Le candidat à l’élection présidentielle Ibrahima Fall a été empêché de tenir sa conférence de presse prévu dans un hôtel de la place.
Annoncé une première fois à l’hôtel Croix du Sud, le point de presse n’a pu se tenir suite aux injonctions des forces de l’ordre. En effet, le candidat Fall a affronté a deux reprises ces derniers essuyant par ailleurs des tirs, une lacrymogène a été lancé en direction de son cortège alors qu’ils étaient accompagnés de ses alliés et de quelques journalistes de la presse nationale et internationale.
Avant l’attaque des forces de l’ordre, le candidat Fall a expliqué aux journalistes la situation dans laquelle se trouvait le Sénégal et le processus électoral.
Un processus largement entamé et compromis selon beaucoup d’avis. C’est du reste l’avis d’Alioune Tine coordonnateur de la Rencontre Africaine pou la Défense des droits de l’Homme (RADHO) pour qui les organes de contrôle et de suivi du processus électoral sont devenus inopérantes car assujettis et mises sous tutelle.
Même son de cloche chez Cheikh Bamba Dièye qui a dénoncé avec force l’attitude belliqueuse et belliciste des hommes de tenues. Pour information, le leader du FSDBJ a été interpellé brièvement interpellé. Il est assurément avec Youssou Ndour et Ibrahima Fall un des leaders les plus en visible de la scène politique.
D’après Ibrahima Fall, une déclaration en bonne et due forme a été déposée par ses soins auprès du Préfet de Dakar. « Nous avons respecté toutes les procédures. Nous avons envoyé des ampliations à toutes les organisations de défense des Droits de l’homme dont la Cour pénale internationale (CPI) a insisté le candidat de la coalition Taxaw Temm qui est entrain de prendre le leadership de la contestation.
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