Charles Foster demande de l’aide au chef de l’Etat : « Sauvez-moi de mon ex épouse »

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XALIMA NEWS – Dans la correspondance adressée au Président de la République, le comédien, 62 ans, déclare que son épouse, 33 ans, Anita Nouzilinou ne cesse de le persécuter. « Elle nous impose sa personne à mon domicile situé à la Sicap Amitié. Malgré un divorce prononcé en ma faveur, depuis le 25 juin 2014 par le Tribunal départemental hors classe de Dakar, mon ex-épouse débarque en escaladant (le mur de) mon domicile à tout moment, à n’importe quelle heure, disparaît des jours et revient tardivement, ivre et violente, accompagnée d’hommes qu’elle prétend être des hommes de lois. Je n’en peux plus de voir ces scènes d’horreur devant mes enfants, de mes soeurs et du voisinage. Je vous mets au fait de cette situation qui ne peut plus durer. C’est pour cela que je vous demande une intervention rapide afin de nous éviter l’irréparable », a-fait savoir le président de l’association des maris battus, dans les colonnes du journal Enquête.

2 Commentaires

  1. Au Sénégal le code de la famille a fini de sacrifier les intérêts des hommes qui sont ballotés par des divorces conclus au terme des jugements inéquitables. Les hommes souffrent en silences depuis que les féministes ont pris le parti de faire la grande gueule au nom de legalite. Ce sont les pères de famille qui suent leur sang quand il faut protéger, nourrir, payer, habiller, entretenir, assister, soigner, pour finir sur les carreaux en cas de problème insoluble en famille. Beaucoup d’hommes n’osent pas divorcer et de voir isoler l’existence par de coupes raides et des ponctions délirantes de leurs revenus à la faveur de pensions alimentaires inéquitables, déloyales. La conséquence reste de trouver une maîtresse pour s’évader avec elle a ses heures perdues. La morale sociale trouve son déséquilibre dans l’absence de justice sociale qui présume de culpabilité des hommes dans les jugements des tribunaux. C’est un favoritisme coupable et les hommes doivent se rebiffer avant qui ne soit trop tard. Combien d’épouses font exprès de verser dans toute sorte d’excès pour obtenir divorce et pension au moment ou leurs ex maris ont de la honte pour en parler ouvertement. La plupart des juges qui traitent des affaires de divorce sont des femmes. Se pose aussi la question de la garde des enfants dont la pension atterrit entre les mains de femmes occupées dans les tontines, les ndawtals, les khaware au mépris des conditions de vie et de la qualité de l’éducation de leur progéniture qu’une justice débile continue à les leur confier.

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