Distinction -Des Sénégalais décorés à Paris

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Toutes la communauté internationale amie de l’Afrique, s’est réunie ce vendredi 11 mars 2011 au salon d’honneur de la garde Républicaine française pour honorer  et décorés en médaille d’or par la Ligue universelle du Bien public et de l’Humanité ces personnages du Sénégal et d’autres pays, pour leur dévouement et l’œuvre apporté pour le bien public.

Le parrain de ces personnages sénégalais, Maître Papa  Khaly NIANG, Avocat à la Cour d’Appel de Paris, Délégué International de la Ligue Universelle du Bien Public, a présenté un rapport émouvant et digne de sens pour Monsieur le Professeur Amath DANSOKHO, Maître Boucounta DIALLO, Monsieur Karim HARATI et ce, sous  la présidence effective de Monsieur Gerge GUILLEMOT, président de la Ligue, Monsieur Jean-Claude BAUDRY, Vice –Président et l’ancien Ministre de l’emploi et du Développement des entreprises , Monsieur Alain MADELIN, actuel Président mondial du Fonds de Solidarité Numérique ainsi que Léopold FAYE, Consul Général du Sénégal en France. Une forte délégation sénégalaise et du reste du monde est venue massivement pour honorer sa présence

Devant beaucoup des sénégalais, maître Boucounta Diallo, monsieur Amath Dansokho et monsieur Karim Harati reçoivent leur médaille d’or respectif par le président de la Ligue,monsieur Gerge GUILLEMOT. Auparavant, Nous vous proposons l’extrait du discours de maître Papa Khaly NIANG ,parrain des récipiendaires, médaillé d’Or de la Ligue Universelle du Bien Public et de  l’humanité décernée le  20 mars 2008 au salon d’honneur de la Garde républicaine française, médaillé d’Or de l’étoile européenne du dévouement civil et militaire 2009, présidant de l’Académie Internationale des Hautes Etudes de la Sécurité(AIHES), délégué internationale de la Ligue Universelle pour l’Afrique, professeur de droit, Avocat à la Cour, criminologue, il est difficile de présenter maître Niangqui est un fils de la ville de Fatick, dans la région sérère du sine présente le parcours des récipiendaires dans la vie sociale, politique et économique, après avoir remercié toutes les personnalités présentes, il décrit Monsieur Amath DANSOKHO comme l’Homme dont le nom est lié à la  vérité et au patriotisme intransigeant. Monsieur DANSOKHO a consacré toute sa vie pour le Sénégal et pour la moralisation de la vie politique jusqu’à  défier la prison  quand il s’agit de défendre des principes..Ainsi, dira-t-il : « Parler du Professeur AmathDansokho est un exercice périlleux, tant le personnage que j’ai le privilège de vous présenter est complexe. »

Homme de culture, homme politique et humaniste, « Babagoula », comme on l’appelle dans sa ville natale, est  né le 13 janvier 1937 à Kédougou, fils du sage et vénéré Bakary Dansokho et de Goula Sène.

