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Le seul tord imputé à Cheikh Béthio est d’avoir aimé à la perfection son Dieu : Cheikh Saliou Mbacké. (Par Abdoulaye Mamadou GUISSE)

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Nous devons au devoir de faire un rappel en ce jour qui marque le début du mois sacré de Ramadan et qui coïncide fort heureusement avec le rappel combien important de Cheikh Béthio Thioune à Dieu au lendemain de la sentence prononcée par le tribunal de Mbour dans cette affaire de Médina Salam, terre promise.

Ce contexte de commemoration marqué par l’affaisement du monde face à l’arme infiniment petite et combien fatale appelée Covid 19 , qui met le monde dans un bouleversement social aussi évocateur que celui subi par les Thiantacounes dans les quatre coins du globe : Un signe pour les doués d’intelligence.

Cheikh Béthio Thioune, né vers 1938 à Madinatou Salam près de M’bour au Sénégal, cette beauté dans l’élégance de la voix, aimait se définir comme un esclave de Serigne Saliou Mbacké, son plus que guide spirituel lui et ses disciples ‘Les Thiantacounes’.

Lors d’un déplacement à Tassette, un village de ses parents dans le département de Thiès, que le Cheikh rencontra par hasard , un 17 avril 1946, Serigne Saliou Mbacké, fils du fondateur des mourides, Cheikh Ahmadou Bamba.

Une rencontre qui va chambouler sa vie d’inspecteur d’animation et non moins administreur civil.
Le 11 janvier 1983, Serigne Saliou Mbacké le hisse au rang de Cheikh « Elu » dans le mouridisme.
Et c’est sous le khalifat de cheikh Saliou, sa lumière éclatante que Cheikh Béthio Thioune a atteint la plénitude du titre de Cheikh. Et avec cet acte divin posé par Serigne Saliou Mbacké, la révolution du Thiékhisme* se mit en branle et rien ne semble pouvoir arrêter l’inarretable jusqu’au paradis, ultime demeure des saints.

Le Triomphe de Cheikh Béthio Thioune est très lié à l’avènement du Thiantacounisme décrété par les foules sans cesse grandissantes qui affluaient vers le Cheikh sous l’impulsion généreuse de sérigne Touba Cheikh Saliou Mbacké.

Si le pouvoir colonial avait jugé et présenté le fondateur du mouridisme à savoir Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké comme disposant assez de forces pour faire vaciller le pouvoir colonial, le bégaiement de l’histoire nous inscrit dans le fait unique du complot pour freiner l’irréversibilité de l’ère des Thiantacounes qui ont également subi de la part cette fois ci de religieux complotistes beaucoup d’épreuves dont le seul but était de les voir périr.

Ces religieux constitués en lobbies ne sont pas êtres à se morfondre dans la mauvaise conscience ; Peu leur importe que, pour justifier leurs plans de déconstruction de l’œuvre de sérigne Saliou Mbacké, ces détracteurs de la voie tracée par le Soufi, l’éternel Cheikh Saliou Mbacké se soient réclamés du concept de « grand protecteurs du Mouridisme » qu’ils ont forgé. Ils se contentent de rappeler qu’ils condamnent la violence, la désobéissance aux principes fondateurs du Mouridisme et estiment n’avoir aucune responsabilité dans le processus de la condamnation de Cheikh Béthio Thioune.

Le rappel à Dieu du Cheikh le 7 Mai à Bordeaux en France fut triomphal, et son retour du Sénégal par Vol Spécial affrété par les Thiantacounes demeure une leçon d’une puissance éternelle liée à un amour à Serigne Saliou Mbacké sans faille et qui ne s’aurait souffrir d’aucun doute.

Le seul tord imputé à Cheikh Béthio est d’avoir aimé à la perfection son Dieu : Cheikh Saliou Mbacké.

Tout au long du processus de leur crime contre le Cheikh, avec des argumentaires décousus, les soi-disant « grand protecteurs du Mouridisme » se désolent d’une supposée invasion dans la voie tracée par le fondateur du Mouridisme par les Thiantacounes disciples de sérigne Saliou Mbacké.

Un supposé « crime » et un complot sans preuve, pour la résumer grossièrement, cette théorie a deux volets sur les événements malheureux à Médina Salam la berceuse aux mélodies pacifiques dans le ciel arc-en-ciel de Mbour terre bénie qui doit sa beauté à Serigne Saliou Mbacké.

