Le débat sur l’adoption du nouveau code de la presse entre professionnels de l’information et de la communication et l’Etat du Sénégal suscite beaucoup d’intérêt de la part des deux protagonistes. En effet, la pomme de discorde se situe autour de la dépénalisation du délit de presse. Après deux rejets en commission technique de l’Assemblée nationale par les députés, l’espoir d’une adoption est toujours permis comme l’avait promis le chef de l’Etat, Macky Sall ; l’adoption d’un nouveau code de la presse devrait donc intervenir avant la fin de l’année. Les parlementaires se sont toujours opposés à l’idée d’une dépénalisation du délit de presse qui, selon eux, sera la boîte de Pandore. Pour les députés, aucun citoyen ne peut être protégé par un quelconque texte, de même qu’un journaliste ne peut pas appartenir à un corps de métier à part entière. Ainsi, il ressort des travaux de relecture du code de la presse que le travail des journalistes est soumis au Code pénal et au Code de procédure pénale. Cependant, ce nouveau code de la presse tant espéré serait l’occasion de réorganiser la profession, car ne sera pas journaliste qui veut.
Pendant ce temps, le journalisme assiste au développement des sites d’information en ligne, des blogs et du blogging sur les réseaux, considérés comme des canaux efficaces du traitement de l’information en général. Et c’est l’occasion d’apporter un vent de fraîcheur dans ce métier avec un regard nouveau. Amateurs ou professionnels de l’information, les blogueurs et autres «pseudo-journalistes» seront concernés par l’adoption du nouveau code de la presse.
Dans un autre contexte, c’est la galère des journalistes au sein des organes de presse ; ces derniers font, de plus en plus, face à des difficultés dans l’exercice de leur métier. A ce stade, les patrons de presse sont indexés. A l’occasion de la journée de la presse mondiale, la Coordination des Associations de Presse (CAP) a décidé d’organiser une grande marche, ce mercredi, pour parler de la menace qui pèse sur la liberté de la presse. Selon les acteurs, la profession est menacée en raison de la situation économique et sociale du pays. Elle est encore plus inquiétante pour les entreprises de presse.
La question de la publicité, la problématique de l’aide à la presse et la gestion de la Maison de la presse restent les préoccupations majeures pour les professionnels des médias qui sont déterminés à porter, cette fois, les maux de la presse au-devant de la scène.
LA RÉDACTION
MACKY VA VOUS ROULER DANS LA FARINE IL EST SOUS LA TUTELLE ET LA PROTECTION DES FRANCAIS.NEGRE DE SERVICE EN QUELQUE SORTE VOYEZ LE CAS DE TOTAL INOUI IL NE SIGNERA AUCUN CODE DE LA PRESSE FAVORABLE A LA PRESSE
Voici des preuves de fraude de la dernière élection française. En 1 le résultat des élections tel que affiché par la mairie de Périgny, et en 2 le même résultat fraudé par le ministère de l’intérieur français.
1- http://www.annuaire-mairie.fr/elections-presidentielles-2017-perigny-03.html
2- http://elections.interieur.gouv.fr/presidentielle-2017/084/003/003205.html
La fraude du ministère de l’intérieur français est très gauche: prendre les votes pour Asselineau et les donner à Mélenchon, et vice versa. Là, j’ai vraiment envie de leur demander de venir prendre des cours chez Abdoulaye Daouda Diallo. Parce qu’on peut ne pas l’aimer, mais il faudra bien reconnaître qu’il le fait avec beaucoup plus de classe.