Dès son jeune âge, son père qui a vu en lui un garçon doté d’une grande capacité intellectuelle, l’a initié d’abord à l’apprentissage du coran à partir de 1942, puis l’a inscrit à l’école primaire à Kédougou (1946-1950), et à l’Ecole DUVAL, Saint –Louis 1950-1951 où il a réussi son entrée en 6éme.Depuis cet âge, il s’est initié à la politique aux côtés de son père qui était un grand notable de la Section Française de l’Internationale Ouvrière (SFIO). Le choix de ce dernier ne l’oriente  vers ce parti, mais plutôt vers Senghoriste, système de pensée et d’actions propres à Senghor, qu’il a étudié avec passion, au point de frôler l’échec au concours d’entrée en 6éme. Il réussit pourtant à ce concours et recevra en récompense, un cadeau qui l’a marqué toute sa vie : sur le communisme, intitulé : « le fils du peuple » de Maurice TOREZ, alors secrétaire Général du parti communiste français.Dès l’obtention du bac au Lycée Faidherbe de Saint –Louis, en 1958, le jeune Dansokho glisse progressivement, du Senghorisme aux positions défendues par le Rassemblement Démocratique Sénégalais (RDA). Avant ce tournant décisif, Monsieur Dansokho a développé une véritable passion pour le communisme, au point que, déjà au lycée, il a été considéré comme le futur marxiste sénégalais.Monsieur Dansokho a été à la pointe de tous les combats du collège de son temps.Il a connu très tôt sa première arrestation pour fait de grève en 1957. C’est à la sortie de prison qu’il a embrassé définitivement le communisme, pour son adhésion au Parti de l’Indépendance et du Travail (PAI), aux côtés du feu Majmout DIOP, il s’est donné à l’étude du communisme au point qu’il a failli, là aussi, frôlé l’échec au Bac.Pourtant, comme d’habitude, il a obtenu avec brio, ce diplôme qui lui a ouvert le chemin de l’Université.Il s’inscrit à la faculté des lettres de l’Université de Dakar, où il a été élu  la même année, en 1958,vice-président de l’Union Générale des Etudiants d’Afrique Occidentale, deux semaines seulement après son inscription à l’Université, puis directeur du publication du journal « Dakar étudiant » dont un seul numéro fut imprimé à Dakar en raison de la décision du gouvernement sénégalais de priver des marchés publics toutes les imprimeries qui offriraient leurs services au journal des étudiants.Monsieur Dansokho était contraint d’aller chaque fin du mois à Conakry pour y faire imprimer le journal et le transporter dans des valises à Dakar.En juillet 1959, chargé par le secrétaire général du parti d’aller à Conakry (Guinée) prendre la livraison des armes qui leur avait été données par le F.L.N, Mission extrémiste périlleuse sous le régime de Sékou TOURE.Ces armes ont été transportées de Conakry à Kankan par train, de Kankan à Bamako par route, de Bamako à Dakar par chemin de fer. Celles-ci serviraient à l’insurrection du parti aux élections municipales du 30 juillet 1960, insurrection qui provoqua la dissolution du parti.En 1961, il cumula de responsabilités au sein du mouvement étudiant, du Conseil National de la Jeunesse du Sénégal (C.N.J.S) dans le secrétariat du PAI à l’Université et deuxième secrétaire du parti, chargé de l’éducation et des questions idéologiques avec des conséquences négatives sur les études.Egalement en 1961, il rencontra Ben Barka à la Conférence Afro Asiatique de Conakry (Guinée).En 1962, Elu membre du comité central au premier congrès du parti  puis envoyé à Prague pour le représenter.

En juillet 1963, rappelé d’urgence de Prague à cause de  première grande crise au sein de la direction.En 1964, il fut emprisonné à la prison civile de Dakar, profitant d’une liberté provisoire, il partit pour Bamako répondre à une convocation du secrétaire général en exil. La même année il fut élu secrétaire du comité central, chargé des relations internationales à la quatrième session du comité central.En 1965, rencontre avec Che GUEWARA à l’Ambassade de CUBA à Bamako.En janvier 1965, rencontre avec Kwamé KRUMAH pour l’entretenir de la lutte armée mise en œuvre et de la réalisation du soutien qu’il a promis  à cette initiative.En février 1965, fin du séjour de Monsieur Dansokho à Bamako suite à une forte pression du gouvernement sénégalais sur le gouvernement malien.En 1965, une deuxième rencontre avec Ben Barka à la conférence afro-asiatique de Winneba (Ghana) dont il dirigeait la commission d’organisation et de la préparation pour la conférence tricontinentale. Monsieur Dansokho a été l’avocat de l’ANC, de la SWAPO et de la ZAPU face à la délégation chinoise et de ses alliés mobilisés contre l’admission de ces organisations dans le mouvement afro-asiatique.Il voyagea la même année à côté de Ben BARKA d’Accra à Genève.

