juste qu’il faut que le jeune pape Ngagne soit rigoureux dans le choix de ses invites .Parceque mettre devant de la scene des personnes avec des contres valeurs c’est exposé nos enfants a la deviance.
ce pseudo journaliste là est nul. Il ne sait meme pas les articles , il lit l’article 27 de la constitution de 2001 modifié en 2008. qui dit que le mandat est de cinq ans renouvelable une seule et ne peut etre modifié que référendum. tandisque dans la nouvelle const de 2016 l’article 27 dit le mandat est de cinq ans, nul ne peut faire plus deux mandats consécutives. Et là je dis que CYS et YD soient sont nuls où ils roulent pour macky sall. car son mandat de 7 ans ne s’applique dans la nouvelle const. car l’article 27 est tré clair il dit le mandat est de 5 ans, nul ne peut faire 2 mandats consécutive ça veut dire 2 mandats consécutives de 5 ans bien précisé par la première disposition de l’article mais pas un mandat de 5 ans et de 7 ans. et ça été bien expliqué par le prof zuankeu. ce journaliste ne doit pas animer ces genres de débat car non seulement il est inculte mais il ne fait pas l’effort de rechercher. en plus les journalistes présents ne l’ont pas corrigé.
Le Président de la République est élu au suffrage universel direct et au scrutin majoritaire à deux tours. Il n’est rééligible qu’une seule fois ».
Constitution de 2001
Article 26 Le Président de la République est élu au suffrage universel direct et au scrutin majoritaire à deux tours. Article 26 révisée le 20 mars 2016 Le Président de la République est élu au suffrage universel direct et à la majorité absolue des suffrages exprimés. Que de quiproquos! Comme on peut bien le remarquer du scrutin majoritaire à deux tours clairement indiqué, nous passons subitement à la majorité absolue des suffrages exprimés. Certes, les deux expressions peuvent dire la même et unique chose mais encore pourquoi après avoir trouvé le mot propre qui fasse la paix et achève le débat, les rédacteurs de la déconsolidante « réforme Sall» ont-ils fini en eau de boudin? Certainement, ils n’ont pas jeté un coup d’œil sur les mémoires de Pablo Neruda pour y lire que: «Tout est dans le mot…Une idée entière se modifie parce qu’un mot a changé de place ou parce qu’un autre mot s’est assis, comme un petit roi, dans une phrase qui ne l’attendait pas et lui a obéi.» En effet, dans le scrutin majoritaire à deux tours, la majorité nécessaire pour être élu est la majorité absolue (la moitié des voix plus une). Alors que dans le scrutin majoritaire à un tour, la majorité requise pour être élu est celle qui est dite : majorité relative (le plus grand nombre des voix). De plus, une autre précision de taille est à relever lorsqu’on est en scrutin majoritaire à deux tours. Il n’est pas obligatoire qu’un candidat obtienne cette majorité. Par conséquent, il faudra les départager lors d’un second tour où l’on n’exige plus que la majorité relative. Le plus souvent, l’accession des candidats au deuxième tour est réglementée de façon à simplifier le choix des électeurs. Ainsi, on interdit les nouvelles candidatures au second tour mais surtout, on veut éliminer les «petits candidats». Pour cela, on fixe un seuil minimum de suffrages à atteindre pour se présenter au second tour.
DOMMAGE QUE L’INTERESSE EST DEJA UN MENTEUR DE MAUVAISE FOI QUI S’EST ENDURCI DANS LE MATEY.
juste qu’il faut que le jeune pape Ngagne soit rigoureux dans le choix de ses invites .Parceque mettre devant de la scene des personnes avec des contres valeurs c’est exposé nos enfants a la deviance.
ce pseudo journaliste là est nul. Il ne sait meme pas les articles , il lit l’article 27 de la constitution de 2001 modifié en 2008. qui dit que le mandat est de cinq ans renouvelable une seule et ne peut etre modifié que référendum. tandisque dans la nouvelle const de 2016 l’article 27 dit le mandat est de cinq ans, nul ne peut faire plus deux mandats consécutives. Et là je dis que CYS et YD soient sont nuls où ils roulent pour macky sall. car son mandat de 7 ans ne s’applique dans la nouvelle const. car l’article 27 est tré clair il dit le mandat est de 5 ans, nul ne peut faire 2 mandats consécutive ça veut dire 2 mandats consécutives de 5 ans bien précisé par la première disposition de l’article mais pas un mandat de 5 ans et de 7 ans. et ça été bien expliqué par le prof zuankeu. ce journaliste ne doit pas animer ces genres de débat car non seulement il est inculte mais il ne fait pas l’effort de rechercher. en plus les journalistes présents ne l’ont pas corrigé.
Constitution de 1963
Article 21 :
Le Président de la République est élu au suffrage universel direct et au scrutin majoritaire à deux tours. Il n’est rééligible qu’une seule fois ».
Constitution de 2001
Article 26
Le Président de la République est élu au suffrage universel direct et au scrutin majoritaire à deux tours.
Article 26 révisée le 20 mars 2016
Le Président de la République est élu au suffrage universel direct et à la majorité absolue des suffrages exprimés.
Que de quiproquos! Comme on peut bien le remarquer du scrutin majoritaire à deux tours clairement indiqué, nous passons subitement à la majorité absolue des suffrages exprimés. Certes, les deux expressions peuvent dire la même et unique chose mais encore pourquoi après avoir trouvé le mot propre qui fasse la paix et achève le débat, les rédacteurs de la déconsolidante « réforme Sall» ont-ils fini en eau de boudin? Certainement, ils n’ont pas jeté un coup d’œil sur les mémoires de Pablo Neruda pour y lire que: «Tout est dans le mot…Une idée entière se modifie parce qu’un mot a changé de place ou parce qu’un autre mot s’est assis, comme un petit roi, dans une phrase qui ne l’attendait pas et lui a obéi.»
En effet, dans le scrutin majoritaire à deux tours, la majorité nécessaire pour être élu est la majorité absolue (la moitié des voix plus une). Alors que dans le scrutin majoritaire à un tour, la majorité requise pour être élu est celle qui est dite : majorité relative (le plus grand nombre des voix).
De plus, une autre précision de taille est à relever lorsqu’on est en scrutin majoritaire à deux tours. Il n’est pas obligatoire qu’un candidat obtienne cette majorité. Par conséquent, il faudra les départager lors d’un second tour où l’on n’exige plus que la majorité relative. Le plus souvent, l’accession des candidats au deuxième tour est réglementée de façon à simplifier le choix des électeurs. Ainsi, on interdit les nouvelles candidatures au second tour mais surtout, on veut éliminer les «petits candidats». Pour cela, on fixe un seuil minimum de suffrages à atteindre pour se présenter au second tour.