Xalima news – Le Premier ministre éthiopien, Hailemariam Desalegn (photo), a annoncé à Ecofin que son gouvernement table sur un taux de croissance de 14% en 2014, soit un niveau plus élevé que le taux de 11,4% fixé auparavant par le parti au pouvoir. «Ce taux de croissance devrait être atteint grâce à une importante épargne nationale et un taux d’inflation bas», a-t-il précisé devant les députés. S’efforçant de lutter contre l’inflation, le gouvernement éthiopien a resserré sa politique monétaire. Cette mesure lui a permis de juguler l’évolution des prix à la consommation, qui a été ramenée à 7% en mars 2014, contre 31 % en novembre 2011. Depuis 2005, l’Éthiopie fait partie des États africains non pétroliers qui connaissent les plus forts taux de croissance, soit en moyenne 10 % par an. Peu nantie en ressources naturelles, l’Éthiopie cherche désormais à développer son industrie manufacturière en récupérant une partie des délocalisations en provenance des BRICS. La combinaison d’une énergie électrique peu chère, de bas coûts de main-d’oeuvre et d’un niveau de formation élevé, a déjà attiré de nombreux investisseurs. Les Chinois, les Turcs, les Israéliens et les Saoudiens ont massivement investi dans ce pays de la Corne d’Afrique, ces dernières années.
Source: EnQuête
je suis agerienne je suis etudient a bejaia j ai fait la lotry 2014
« Peu nantie en ressources naturelles, l’Éthiopie cherche désormais à développer son industrie manufacturière en récupérant une partie des délocalisations en provenance des BRICS. La combinaison d’une énergie électrique peu chère, de bas coûts de main-d’oeuvre et d’un niveau de formation élevé, a déjà attiré de nombreux investisseurs. Les Chinois, les Turcs, les Israéliens et les Saoudiens ont massivement investi dans ce pays de la Corne d’Afrique, ces dernières années ».
Toute la différence avec notre pays est là! Aussi longtemps que nous n’aurons pas été capables de fabriquer nous mêmes des produits pour l’export et pour la consommation intérieure nous ne leur arriverons pas à la cheville. C’est pareil pour les pays du Maghreb qui espèrent tous nous vendre leurs produits manufacturés qui leur rapportent et leur rapporteront des centaines de milliards par ans .