La même année voyage à Moscou également en compagnie du secrétaire général et du secrétaire général adjoint –longue rencontre avec Michael SOUSLOV.Suite au coup d’état de Boumediene (Algérie), qui le trouva à Varadero (cuba) il fut dépêché à Alger pour prendre ses gagnages en raison de la persécution dont les communistes algériens étaient l’objet.En octobre désigné comme représentant du PAI à Prague à la nouvelle revue internationale : Problème de la paix, organe théorique et d’information des partis communistes.En 1966, refus d’une proposition d’amnistie du Président SENGHOR pour condamnation par contumace à la suite de son inculpation en 1964.En 1968, il fut le seul représentant du parti à la nouvelle revue à désavouer l’intervention des troupes du pacte de Varsovie et à refuser de transporter son épouse et sa fille à Moscou par mesure de sécurité et à écrire des lettres de solidarité à DIBCEK, au Président Svoboda et à Smovkovsky , Président de l’Assemblée Nationale. Cette position de principe lui a valu une désapprobation de la direction du parti.En septembre 1977, retour au Sénégal sans amnistie et dépôt d’une lettre auprès du Président SENGHOR demandant la levée de l’interdiction du parti.En 1978, Monsieur Dansokho retourna définitivement au Sénégal où il signa un accord d’alliance avec le PDS (Parti Démocratique Sénégalais, actuellement au pouvoir).

« Je suis sûr que tous les africains vont savourer cette distinction, pour ce personnage emblématique qui est une valeur sure pour l’ensemble du continent et pour le monde entier.Incontestablement, le profil de l’homme est lié à la vérité et au patriotisme intransigeant.Le secret de l’homme c’est le soutien que lui apportent son épouse et ses enfants. La Ligne universelle des biens Publics ne pourra alors faire autrement que de vous reconnaitre les vertus d’un grand serviteur  de l’humanité.En conséquence, elle vous décerne sa médaille d’or et vous adresse toutes ses félicitations », ajoute maître KhalyNiang.

Qu’à Maître Boucounta Diallo, un avocat de grandes valeurs intellectuelles qui a participé à la défense des plus grandes causes qui secouent le Sénégal, en particulier ; l’Afrique, en général. Il  considéré, Maître Diallo comme un avocat panafricaniste convaincu. Son collègue maître Niang dit ceci : « Permettez -moi, tout d’abord, au nom de Monsieur le Président de la Ligue Universelle du Bien Public Monsieur Gerge GUILLEMOT et des membresde son conseil d’administration de vous présenter Maître Boucounta Diallo ici présent  dont  le nom est toujours associé à celui de combattant des droits de l’homme et de la justice.En entendant ce qualificatif, vous vous rendez  certainement compte que Maître Diallo  a assez de travail pour s’occuper d’autres choses dans sa vie. Mais retenez-vous pour ne pas être surpris par cette sobre biographie qui nous exige à lui consacrer au moins 10 minutes ne nous permets même  de dire la moitié. »

Né le 17 octobre 1955 à Djilakh sur la petite côte, au Sénégal, où il poursuivit ses études à l’Université Cheikh Anta DIOP, maître Boucounta Diallo s’est inscrit au barreau du Sénégal en 1982.Son engagement et son esprit de justice dans la défense des droits de l’homme lui ont valu d’être souvent présent dans les grandes causes qui secouent le continent africain.« Si nous devons lui attribuer un qualificatif dans le continent africain, c’est bien celui de l’avocat panafricaniste pour avoir défendu plusieurs causes :Président du collectif des avocats de la défense de l’opposant historique guinéen Alpha CONDE devenu en fin d’année 2010, le premier président démocratiquement élu  de la république de  Guinée Conakry. »

