xalima-news-Difficile pour la presse écrite sénégalaise en ces temps de campagne électorale.
Depuis quelques jours, les annonceurs sont abonnés absents et la presse écrite paie les pots cassés.
En parcourant la presse quotidienne d’aujourd’hui, il n’existe qu’un seul quart de page d’une grande banque de la place. Le reste de la publicité, ce sont des avis de décès. Et la fin de ce calvaire publicitaire n’est pas pour aujourd’hui.
Et cette période des vaches pour la presse écrite sénégalaise, ça va durer tout le mois de mars.
C’est le sentiment d’un directeur commercial d’un journal de la place. «Avec l’élection présidentielle, aucun annonceur n’ose s’engager» souligne notre interlocuteur préoccupé à trouver de la publicité pour son canard.
Preuve que les journaux souffrent de l’absence de la publicité, nos informations indiquent qu’un grand magazine de la place n’a pas paru la semaine dernière faute de publicité.
Tidiou