Base de référence du titre : «Et ne mêlez pas le faux à la vérité. Ne cachez pas sciemment la vérité ». Extrait du Saint Coran Sourate 2(La vache) Verset 42.
Le processus électoral de la présidentielle de 2019 restera un cas unique dans les annales politiques du Sénégal. Ce constat d’expert n’est pas dû au nombre exorbitant tel qu’il en ressort de la liste des candidats. Encore moins dans l’analyse de leur profil individuel. Non plus à l’examen du degré de motivation respectif des uns et des autres.
Les vices juridiques qui entourent la nature légale des associations ayant retiré les supports de parrainage et leurs candidatures sur la liste des candidats à la présidentielle de 2019 est l’objet d’interrogation quant à leur validité juridique, à quelques égards.
La question de leur légitimité doit être posée sous l’angle juridique. Il en est de même que les desseins inavoués des uns. Les raisons de cet alignement politique ont aussi un poids jurididique non négligeable dans l’analyse des dites annales.
La majorité de ces candidats sont inscrits sous la bannière de leur association et/ou coalition associative et non à titre personnel ou encore moins, à titre de candidat indépendant.
Ainsi, engagent-ils délibérément leur association respective comme candidat politique. Cette démarche politique est juridiquement invalide. Voici ce que dit la loi à ce sujet d’importance capitale : « Conformément aux dispositions statutaires du décret nº76040 du 16 janvier 1976, une association peut être crée au Sénégal .Article 3 des statuts juridiques se référant à l’association: « l’association est ouverte à tous dans le respect des convictions individuelles, dans l’indépendance à l’égard des partis politiques et des groupements confessionnels. Toute discussion politique ou religieuse est interdite au sein de l’association ».
Voilà que le Ministère de l’intérieur qui délivre tout récépissé juridique d’association se permet d’ accueillir certaines dans ses locaux et leur délivre le titre de participation politique au nom de leur association dûment nommée. C’est la première entorse juridique et faute grave devant rendre invalide leur statut de prétendants à l’exercice politique de 2019. Quid du respect des statuts réglant les associations ?
Ces personnes retenues sur la liste des candidats à la présidentielle de 2019 ont-elles le droit de prétendre engager politiquement le nom de leur association en dépit des règles juridiques et règlement intérieur régissant de droit leur association ?
Qu’en est-il de la responsabilité du Ministére de l’intérieur qui leur a permis de poser tel acte politique aux antipodes de la loi sénégalaise portant sur le statut d’association? Le bouillant Médiateur de la république peut il être interpelé à ce sujet d’importance capitale ? Maître Babou avocat hors pair pour la restauration des équilibres juridiques rompus, Maître El hadji Diouf défenseur du droit et tant d’autres juristes au long cours et parmi leurs pairs compétents doivent éclairer la lanterne du peuple, surtout l’opposition politique sérieuse sur cette dérive de justice.
Dans les faits, ces personnes recensées et désignées bafouent le droit car les élections sont par essence de nature politique. Pour des intérêts crypto personnels et sous l’œil non vigilant mais approbateur de leur tutelle, ces individus en quête de toutes prébendes politiques, portent un grand préjudice à l’association engagée. Ils peuvent entrainer certes, le retrait du récépissé ou même écarter l’association dans ses buts énoncés. Ces personnes irresponsables rament à contre courant du règlement de leur association apolitique au point de vue juridique. Ces nommées doivent, de droit être extirpées de la liste des candidats. Partant rendre invalide leur position de candidats.
Source: https://www.dakarmidi.net/actualite/presidentielle-2019-liste-des-coordonnateurs-ayant-retires-les-supports-de-parrainage-et-leurs-candidats.
Que l’on ne nous réponde pas que c’est en dépouillant leur fiche qu’on réglera la balourdise et la stupidité juridique ou après leur passage, à l’examen de contrôle que doit faire l’Etat. Sont-ils des candidats fantaisistes mandatés ? Leur exercice téléguidé a permis en tout cas aux autorités au plus haut niveau de déclarer sans ambages en se positionnant ainsi : « Sans le parrainage, on assisterait à un nombre plus grand de candidats… ». Madame Aminata Touré, une haute personnalité de l’ETA, juriste de surcroit, n’a pas manqué cet angle de tir politique et de souligner ce fait : la presse aidant. D’autres, dans le même sillage d’approbation, de déclarer que c’est la démocratie, la bonne gouvernance sobre et vertueuse.
