En détournant l’attention des Sénégalais sur un événement majeur, Le Retour du Secrétaire Général du PDS, Maître Abdoulaye, on les prendrait à nouveau pour des Imbéciles.
- Que de titres mis en ligne le 23 avril 2014 et qui n’ont rien à voir avec l’événement.
La technique de la distribution des partitions des articles de presse est en marche. Elle consiste à détourner l’attention des cibles visées (les populations Sénégalaises) sur une information fondamentale, comme le Retour de Maître Abdoulaye au Sénégal. Ainsi, dans la seule journée du 23 avril 2014, on relève des titres :
-Le Luxembourg lève un coin de voile sur l’identité de M. Karim WADE
-Jersey, la nouvelle panacée de la CREI
-Sindiély, la grande absente
Par cette méthode initiée et entretenue par les grands communicants du Château, on adoucit, tempère, réduit l’ampleur de l’événement qui tient tout un peuple en halène. Ces publications ne sont en aucun cas fortuites ; elles ont été pensées, réfléchies, calculées et mises à la disposition des candidats à la recherche d’une gloire ou encore de personnes rémunérées pour répondre en temps réel, au signal, pour la mise en ligne de tels articles. L’intoxication est une méthode planifiée, réfléchie, exécutée et distribuée par partitions à des médias qui les distillent par petites doses, en fonction des commandes des pamphlétaires (écrivains au ton polémique, violent et agressif) pour servir de contre-feu à une information qui éveille les consciences (les menaces sur la démocratie) ou pour servir de réconfort aux fanatisés qui absorbent l’information sans analyse. Des articles du même ordre ressortent des boîtes de pense-bêtes pour semer le doute sur les esprits faibles et les faibles d’esprit et les cantonner dans une certitude sans preuves.
- La persistance et la réitération des mêmes cantiques (chansons religieuses faites en langue vernaculaire) qui ont fait la promotion et la réputation des usurpateurs de l’information.
Enfin, l’heure n’est plus à l’acceptation de la propagation du mensonge et du jet en pâture des citoyens pris pour les pôles de concentration de la haine, construits pour mieux abuser les populations. Le temps de la réflexion et du ressaisissement ont produit leur effet à l’épreuve des faits que les populations vivent au quotidien. Avec le recul, une majorité de Sénégalais partage notre analyse ; ce n’est pas parce qu’ils retournent leur veste, mais tout simplement, qu’ils la remettent à l’endroit ou dans le bon sens. Nous refusons que le Sénégal adopte des valeurs contraires à notre éducation, notre culture et à nos pratiques des religions. Nulle ne doit ériger la haine, le reniement, l’ingratitude et la médisance sans preuves en valeurs, sous prétexte de justice qui n’est que sélective.
- L’exception Sénégalaise en Afrique ou dans le monde
Nous nous devons d’insister et de répéter auprès des Sénégalais que nous sommes un « peuple élu » dans le concert du monde nègre qui n’a connu ni coup d’état, encore moins de troubles reposant sur une appartenance quelconque ou de « justice revancharde » qui sèment les germes de la haine, du crime, de la torture et des règlements de compte. Et ce ne doit pas être à cause d’aventuriers conseillers non élus que nous devrions nous retrouver dans une apocalypse que vive la majorité des pays Africains. Plus que jamais, conservons et sauvegardons jalousement notre démocratie, la paix sociale, les régulateurs ou modérateurs de notre société. Débarrassons-nous des petits initiateurs de désordre qui n’ont d’ambition que la reconnaissance de leur statut social par leur enfance perturbée par la faute de leurs parents et non de celle de la société Sénégalaise toute entière.
- Le Sénégal, une démocratie, une république et non un royaume.