D’une part, ce qui se présente comme un « crime » religieux : du fait d’une générosité « excessive dans la nourriture » et d’une allégeance plus forte, les Thiantacounes d’origine extra-organisés et méthodiques seraient en passe de surpasser numériquement les soi-disant « grands protecteurs du Mouridisme », et, du même coup, d’imposer leur culture de berndé* et leur Thiante* au monde les aurait convaincu de la nécessité de passer à l’acte.

D’autre part, un versant plus complotistes : ce « Thiantacounisme » interviendrait avec la complicité d’un « Mouridisme remplaciste », c’est-à-dire d’élites dirigeantes capitalistes, appelées les « mondialistes », organisant volontairement une déviation massive, afin de construire un nouveau «Mouridoulahi débarrassé de toute spécificité musulmane, ethnique et culturelle », et donc « échangeable » et « délocalisable » à merci pour les besoins d’un sénégalais vicieux, et perdu par absence de valeurs fécondantes.

Cette thèse ressort du conspirationnisme, dont elle possède plusieurs traits : postuler qu’il existe une sorte de grand cheikh en secret, ourdi par des disciples mystérieux qu’on dote de pouvoirs immenses est ainsi caractéristique. En outre, on retrouve dans ce postulat d’un Cheikh non béni par Serigne Saliou , qui serait l’ennemi de la tradition et du talibé « de souche », des traits classiques des théories anti-mourides développées au début de la conquête coloniale dans la région de Diourbel , qui attribuaient ces caractéristiques aux chefs religieux .

Cheikh Béthio a finalement triomphé de ses épreuves et complots dont le seul soubassement étaient jusqu’ici de lui détourner de son chemin de serviteur éternel de Cheikh Saliou Mbacké Serigne Touba.
Le Cheikh aura réussi son modèle cohérent qui repose sur un fondement résolument défini par qui, au-delà de TOUT demeure par sa propre personne Serigne Touba : « YAAY MANE, MAAY YOOW ». à l’endroit de son fils Serigne Saliou .

Le seul tord imputé à Cheikh Béthio est d’avoir aimé à la perfection son Dieu : Cheikh Saliou Mbacké.

(Par Abdoulaye Mamadou GUISSE)

Nous devons au devoir de faire un rappel en ce jour qui marque le début du mois sacré de Ramadan et qui coïncide fort heureusement avec le rappel combien important de Cheikh Béthio Thioune à Dieu au lendemain de la sentence prononcée par le tribunal de Mbour dans cette affaire de Médina Salam, terre promise.

Cheikh Béthio Thioune, né vers 1938 à Madinatou Salam près de M’bour au Sénégal, cette beauté dans l’élégance de la voix, aimait se définir comme un esclave de Serigne Saliou Mbacké, son plus que guide spirituel lui et ses disciples ‘Les Thiantacounes’.

C’est au cours d’un déplacement à Tassette, un village du département de Thiès, que le Cheikh rencontra, un 17 avril 1946, Serigne Saliou Mbacké, fils du fondateur des mourides, Cheikh Ahmadou Bamba.

Une rencontre qui va chambouler sa vie d’inspecteur d’animation et non moins administreur civil.
Le 11 janvier 1983, Serigne Saliou Mbacké le hisse au rang de Cheikh « Elu » dans le mouridisme.
Et c’est sous le khalifat de cheikh Saliou, sa lumière éclatante que Cheikh Béthio Thioune a atteint la plénitude du titre de Cheikh. Et avec cet acte divin posé par Serigne Saliou Mbacké, la révolution du Thiékhisme* se mit en branle et rien ne semble pouvoir arrêter l’inarretable jusqu’au paradis, ultime demeure des saints.

Le Triomphe de Cheikh Béthio Thioune est très lié à l’avènement du Thiantacounisme décrété par les foules sans cesse grandissantes qui affluaient vers le Cheikh sous l’impulsion généreuse de sérigne Touba Cheikh Saliou Mbacké.

Si le pouvoir colonial avait jugé et présenté le fondateur du mouridisme à savoir Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké comme disposant assez de forces pour faire vaciller le pouvoir colonial, le bégaiement de l’histoire nous inscrit dans le fait unique du complot pour freiner l’irréversibilité de l’ère des Thiantacounes qui ont également subi de la part cette fois ci de religieux complotistes beaucoup d’épreuves dont le seul but était de les voir périr.