Par ailleurs, un cabinet de consultant doté d’une expertise multidimensionnelle et expérience avérée en Sciences politiques, manage scrupuleusement dans le contexte politique du Sénégal, un projet dénommé : « Election Présidentielle du Sénégal 2019/ Enjeux-lueurs et leurres politiques ». Leur étude d’impact, sur bien des aspects de la liste des candidats prétendants à la présidentielle de 2019 est plus qu’édifiante. Ainsi, mentionnent ces consultants dans un rapport et en référence à la fameuse liste que : « Tout le contenu de ce schéma de la ladite liste pléthorique rentre dans un scénario politique posé savamment, en dépit du droit ou de la bonne gouvernance publique. La partie prenante à qui on réclame un processus électoral non entaché d’irrégularité aucune et transparent est mise en relief comme responsable. Est-elle commanditaire de telle liste ou seulement le destinataire à des fins d’identification, de sélection et enfin de cooptation au rang de candidats à retenir pour la compétition politique » ?
L’opposition sérieuse dans son analyse de la liste des candidats de 2019 s’est fortement bien rendue compte que, la majorité des candidats sont parrainés par ailleurs. Ils jouent le jeu de leur parrain tapis sous les coulisses. Il leur est seulement prescrit à priori et comme courtier politique, de semer la zizanie dans les rangs de l’opposition sérieuse. Leur intention non avouée est d’aggraver leur recherche ardue de parrainage, partant ouvrir des voies de rejet. Ils sont rémunérés dans cette étape du processus électoral en tant que figurant en nombre sur la liste. Ils défendent sciemment un ordre non rectiligne et maladroit mais aussi à tort. Comment justifier qu’un tel candidat, sachant les droits qui couvrent son association, ose se présenter sans crier gare, au nom de l’association et retirer une candidature politique aux yeux des employés de sa tutelle ? Pire, ils donnent un mandat à des coordinateurs pour accomplir tel forfaiture juridique et infidélité politique, à l’opposé du droit associatif.
Tel candidat mandant et son mandataire sans scrupule, doivent être punis par la loi. Ils sont aiguillonnés et agissent par appétit de gain facile. Ils sont de véritables fauteurs de désordre. Ils demeurent les plus dangereux parmi les parties prenantes à l’élection présidentielle 2019. Ils agissent et trompent le peuple et portent des ennuis et préjudices l’opposition sérieuse.
D’autres énergumènes politiques de la même espèce et race sans éthique, côtoient cette horde politique sans moralité ou pire encore, sont l’objet de recrutement en qualité de candidats devant servir de trouble et de semeur de désordre politique dans les rangs de l’opposition sérieuse. De concert, ils perturbent le peuple. Ils ont négocié leur ticket d’entrée pour la présidentielle de 2019. Il leur sera donné des parrains ou simplement retenus comme candidat partant.Ces derniers jouent sous la dictée du maître. Il leur sera permis de parler du mal du parrainage mais dans le superflu. Jamais en profondeur. De véritables taupes tapis sous le couvert de l’opposition.Une impressionnante partie de ce marché politique est très éloigné de la concurrence pure et parfaite et de la démocratie électorale. Ils ne sont point imbus de valeur républicaine comme le souhaiterait Thierno Alassane Sall Président de la République des Valeurs.
Sachant consciencieusement qu’il ne leur sera point donné l’envergure de satisfaire le pré requis du parrainage, ils côtoient discrètement le pouvoir pour être doublement alimentés. Dans cette démarche aux pas éhontés et cyniques, ils bénéficieront peut être, de parrains fictifs laissés à la discrétion des arbitres du dépouillement des fiches de parrainage. Ils sont susceptibles d’être aussi parrainés sur le plan financier et concourir au succès de leur patron tapis dans les coulisses. Ils seront les ténors du brouhaha électoral avec des attaques sur mesure en l’encontre de leur bailleur de fonds. A présent, ils ne s’annonceront pas comme accompagnateur du candidat de l’opposition le mieux placé au second tour. Ils sont dociles dans leur position politique mi figue mi raisin.