De 1974, première année de lutte pour faire instaurer sans violence le multipartisme à l’année 2012, où il quitta le pouvoir à l’issue d’élections régulières et transparentes, le Président WADE a toujours été l’apôtre de cette exception politique démocratique Sénégalaise dans une Afrique empreinte d’arrangement d’élections ou de coup d’état pour prendre le pouvoir. Exprimer son mécontentement par les manifestations sans violence est une donne et un acquis que la constitution garantit dans notre pays. Oui, le Président WADE, de son vivant doit s’opposer par tous les moyens à nous préserver de la perversion de la démocratie par qui que ce soit, il n’est pas seulement le Secrétaire Général d’une opposition, lePDS, mais il est aussi le garant légitime, moral et dépositaire de cette démocratie. Par conséquent, dut-il perdre la vie pour la défense de son œuvre, il n’en sera que tout honoré.
Vive le Sénégal, vive la démocratie et vive l’Etat de droit avec toutes ses prérogatives.
Mané Moussa de la Cellule de Communication ASS-Kaw France
La presse senegalaise est la plus naïve et la plus hypocrite. Il devrait avoir honte de tout ce qu’ils ont inventé contre le pouvoir en racontant de scontre vérités.
Contribution
C’est vraiment dommage qu’il soit toujours là ; encombrant et puant de dolo frelaté ce démon à visage humain (Pape gueye) stéréotypé et bedonnant ; extirpé illico presto des abîmes abyssales pour prêcher dans sa ronde inféconde, népotisme et clientélisme.
Mieux ces salinités visant des bienfaiteurs historiques de son maitre sont à la limite inadmissibles.
Mais lorsque les instincts les plus bas d’un être sont déchainés, de résultat ne peut être que abominable
Au demeurant, dans son sillage inculte et désolant rein ne fleurira parce que omnibulé par une haine viscérale à l’égard d’un homme pourtant super (Djiby Niang)
Et nous constatons qu’au de là de son acharnement saccageur sur la structure socio politique des aperistes de notre commune, il échouera platement dans sa croisade anti alpular à Sibassor.
Chahuté d’avantage dans son entreprise malsaine par un maigre statut de Brigadier de police à la carrière malencontreusement interrompue pour alcoolisme exagéré et indélicatesse.
Cet homme sombre, rêveur sans doute, est sur un nuage, étant tiré vers le haut comme chef de cabinet par son ministre à l’instant où il ne sentait plus ses ailes capables de voler
Depuis il s’est mu en valet sioniste. Cette providence lui confère le zèle ignominieux et suicidaire de vouloir de vouloir obstinément couronner un gaillard hagard et éteint, mais Beau frère de monsieur le ministre ; à l’effet juré de démettre monsieur Djiby Niang , le coordonnateur communal consensuel/APR
Ces manœuvres cyniques qui crèvent l’œil d’un aveugle contribueront amplement au ternissement de l’image naguère pittoresque de Monsieur Diene Farba Sarr ; que les militants admiratifs avaient laborieusement conçue.
Donc Monsieur le Ministre après examen de conscience il urge de vous défaire de cette guirlande étouffante et nuisible à votre santé, notre réputation mais surtout votre entourage exaspéré.
Ces hommes, femmes, jeunes qui, hier exultaient à la seule évocation de votre nom demeurent figés et vous observent passer.
Une attitude symptomatique du profond désarroi qui les a envahis 02 années après.
Monsieur le ministre, après reprise du contrôle à Sibassor , votre base naturelle, à la suite de votre mémorable rencontre du lundi 21/04/2014 (avec militants , parents et admirateurs) , le climat d’espoir et de dynamisme qui subsiste appelle au maintien du cap relationnel afin de surmonter tous les défis , et baliser une trajectoire pour notre triomphe aux locales du 29 juin.
Toute fois vous conviendrez naturellement avec nous que ce n’est pas l’impossible qui désespère le plus mais le possible non atteint.
Aux armes frères apéristes dans la battue vers l’expulsion ou la mise à mort du monstre afin de délivrer notre ministre pris en otage.