Des actes concrets vous dites ? Et pourtant le «Yonou Yokkouté est chantier ». Par Alioune Ndao Fall

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« Ma vision d’un Sénégal émergent repose sur trois priorités : moderniser l’agriculture pour atteindre l’autosuffisance alimentaire, redresser le secteur de l’énergie à des coûts supportables et réaliser des infrastructures à l’échelle nationale avec des pistes de désenclavement en zone rurale. », a affirmé le Président Macky Sall le 16 octobre à Bruxelles.

N’en déplaise à certains hommes politiques irresponsables, éternels perdants, en connivence avec une certaine presse. Le Président de la République et son gouvernement demeurent résolument engagés, pour mettre en place les fondements d’un Sénégal en développement. «La patrie importe plus que le parti» n’est pas un vain mot, mais une conviction profonde pour le leader républicain.  En d’autres termes, le Président Macky Sall n’est nullement préoccupé pour sa réélection en 2017. Loin s’en faut. Au terme de son mandat le peuple souverain sera le seul juge.  Son seul objectif aujourd’hui reste : la réalisation concrète de son projet de société «Yonou Yokouté » qui, sans coup férir, pourra sortir le Sénégal du désastre économique et social chronique qui lui a été, inopportunément, légué par le pouvoir libéral. Ces opposants sans projet et leurs complices, prêts à vouloir semer le désordre et la pagaille dans le pays, uniquement pour la réalisation de leurs propres ambitions, feignent d’ignorer les décisions multiples et courageuses prises régulièrement lors des Conseils de Ministres et autres rencontres du gouvernement. Ils cherchent à manipuler et tromper le peuple qui, en définitive, est loin de prendre la pleine mesure des décisions prises en sa faveur. Malgré la situation économique mondiale très critique, où même des pays développés se trouvent pratiquement en état de faillite, le Président de la République pose et pense une nouvelle politique sociale, pour l’épanouissement de nos populations tout en veillant à une bonne gouvernance, seule gage du développement économique de notre pays.

 

Le 20 septembre dernier, dans le cadre de l’aide alimentaire, le Chef de l’Etat a mis à la disposition du Programme Alimentaire Mondial une contribution de 1,5 milliards de francs CFA, à titre d’appui, pour la distribution des vivres de soudure. La Direction générale de la Protection Sociale et de la Solidarité nationale, travaille actuellement sur la mise ‘en œuvre du socle national pour la protection sociale, dont la couverture universelle sera le fondement, à côté de la bourse familiale et de l’assistance aux plus démunis. Lors du Conseil des Ministres du 4 octobre, le Gouvernement, sur les produits pétrolier, a consenti à réduire la TVA pour limiter la hausse. En effet, l’abandon par l’Etat, des recettes de TVA au cours des quatre semaines à venir, est estimé à 1,5 milliards de francs. Pour rappel, pendant presque tout le premier semestre 2012, le prix du gasoil a été bloqué à 792 F le litre. Effectivement, l’application de la vérité des prix pour les carburants aurait conduit à une hausse plus importante. La même volonté de soutenir le pouvoir d’achat des ménages a conduit le gouvernement à faire le même effort pour le gaz butane dans ses différents emballages. En décidant de limiter de moitié la hausse des prix du gaz butane, le gouvernement supporte à hauteur de 741 millions de francs, la perte de l’importateur pour les quatre semaines à venir. Le Président de la République monsieur Macky Sall, veille scrupuleusement sur la transparence et la bonne gouvernance, en matière de marchés publics et au respect des règles qui les régissent. Toutes les structures de l’Etat sont appelées à se conformer aux règles de passation des marchés, afin que nos entreprises reprennent leurs activités et créer ainsi de la richesse au bonheur des Sénégalais, sans exclusive aucune.  Le Chef de l’Etat insiste aussi sur la nécessité de mettre en œuvre un processus de recensement et de maîtrise des effectifs des jeunes sans emplois.

En résumé, pour clore ma réflexion, la politique de rupture initiée par le Président de la République concernant les inondations (Programme National de Gestion des Inondations), qui repose sur trois quatre volets, est encore plus édifiante.

1 –  le déplacement/réinstallation des populations sinistrées, installées dans des bas-fonds sur des zones aménagés et équipés, offrant un meilleur cadre de vie.

2 –  la réalisation d’infrastructures et de drainage des eaux pluviales,

3 –  la restructuration urbaine des zones et quartiers inondées

4 –  l’amélioration de la politique d’aménagement du territoire et le développement de nouveaux pôles urbains.

 

A titre indicatif, le budget global de tout le programme est estimé, pour le moment, à 767 milliards de francs CFA. Pour la phase d’urgence 2012-2013, le budget s’élève à 66 milliards de francs CFA. Au niveau institutionnel, le Président de la République a demandé au Chef du gouvernement de lui proposer, dans les deux mois à venir, une structure optimale de coordination de la gestion des inondations, impliquant tous les acteurs concernés, notamment la Société civile et le monde de recherche.  La barre du navire Sénégal est bien tenue. Laissons le Président de la République, bien élu des Sénégalais (65,80% des suffrages exprimés) travailler, pour prendre à bras le corps le gâchis profond que le régime précédent lui a légué. Après douze longues et pénibles années de gestion catastrophique, tout le Sénégal est à reconstruire.

