L’Ong Prometra International a procédé hier à la restitution de ses travaux de recherche dans le domaine de la médecine traditionnelle. Cette Organisation révèle des avancées notables dans la lutte contre le Sida, le diabète et la malnutrition.
Huit cents Africains malades du sida sont enterrés chaque jour. Et l’Organisation non gouvernementale pour la promotion de la médecine traditionnelle africaine (Prometra Internationale) veut faire face à ce drame. Et cette structure qui regroupe dix-neuf pays d’Afrique du l’Ouest et du Centre a réussi à inventer la formule médicale capable de soigner le Sida, à en croire son président, le Dr Erick Gbodossou, de nationalité béninoise. ‘Après avoir soigné une cohorte de soixante-deux patients, 56,4 % des patients ont vu leur charge virale diminuer de 66 % et plus exactement de 66 à 99,9 % ’, révèle-t-il. Des résultats extraordinaires, selon lui, dans la mesure où, ‘au niveau international, on dit qu’un médicament est bon lorsqu’il est capable de faire chuter la charge virale d’au moins 66 %’.
Durant ces recherches de l’Ong, il a été confirmé que ces plantes augmentent le taux de Cd4 qui mesure le système immunitaire de l’homme de 100 à 500 %. Aussi, en observant les patients qui ont servi d’expérience, explique le Dr Gbodossou, ce médicament montre une bonne évolution des maladies opportunistes et une amélioration de l’état psychologique des patients. ‘Des malades gagnent en quelques semaines de 2 à 12 kg en poids. Il y a même des malades que nous avons reçus des hôpitaux à qui l’on a indiqué qu’ils avaient six mois à vivre, et qui, depuis 2000, sont encore vivants’, se réjouit le président de Prometra. Il précisera, d’ailleurs, que ‘depuis que nous utilisons ce médicament, nous n’avons, jusqu’à ce jour, pas encore trouvé ses effets secondaires’.
Ce médicament dont le nom est encore confidentiel, a été homologué, selon le patron des tradipraticiens d’Afrique, par de grands chercheurs américains. ‘Nous leur avons donné cinq plantes de guérisseurs provenant de quatre pays africains pour en faire une étude sérieuse et crédible. Les résultats qui nous sont parvenus, sont que ces plantes individuellement ou en combinaison donnent les mêmes résultats satisfaisants’, souligne le Dr.
Gbodossou. A l’en croire, les produits sont hydrosolubles, alors qu’il n’y en a pas beaucoup comme ça. Car, dira-t-il, au plan mondial, seuls deux produits hydrosolubles injectables existent et coûtent chacun 15 millions de francs Cfa par individu et par an. Ce qui, à ses yeux, n’est pas accessible à tous.
D’après les résultats d’éminents scientifiques américains, rapporte le président de Prometra International, ces plantes au nombre de cinq en combinaison font vingt-cinq produits, tous hydrosolubles. ‘Ils sont virostatiques, virolyses, c’est-à-dire qu’ils tuent le virus, désactivent le virus, et ils sont extirpés par des méthodes naturelles, c’est-à-dire par voie urètre’, indique le Dr Gbodossou. Mais, à son avis, le plus important et qui est sorti de ces recherches effectuées par les tradipraticiens africains, est qu’il est prouvé que ce médicament individuellement et/ou collectivement tue les cellules infectées et protège les cellules saines. Ces produits, ajoute-t-il, dans une étude poussée, ont des principes actifs faciles à extraire. Autant d’exploits qui montrent, selon lui, que dans un défi sanitaire mondial, l’Afrique peut jouer un rôle et peut aussi donner au Nord.
Les tradipraticiens africains qui ont été bien organisés dans ces travaux de découverte ont mis sur pied un comité scientifique international qui veille sur la crédibilité des recherches nationales, et un comité scientifique local qui se réunit chaque mois pour évaluer les progrès à travers les résultats obtenus chez les patients. Ainsi qu’un comité scientifique et juridique international qui a signé des partenariats avec des laboratoires internationaux.