A toute cette catégorie de prétendants non sérieux, il leur est instruit de s’activer sur la presse en dénonçant le mal du régime en place sous ses facettes les plus simples. Ils sont ainsi rétribués pour ce vague contestataire de second rang. Certains parmi eux gagneront par cette activité d’hypocrite des prébendes politiques. D’autres types sans vergogne, seront récompensés par une prise en charge de leur parrainage. On leur fournira le nombre de parrains nécessaires. On leur cédera de quoi se mener une campagne présidentielle sans contenu attractif. Ils rejoindront les rangs des maîtres dés le 24 février 2019. On leur dira que vous êtes des opposants préfabriqués et façonnés. Dans cette catégorie, ci gît un nombre impressionnant qui interviennent sur le landerneau politique sachant qu’ils trichent en eux-mêmes et trompent le pays. La plupart sont des complices. ILS trainent des dossiers lourds pour bien mal acquis.Ainsi pensent-ils sous le couvert de candidats le peuple oubliera leur passé peu glorieux. Dans cette course présidentielle ils sont de véritables pions. D’ailleurs, cette catégorie sans dignité politique ne m’intéresse pas dans cette contribution.
Par contre, la catégorie qui m’intéresse représente à peine 01% des Prétendants aux dires de la presse écrite. A peine, huit dans le lot renchérit l’information allant jusqu’à les nommer individuellement. Ils sont à la croisée des chemins menant vers le premier test de sélection autrement. Le pré requis pour être prétendant à la course présidentielle de 2019 ne leur sera point favorable. Opposition sérieuse, ayez en tête que;
- Vous n’êtes nullement certains d’être admis ou cooptés par les employés de Macky Sall, dès lors qu’en votre profil politique, se dégagent un charisme avéré et leadership confirmé avec une probabilité de détenir des voix appréciable en grand nombre. Vous n’êtes nullement certains d’être sélectionnés quelque soit votre liste concernant le nombre de parrains requis. Pour la simple raison que vous serez éliminé au premier tirage sur la base de calculs politiques et de critères sans teneur objective. Les sélectionneurs détiennent par devers eux et en secret, les déterminants de rejet de votre liste. Ils ont la latitude de manipuler à leur guise les variables en jeu.
- Le recours sera très tard et nous connaissons à l’avance le sort réservé à vos doléances politico-judiciaires. Vous ne serez pas présents pour défendre votre liste de parrainage.
- Les employés à la tâche de prospecter les candidats susceptibles de sortir gagnant peuvent vous coller tous les motifs imaginaires et imaginables. Lesquels, tendant à rendre invalide votre brillant travail de recherche de parrains. Vous risquez d’être la risée de votre environnement immédiat dans cette aventure du parrainage. Vos parrains seront frustrés.
- Aucun observatoire de veille pour le bon dépouillement de la liste des parrainages n’est mis en place par l’opposition sérieuse.
- Maître Babou, brillamment, a donné une vision globale et nette s’agissant de la non faisabilité technique du parrainage. Ayons recours à ses compétences. Il sait de quoi il parle. Il est franc dans ses opinions juridiques. Il a la nette mesure des questions et réponses juridiques auxquelles s’adresse la fiche d’électeur, véhicule et support du parrainage.
- A date, la seule bataille politique qui vaille d’être menée est celle-ci : Management de concert du projet intitulé : Présidentielle 2019 /Parrainage/ Coalition Offensive et de Riposte Politico- judiciaire contre les entorses et dérives de la liste d’électeurs, véhicule du parrainage. Laquelle fiche, file conducteur du parrainage est aux antipodes des règlements et lois internationales régissant le respect et la sauvegarde de la protection des données à caractère personnel.
- Source : https://rm.coe.int/convention-108-convention-pour-la-protection-des-personnes-a-l-egard-d/16808b3726.
- C’est dans ce combat démocratique et de juridiction internationale que se mesurera l’élan de Me Mame Adama Gueye. Toute autre manifestation ne peut prospérer.
Serigne Saliou Fall
Consultant international en Management de projet -Expert en Finance.
Candidat indépendant à la Présidentielle de 2O19.
Président du mouvement sociopolitique dénommé :
Convergence Citoyenne pour la Démocratie -le Développement Durable et la Paix au Sénégal »2C3DPS »
Email : [email protected]
Cheu teu teu ! AVEC SON FACIES BIZARROÏDE DE FAKH MAN ! IL N EST PAS RASSURANT ! DAFAAY TITAAL NIT ! Kii mom je ne voterai jamais au plus grand jamais pour lui. Débarasse toi de tes accoutrements excentriques et refaites vous une chirurgie esthétique !