XALIMANEWS : Dans une interview accordée au journal économique Lejecos, le ministre des finances et du budget s’est prononcé sur l’impact de la pandémie de Covid-19 sur l’économie sénégalaise. Selon Abdoulaye Daouda Diallo, le Sénégal était sur une bonne trajectoire avant que le virus ne vienne tout compromettre. « La pandémie de la Covid-19 est venue porter un coup d’arrêt brutal à l’économie nationale », se désole-t-il. Pour avoir affecté des secteurs stratégiques tels que les BTP, le transport, le tourisme, la restauration, etc., la pandémie a fait chuté la croissance du Sénégal d’un taux prévisionnel de 6,8% à 1,1% en 2020.
Afin de limiter les effets, «le gouvernement entend injecter 741 milliards dans les entreprises à travers le programme de résilience économique et social (Pres) », informe l’argentier du Sénégal.
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Tiens, il parait que la CREI est au chômage, depuis quelques années, on est donc entrain de payer des fonctionnaires à ne rien faire, sinon se tourner quotidiennement les pousses. Tout de même un peu de sérieux, il y’a vraiment matière à traiter pour cette juridiction très exceptionnelle pour qu’on la laisse pourrir ainsi. Au regard de tous les scandales de détournements des deniers publiques révélés ne seraient ce que par les corps de contrôles, cet organe juridique devrait être remis au gout du jour, réactivé. Tous les grands voleurs de la république devraient être traqués et trainés devant cette juridiction, dans le seul but de récupérer le butin volé à l’état par ces criminels. Le pays a un besoin pressant de tunes pour faire face à la crise économique, qui sans nul doute affectera fortement le budget de l’état abonné aux déficits. Voilà en toute lucidité une bonne piste pour Macky, si et seulement si son bon vouloir est de sortir ce pays dans ces difficultés financières. Il doit comprendre qu’on ne gère pas un pays avec des sentiments. C’est là toute la différence de nos dirigeants d’avec ceux des pays occidentaux, qui mettent en avant les intérêts de leurs états et non des individualités, même si ce sont de très proches parents. Seulement avec Macky, cette traque semble compliqué, problématique au vue de l’évolution de sa fortune qui était estimée à un peu plus de 8milliards en 2012. Aujourd’hui 8 ans après, beaucoup d’eau a déjà coulé sous les ponts avec les dessous de dossiers des contrats du pétrole sénégalais et surtout l’affaire F. Timis. C’est pourquoi, on reste trop sceptique sur le montant actuel de sa fortune, qui doit pouvoir se compter en centaines de milliards. Et donc le grand problème ici, le vrai paradoxe c’est que le voleur ne criera jamais au voleur!
Abdoulaye Daouda Diallo l’autre chien servile de Maccky Sall pire que le djolof djolof Aly Doule Ndiaye féne rek il ment sans sourciller ce Doule Ndiaye kathie rek hier il fallait le voir jouer aux équilibristes à proppos des inondations quelle honte et dire que ce monsieur est le ministre de l’intèrieur
Abdoulaye Daouda Diallo qui n’est qu’un éxécuteur zélé de basses oeuvres prèpare les sénégalais aux lendemains difficiles qui les attend résultat des politiques économiques catastrophiques et des détournements de deniers publics que ce régime nous a accoutumées depuis 2012
Endettement de plusieurs dizaines de milliers de milliards auprès des institutions financières pour financer leur pseudo émergence ponctuée de scandales de marchès gré à gré pour enrichir les parents les amis les membres de leur parti politique
Quelqu’un espèrait pomper le premier baril de pétrole en 2022 pour couvrir les crimes économiques mais hélas Covid-19 a perturbé les plans criminels ce sera après 2024 quand tout ce beau monde pourri sera dégagé on va découvrir l’horreur des caniveaux le spectacle sera plus que stupéfiant des milliers de milliards détournés par Macky Sall sa femme son frère sa famille ses ministres et leurs proches ce scénario empeche les membres du régime de dormir alors on agite par médias interposé l’idée d’un troisième mandat on menace quiconque qui dit non à une pareille possibilité
Pour le monde entier un grand recul;et une contraction drastique de l’économie. œuvrons pour une saine réouverture, une relance et un redémarrage sans accrocs ni retour en arrière.Un langage franc d’un honnête homme