Ces religieux constitués en lobbies ne sont pas êtres à se morfondre dans la mauvaise conscience ; Peu leur importe que, pour justifier leurs plans de déconstruction de l’œuvre de sérigne Saliou Mbacké, ces détracteurs de la voie tracée par le Soufi, l’éternel Cheikh Saliou Mbacké se soient réclamés du concept de « grand protecteurs du Mouridisme » qu’ils ont forgé. Ils se contentent de rappeler qu’ils condamnent la violence, la désobéissance aux principes fondateurs du Mouridisme et estiment n’avoir aucune responsabilité dans le processus de la condamnation de Cheikh Béthio Thioune.

Le rappel à Dieu du Cheikh le 7 Mai à Bordeaux en France fut triomphal, et son retour du Sénégal par Vol Spécial affrété par les Thiantacounes demeure une leçon d’une puissance éternelle liée à un amour à Serigne Saliou Mbacké sans faille et qui ne s’aurait souffrir d’aucun doute.

Le seul tord imputé à Cheikh Béthio est d’avoir aimé à la perfection son Dieu : Cheikh Saliou Mbacké.

Tout au long du processus de leur crime contre le Cheikh, avec des argumentaires décousus, les soi-disant « grand protecteurs du Mouridisme » se désolent d’une supposée invasion dans la voie tracée par le fondateur du Mouridisme par les Thiantacounes disciples de sérigne Saliou Mbacké.

Un supposé « crime » et un complot sans preuve, pour la résumer grossièrement, cette théorie a deux volets sur les événements malheureux à Médina Salam la berceuse aux mélodies pacifiques dans le ciel arc-en-ciel de Mbour terre bénie qui doit sa beauté à Serigne Saliou Mbacké.

D’une part, ce qui se présente comme un « crime » religieux : du fait d’une générosité « excessive dans la nourriture » et d’une allégeance plus forte, les Thiantacounes d’origine extra-organisés et méthodiques seraient en passe de surpasser numériquement les soi-disant « grands protecteurs du Mouridisme », et, du même coup, d’imposer leur culture de berndé* et leur Thiante* au monde les aurait convaincu de la nécessité de passer à l’acte.

D’autre part, un versant plus complotistes : ce « Thiantacounisme » interviendrait avec la complicité d’un « Mouridisme remplaciste », c’est-à-dire d’élites richissimes , appelées les « lobbies », organisant volontairement une déviation massive, afin de construire un nouveau «Mouridoulahi débarrassé de toute spécificité musulmane, éthnique et culturelle », et donc « échangeable » et « délocalisable » à merci pour les besoins d’un sénégalais vicieux, et perdu par absence de valeurs fécondantes.

Cette thèse ressort du conspirationnisme, dont elle possède plusieurs traits : postuler qu’il existe une sorte de grand cheikh en secret, ourdi par des disciples mystérieux qu’on dote de pouvoirs immenses est ainsi caractéristique. En outre, on retrouve dans ce postulat d’un Cheikh non béni par Serigne Saliou , qui serait l’ennemi de la tradition et du talibé « de souche », des traits classiques des théories anti-mourides développées au début de la conquête coloniale dans la région de Diourbel , qui attribuaient ces caractéristiques aux chefs religieux .

Cheikh Béthio a finalement triomphé de ses épreuves et complots dont le seul soubassement étaient jusqu’ici de lui détourner de son chemin de serviteur éternel de Cheikh Saliou Mbacké Serigne Touba.
Le Cheikh aura réussi son modèle cohérent qui repose sur un fondement résolument défini par qui, au-delà de TOUT demeure par sa propre personne Serigne Touba : « YAAY MANE, MAAY YOOW ». à l’endroit de son fils Serigne Saliou .

Le président Abdoulaye Mamadou Guissé Secrétaire général National du parti politique Fulla ak Fayda.

4 Commentaires

  1. Le Dieu de Bethio est mort lui même mort donc selon votre logique Dieu est mort ?
    Revenez sur terre , le seul Dieu qui mérite d’être vénère est ce Dieu omnipotent qui seul a le pouvoir sur la vie et sur la mort.
    Bon mois de ramadan à tous
    Fall

  2. Astakhfiroulaa al azima lazi laa ilaaja ilaa houwa. Al hayyu al qayuumu.Les fous courent toujours au Senegal. Bethio est MORT. GNAANAL LEEN KO MOO GEENN WAKH JU BARRI JI. ET PUIS FENN BAAKHOUL.

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