Depuis la crise politico-constitutionnelle ayant opposé Senghor et Dia en 1962, la charge de Premier ministre au Sénégal fait souvent l’objet de controverses non sur la fonction elle-même, mais sur la personne qui l’assume. Certes le bicéphalisme a marqué l’entrée du Sénégal dans l’autonomie politique. Mais la crise de 1962 a engendré une révision constitutionnelle imosant au Sénégal le Présidentialisme. La fonction de Premier ministre ne devrait, alors, poser aucun problème, à moins que la personne qui en assume la charge soit un redoutable homme politique ou une terrible femme politique.
De 1957 à 1962, Dia n’était pas un Premier ministre tel que conçu aujourd’hui. Il fut plutôt le Président du Conseil des Ministres et était en même temps…Chef de l’Etat. Les pouvoirs du Président de la République étaient limités. Aujourd’hui, le Président de la République est institutionnellement et politiquement « puissant ». Il a le Pouvoir Exécutif. Il a une mainmise évidente sur le Législatif où le parti majoritaire relève toujours de son obédience. Il a le Judicaire étant Président de Conseil Supérieur de la Magistrature.
Dans un tel régime, tout Premier ministre nommé qui s’aventure à satisfaire un appétit politique, ou qui se laisse influencer par les pesanteurs d’un entourage, finit naturellement par faire féconder une crise. Par la conspiration et la manigance médiatique, ses proches ou son entourage le poussent à déminier le champs politique pour se frayer une voie. Mais on connait le sort tragique des démineurs : ils finissent eux-mêmes par… sauter.
Abdou Diouf, homme d’Etat chevronné, n’a pas connu ces conspirations. Il n’avait confiance qu’en son ami Habib Thiam qui fut son Premier ministre à deux reprises ( de 1981 à 1983 puis de 1991 à 1998). Au-dela de la parenthèse Niasse, homme politique passionné disputant aussi l’héritage de Senghor – il ne fut Premier ministre que vingt jours ( du 09 au 29 avril 1983)- il ne choisit qu’un technocrate , Mamadou Lamine Loum ( de 1998 à 2000).
Diouf fut ainsi le seul Président du Sénégal dont les relations avec son Premier ministre n’ont jamais étaient agitées par une quelconque crise entre la Présidence et la Primature.
Les crises entre un Président et son Premier ministre n’ont commencé qu’avec Wade, redoutable homme politique devant qui toute ambition politique démesurée est périlleuse. Avec Mame Madior Boye, Aguibou Soumaré, et même Macky Sall et Souleymane Ndéné Ndiaye aucune entrave politique d’envergure n’a été publiquement notée pour avoir une influence négative sur leurs relations. Mais avec Idrissa Seck, homme politique ambitieux, impatient disent les autres, la crise politique qui a abouti à la rupture fut si aigue qu’elle eut même des effets sur les Institutions de la République.
Aujourd’hui entre le Président Macky Sall et son Premier ministre Aminata Touré, nommé le 1er Septembre 2013, des bruits ont circulé comme il en est ainsi souvent au Sénégal, pays de civilisation orale. La rumeur publique relayée par une partie de la presse a parlé de crise. Mais elle ne peut aller loin, n’ayant aucune preuve identifiable dans les mots, faits et gestes de l’un comme de l’autre.
Seulement, dans un pays comme le Sénégal où le régime est présidentiel, la fonction de Premier ministre est à la fois prestigieuse et fragile. Certains en rêvent. D’autres n’en veulent pas. Le Premier ministre ne « collabore » pas avec le Président. Il subit son autorité, la seule qui peut altérer son agenda politique en l’infléchissant dans la loyauté ou en le démettant. Entre Macky Sall et Mme Touré, cette odeur ne semble point puer la majorité présidentielle. Ce ne sont peut-etre que des supputations. Et « Quand il n’ya pas de crise, c’est le sentiment de crise qui constitue la crise elle-même », clame le philosophe Cornélius Castoriadis
SOURCE : WWW.SENEFOCUS.COM
Tamsir jupiter ndiaye giir yalla ferme la.
TU ES QUI POUR LUI DEMANDER DE NE PAS S’EXPRIMER ? IL FAIT SON TRAVAIL MAINTENANT LE RESTE C’EST SA VIE PRIVEE ?
IL Y A UN MARABOUT QUI COUCHE AVEC LA FEMME D’UN DE SES TALIBES TOUT LE MONDE EST AU COURANT LA PRESSE EN A PARLE POURTANT LORS DES MAGALS OU GAMOU LES GENS VIENNENT VIENNENT RECUEILLIR SES PRIERES CAR IL BENEFICIE DU DOUTE
SI JUPITER ETAIT MEMBRE D’UNE FAMILLE RELIGIEUSE VOUS N’ALLEZ PAS LE POURSUIVRE COMME VOUS LE FAITES ET DIEU SAIT QUE IL Y A PIRE DANS LES FAMILLES RELIGIEUSES ET PERSONNE N’EN PARLE PAR CRAINTE DE REPRESAILLES
ALORS OU SE TROUVENT VOTRE SENS DE JUSTICE ET D’EQUITE ?
VOUS N’ETES QUE DES NAFEGUES ET DES FUMISTES POUR MOI TAMSIR JUPITER NDIAYE A COMMIS UNE FAUTE IL A PAYE ET C’EST FINI ON PRIE POUR QU’IL NE RETOMBE PAS ENTRE LES MAINS DU SAYTANE ET QU’IL SOIT UN BON MUSULMAN ET QUE DIEU LUI PARDONNE SES PECHES ET NOUS PARDONNE NOUS TOUS
QUE DIEU NOUS PROTEGE DU SAYTANE CHAQUE MINUTE DE NOTRE VIE EN ACTES ET EN PENSEES
KI AMOUL DJOM AMOUL KERSA
Ndeye,gére ta vie privée té mandou.Tamsir est un intectuel de grande envergure.il faut l’approcher pour le connaitre.si on fuyait tous les gens qui ont commis des erreurs,bilay,il n’en resterait que quelques personnes au sénégal
Modou on dirait tu en sais sur tamsir!
khana yaw ak mom danguenn ko meusseu sekheu
en tout nous on ne veut pas le voir dans notre pays
c’et un fleau pour toute la jeunesse
Au Nigeria ce type aurait ete lynche a mort depuis longtemps .
Ce sont des Souilleurs de societe ces pedes .
Dans ce senegal il y’a au moins 30.000 supposee tamsir jupiter ndiaye ils sont beaux jeune eloquent une double vie assumee ils ont leurs copains gay dans le coin maitenue a leurs frais en echange de quelque parties de jambe en l’air quand monsieur rentre chez lui tout ce ce que madame dit ou fait..khoulo leu combien y’a t’ils au senegal. regardont le mirroir ? on n’est pas meilleurs que jupiter mais soutoura good nous protege en ce moment j’ai lut dans la presse en ligne le violeur de m’backe triste mais une realite bien senegalaise
Non merci Tamsir JUPE , nous ne voulons pas de ton torchon.
Article très intéressant, mais truffé de fautes dont la plus « grave » que commettent 90% des journalistes ou ceux qui s’affichent comme tels : »n’ont jamais étaient agitées » par…sic!