Quid du diabète et de la malnutrition
L’implication des guérisseurs dans la lutte contre le diabète et la malnutrition a été déterminante. D’après le président de l’Ong Prometra International qui faisait hier la restitution des travaux de recherche ès médecine traditionnelle, sur cinq cents patients du diabète soignés, les résultats ont donné satisfaction à 95 %. Ceci, grâce aux plantes médicinales qui régulent le taux de glycémie. Le Dr Gbodossou de rappeler que le diabète est une maladie incurable. Et de la même manière, le traitement des types de dermatose a été encourageant pour le Dr Gbodossou, les découvertes médicales pour lutter contre la malnutrition ont été poussées. En effet, les guérisseurs ont procédé hier à la présentation de ‘Nutristar’ qui est un produit homologué par le laboratoire de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar selon lui, et qui, au-delà de son efficacité dans le traitement de la malnutrition, combat également le choléra et la fièvre typhoïde.
Pour ce qui est du cancer, nous apprend le Dr Gbodossou, Prometra International a signé avec l’université Morehouse d’Atlanta aux Etats-Unis pour mesurer l’impact de ces cinq fameuses plantes qui leur ont été données sur les cellules vaginales au niveau de leur laboratoire.
Abdoulaye SIDY
walf.sn
Arretez de raconter des inerties, vous rendez les africains peu crédibles. soyons sérieux, vous avez une responsabilité dans le traitement des sodo renseignements que vouscroyez avoir;
POURQUOI DIABLE NOUS RESERVEZ VOUS UN PLAT RECHAUFFE? CET ARTICLE A DEJA ETE PUBLIE AU MOIS D’ AOUT 2009.
QUAND DONC SEREZ VOUS DES PROFESSIONNELS RESPONSABLES?
C’est à désespérer de l’homosenegalensis.
Depuis des années on se plaint des inondations dans la banlieue sans en trouver les solutions ; n’empêche qu’aux Maristes, des individus sont en train de créer les conditions pour installer une nouvelle zone d’inondations.
Un cours d’eau, les « Niayes » part du parc de Hann, traverse la cité Maristes et l’autoroute, poursuit son chemin derrière la cité patte d’oie et ensuite longe la grande côte jusqu’à Lompoul.
En toute impunité, au vu et au su de tout le monde, on laisse des individus construire des maisons sur le lit de ce cours d’eau.
On bloquant le flux de l’eau, ils seront les premiers à être inondés, et leurs maisons faisant office de « barrage », les autres maisons en amont, seront aussi inondées. On n’arrête pas l’eau avec ses mains ou un barrage de fortune, ni en rambléant ; il faut toujours lui créer un chemin. On n’a pas besoin d’être un scientifique pour le savoir. L’école primaire suffit. Ou vous faites un chemin au cours d’eau, ou il se fait un chemin en inondant tout sur son passage ; point barre !
Tout le monde s’en fout, les autorités s’en tapent, jusqu’au jour ou il faudra venir au secours des sinistrés ; et bis et repetita ; jamais on ne tire leçons des événements du passés.
A parier que les responsables de ce désastre, seront les premiers à réclamer le secours des sapeurs pompiers.
Toujours les intérêts égoïstes, sans aucune pensée aux conséquences !
Ya t-il quelqu’un qui délivre des permis de construire dans ce pays ?
Qu’il fasse un tour du coté des Maristes, il verra des maisons construites dans des dénivellations de plus de 10 mètres de profondeur, les arbres du lit d’un cours d’eau coupés, et … les roseaux qui baignent dans l’eau juste derrière les maisons,
C’est irresponsable ! C’est intolérable ! C’est du « n’importe quoi dans ce pays ».
Tout le monde fait ce qui lui plaît, ou ce qui arrange ses intérêts.
Il faut arrêter !!!!!!!
De grâce !!!!!