Le ministre conseiller en charge de la communication à la Présidence, El Hadji Kassé a recadré mercredi les hommes politiques et chroniqueurs par rapport au débat sur la double nationalité qui défraye la chronique depuis quelques jours au Sénégal, précisant que c’est une question qui concerne seulement les candidats à l’élection présidentielle.
«C’est un débat qui concerne les candidats à l’élection présidentielle. Il n’y a pas donc un débat sur la bi-nationalité ou la double nationalité au Sénégal. Les hommes et femmes politiques du Sénégal doivent savoir raison-garder. Il n’est pas possible de construire une démocratie apaisée dans la mauvaise foi, l’intoxication et la désinformation», a défendu l’ancien journaliste dans les colonnes du quotidien Le Soleil.
Le chargé de la communication de Macky Sall intervenait sur la Rfm dans l’émission «Point de vue», par rapport à cette question d’actualité. D’après lui, ce qui se passe avec cette affaire, c’est «simplement» que celui qui veut diriger le Sénégal en qualité de président de la République, doit être de nationalité exclusivement sénégalaise.
«Cela ne date pas d’aujourd’hui. C’est quand même malheureux que des chroniqueurs, des hommes politiques, pensent qu’il y a un débat sur la ‘sénégalaité’. Il n’y a jamais eu un débat sur la ‘sénégalaité’. Nous sommes mieux placés pour le dire, parce que c’est avec le président Macky Sall que nous avons voté une loi qui permet à l’étranger marié à une Sénégalaise d’avoir la nationalité sénégalaise. Il ne faudrait pas que pour des raisons de politiques politiciennes, de la démagogie qu’étende le débat à la question de la nationalité de façon générale» a-t-il renchéri.
Selon El Hadji Kassé, la loi sur la nationalité du président de République est impersonnelle. Elle ne cible personne.
«Il ne faudrait pas que des esprits malsains veulent imposer des questions, ou des interprétions sur un débat sur une base tout-à-fait démagogique. C’est inaccaparable. Pour une démocratie apaisée, la bonne foi doit être un impératif», a-t-il dit.
Kassé a rappelé que c’est le ministre-conseiller et directeur des élections, Benoît Sambou qui avait fait la proposition de loi sur la double nationalité. «Il l’a fait avec d’autres participants lors des concertations autour du code électoral. Il a parfaitement le droit et il l’a argumenté. Il a dit que cinq ans correspondent à la durée du mandat du président de la République. C’est un argument objectif», a-t-il précisé.
Il a également indiqué Benoît Samba avait proposé que cette disposition ne soit pas appliquée au mandat en cours.
Mariama Diémè
lignedirecte.sn
Voilà qui est clair. C’EST LEUR DEUXIÈME CAMPAGNE DE DÉSINFORMATION. CAMPAGNE MENÉE PAR CEUX QUI ONT VOTÉ NON AU RÉFÉRENDUM ALORS QUE LA CONSTITUTION ACCORDAIT DES NOUVEAUX DROITS À CETTE DIASPORA QU’ILS DISENT DÉFENDRE AUJOURD’HUI. DÉFINIR LES CONDITIONS À REMPLIR POUR SE PRÉSENTER À L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE QUOI DE PLUS NORMAL POUR UN PAYS QUI SE SOUCIE DE SA STABILITÉ.
ILS ONT POUSSÉ LEUR MALHONNÊTETÉ JUSQU’À NE PAS PRÉCISER QUE LE PROJET DE LOI EN QUESTION NE S’APPLIQUERA PAS À LA PROCHAINE PRÉSIDENTIELLE.
J invite les senegalais a regarder les cas Carlos Menem et Fujimoro pour mieux comprendre Ce garde fou meme sorti de la bouche d un fou.
On ne badine pas avec la fonction de President,on l a fait jusque la et ca n a produit que des vendus,des dictateurs,des affames de pouvoir.
On devrait ajouter a cette disposition:
-Le President est soigne en cas de maladie au Senegal
-Sa famille est soignee au Senegal en cas de maladie
-Le president ne peut posseder en aucun cas des biens a l etranger
-Les enfants du President sont scolarises au Senegal-
On aura au moins des hopitaux et un systeme scolaire qui fonctionnent.
Monsieur les communistes qui entourent notre president vous etes entrain de detruire notre republique par vos idees depassèes de dictature et mensongere que les etats reconnus de ce susteme ont abandonnè
De toutes façons c’est son camp qui a levé le lièvre.