 

Alioune Ndao FALL

Secrétaire national chargé de la Diaspora APR

 

 

 

 

 

5 Commentaires

  1. Ne rêvopns pas, notre pays ne pourra s’en sortir que lorsque l’éducation et la formation seront obligatoire juisqu’à 18 ans. Quand les jeunes n’ont aucune formation, comment pourraient t-ils travailler, et à quoi faire ? Cintrer des bananes ? Si chaque jeune avait la possibilité d’être formé dans un Lycée après le BEFM pendant au moins quatre ans dans la menuiserie, l’ébénesterie, la plomberie-Sanitaire, l’électronique, l’électricité, la pêche, l’agriculture et la machinerie Agricole, la couture industrielle et tant d’autres métiers, nous pourrions envisager un développement dans une vingtaine d’années, à condition de commencer ces formations dans toutes les Régions dès 2013 ! Quand je vois nos piroques artisanales, les mêmes depuis cinquante ans, alors que si ces pêcheurs s’étaient regroupés, il pourraient bénéficier de prêts bancaires élalés sur vingt ans pour l’achat de bateaux de pêche comme ont ces pêcheurs Européens qui ont les yeux rivés sur nos richesses heulieutiques après avoir écumé leurts ressources. Comment un pays peut-il laisser des jeunes de 16 à 25 ans sans aucune foration ? Qu’on ne me dise pas que c’est une question de moyen financiers ! Non, il n’y a pas que cela, on peut apprendre des métiers aux jeunes dans des batiment en tôle ou bien en briques faites à partir d’argile et ça peut durer au minimum vingt ans ! Si nous n’avons pas assez de formateurs qualifiés, rien ne nous empêche de recruter des formateurs de tous les pays du monde pendant le temps que nous ayions des formateurs ! C’est la volonté politique et l’imagination qui manquent à ceux qui nous gouvernent et c’est devernu pire depuis le départ de Wade qui au moins avait beaucoup d’imagination et était ouvert à toutes les bonnes idées, d’où qu’elles venaient ! Des gens qui ronrronnent dès qu’on leur confie des pouvoir, qui gèrent à la petite semaine, avec de petits bras et une petite cervelle ne nous font faire que du sur-place depuis des mois !

  2. Concretement sieur dite pour l’agriculture kel sont les jalons posés pour sa modernisation,l »emploi des jeunes,la formation des jeunes komme le souligne Sadagua,ca ce voit k vs ete loin du senegal des realité avec votre signature pompeux chargés de la diaspora,la realité au senegal est tout autre nous somme des senegalais avons le devoir de parler des constats faitent,franchement nous gens du baol on attendait a tout autre choze aprés le conseil ministeriel decentralisé nous n’avons point vu une chose qui demontre une volonté politique du gouvernement de Abdoul Mbaye de redonner confiance a nous autre habitant du Baol,ce qui nous pousse tjr a desertés nos contrés fertiles pour venir encombré la balieu dakaroise,habité des zones d’iinondation et avec les milliard que vous venez de cité continuer a enrichir tjr les pontes du regime comme tjr depuis que l’actuel<> Mermoz etais premier ministre.Donc sieur arreter de prendre les senegalais pour des moins que rien BAKHOUL,et cessez vos reponses stipudes aux constats des senegalais que rien ne bouge,parle de l »education kes ki es en train d’etre fait,Ewa mari coll seck dite nous kes kell fai pour l’instant dans le secteur santé,la securité avec les evenement recent,ou alor expliqué nous un peu un journaliste frere d’un geologue avoir une societé petrolifiere,c’est pas un melange de genre,la solidarité nationale nous de baba garage ou ndangalma n’avons pas beneficié des moutons de tabaski,donc monsieur de la diaspora ayez un peu de retenu pour respecté ceux qui son resté a ndoulo ou sambé ou keur ngalgou.

  3. alioune mon frere,arrete ton char!!!!!les senegalais ne sont pas des girouettes qui tournent a tout vent!Il ne faut pas oublier que macky Sall ajoue un role instrumental dans le desastre economique et social dont tu parles.

  4. Comment on peut parler de résultats si les projets de loi qui doivent produire ces résultats ne sont pas encore votés. D’abord il faut qu’on veille à se que l’Assemblée Nationale fasse son travail. Il faut des projets bien ficelés votés par l’Assemblée Nationale et signés par le Président. Toute la pression doit tourner sur nos députés. L’agriculture: les colonisateurs avaient expérimenté beaucoup de projets agricoles, ils ont choisi ce qui les interressaient l’agriculture de rente(jibyny.seneweb.com) et ils ont laissé tomber l’agriculture céréaliere et d’autres types déjà expérimentés au Sénégal depuis. Pour la formation professionnelle et l’éducation et la recherche, le Sénégal regorge de talents et nous espérons que les nouveaux ministres de la formation professionnelle de l’éducation ont beaucoup à faire. Mais il faut aussi des débouchés. Nous avons intérêt à stabiliser la sous région avant tout. L’atelage gouvernemental qui reflète la vision du Président doit répondre à la demande sociale. Nous avons la pleine conviction que le président travaille dans ce sens. Il y’a trois mois j’avais publié dans mon blog jibyny.seneweb.com un texte sur la vision du Président Macky Sall à travers deux ministres Youssou Ndour et Aminata Touré. Et je pense bien le Président est entrain d’améliorer sa vision. Mais rien ne peut se faire réellement sans les députés.
    Wassalam

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