l’humanité.
    Macky vous allez l’aimer et vous allez croire l’avoir fait exprès. « Qu’est ce que gouverner le monde si ce n’est faire croire à des imbéciles qu’ils pensent d’eux même ce que nous leur faisons penser ? » dixit Jean Anouilh. L’encerclement des cerveaux sera totale aucune pensée indépendante ne sera tolérée. Les outils pour le faire ? Les médias, bien sûr ! Je rappelle, « Donnez moi un homme et deux pouvoir et je lui ferais croire qu’un singe est son dieu. Donnez moi le pouvoir de le répéter et celui de lui interdire toute autre source d’information que moi » dixit le Révérend Moon. Le groupe Walf, qui tente d’être une autre source d’information, ne sera pas épargné. Ou Sidi entre dans les rangs, ou il sera brisé. Il faut qu’il entre dans le moule, dans la matrice. Il faut que toute la presse parle ensemble, comme toujours, pour mettre les sénégalais dans la… prison break.
    Prenez dates et repères. Macky a pris le pouvoir alors que le Quotidien pataugeait dans des difficultés au point de quitter son siège pour aménager dans le domicile de Madiambal, Sud nage dans la dèche au point de se retrouver avec des antennes régionales à un seul journaliste (mais Sud est riche d’un terrain d’un milliard non transformé en argent), Youssou Ndour signait des chèques sans provisions (TFM, RFM et Obs. dans la dèche), le Populaire traînait des arriérées de salaires. Bientôt tous seront liquides. La presse n’a pas fait le travail de diabolisation de Wade pour ne pas encaisser des dividendes. Bientôt Souleymane Jules Diop dans le staff de Com. de Macky. Latif Coulibaly ne voyant aucun signe révèle que le gouvernement de Macky n’a pas respecté les Assises Nationales par la nomination de Mbaye Ndiaye à l’Intérieur. Bientôt lui aussi sera intégré et il ne révélera plus rien.
    Macky vous allez l’aimer et vous allez croire l’avoir fait exprès. Le cercle se referme sur le peuple. Les alchimistes de la presse vont vous transformer le plomb en or. Le travail de conditionnement des cerveaux a commencé. L’esprit critique sera abattu par la persuasion médiatique. Des exemples ? Quand après 2000, Wade nommait des premiers ministres hors de son parti, la bulle médiatique dans la presse a été qu’il n’y a pas de cadres au PDS (donc un parti de nullards). Quand en 2012 Macky nomme un premier ministre hors de l’APR, dans les médias, c’est la preuve qu’il veut travailler, c’est la rupture dit-on. Au Sénégal de 2012, il n’y a pas besoin même du CFEE pour être ministre pendant que les autres ministres du même gouvernement sont encensés, dans la même presse pour leurs diplômes. Ici le diplôme prouve le mérite, là l’absence de diplôme prouve le mérite sur la même page de journal. Le matraquage médiatique fera le reste. L’esprit critique sera abattu. La mémoire sera effacée. Tant et si bien que le sénégalais qui parle d’absence de diplôme est pris pour un con. C’est le nouveau type de sénégalais (NTS) qui est en vogue. Une fois qu’on est NTS, on n’a pas besoin d’un autre diplôme. La fuite des cerveaux peut se poursuivre, le Sénégal de 2012 n’a plus besoin de diplômés pour le diriger. La presse l’a dit, alors honni soit qui mal y pense.

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