Président du collectif des avocats des victimes tchadiennes contre le président Hissene Habré ( Tchad/Sénégal), président du collectif de défense de l’opposant togolais Harry Olimpo, avocat défenseur des généraux Palenfo et Coulibaly(côte d’ivoire), avocat défenseur des sœurs Cambell dans l’affaire des 100 mannequins et de l’avion libyen, avocat défenseur du président Mohamed KhounaOuldAidallahet de ses 14 compagnons en Mauritanie, avocat défenseur du procès des présumés auteurs du coup d’Etat de Wad-Naga en Mauritanie, avocat défenseur de monsieur SeïdanOuldMeda, ministre du pétrole et la société WOODSIDE contre l’Etat mauritanien, avocat chargé de la défense de la veuve et des enfants du Président Joao BernadoVierra, président de la république de la Guinée Bissau, avocat défenseur de monsieur Souleymane LAWANI, ex –ministre des Finances du président Yayi BONI dans l’affaire dite « chantiers du Bénin ».

Maître Boucounta est encore, ajoutera maître KhalyNiang,  l’avocat sénégalais par excellence, pour ne  citer que certaines affaires :« Coordinateur du collectif des avocats pour la défense des intérêts de l’ex-Premier Ministre sénégalais Idrissa Seck  dans les affaires dites « des  chantiers de Thies » et de « la sureté de l’Etat » pour lesquelles ce dernier a été poursuivi. J’ai le plaisir de partager cette riche expérience avec mon confrère et Ami, maître Boucounta. Il a été avocat défenseur de monsieur Madiambal Diagne, directeur de publication du journal sénégalais « le quotidien » placé sous mandat de dépôt. »

De ce qualificatif de défenseur des droits de l’homme, on découvre un véritable médiateur :Il est intervenu dans la crise politique et institutionnelle au Togo, dans le dossier des séparatistes casamançais au Sénégal, et enfin dans les relations conflictuelles entre le président Léopold Sédar Senghor et le professeur Cheikh Anta DIOP ; cette position stratégique de maître Boucounta auprès du président Senghor se justifie par ses relations avec Philippe SENGHOR décédé accidentellement. « Bou, comme on a l’habitude de l’appeler est reconnu comme fils adoptif de notre regretté président.Malgré ses vastes préoccupations, maître Boucounta Diallo, laisse une place aux activités associatives et de militantisme :  Maître Diallo est l’ancien président de l’organisation des droits de l’homme du Sénégal  (ONDH), président d’honneur de l’ONG solidarité médicale Bourdonnais Sénégal (section sénégalaise), administrateur de la Fondation Léopold Sédar SENGHOR, administrateur de SOS Sahel International Sénégal, ancien membre du Haut Conseil de l’audiovisuel (HCA) : organisation de régulation des médias au Sénégal, ancien président de l’association Internationale « mémoire du sud »basée à Paris, secrétaire Général de l’ancienne commission Nationale de Gestion de la paix en Casamance, président de la commission « communication et presse » du comité national pour le 90 eme anniversaire du Président  Léopold Sédar SENGHOR. »

Ce parcours à la fois élogieux et riche n’empêche pas  Boucounta de réaliser sa volonté de laisser une mémoire à la postérité en prenant la plume au service de l’écriture :Une étude sur les crimes rituels au Sénégal a vu le jour dans la revue EDJA.Il préfaça l’ouvrage sur : « la côte d’Ivoire, violences d’une transition manquée », édition l’ Harmattan Paris, 2007. En novembre 2009, maître Boucounta restitue son expérience légitime tirée de la connaissance de la Casamance profonde en publiant son ouvrage sur : « la Crise casamançaise : problématique et voies de solution » aux éditions l’Harmattan.

Mais comment pourrait-il en être autrement si l’on regarde le parcours du récipiendaire, se demande maître Niang, qui a consacré tout son temps à l’êtrehumain et à la conservation de ses valeurs ?

On dira qu’il n’y a jamais deux sans trois d’autant plus que Boucounta a été honoré au Sénégal avant d’être accueilli à ce temple du bien public.

Il  a été élevé par  la nation sénégalaise aux distinctions les plus prestigieuses comme Chevalier de l’Ordre National du mérite, puis chevalier de l’ordre national du Lion.

« L’ambassadeur Henri-Paul Normandin, représentant permanent adjoint du Canada auprès des Nation Unies, à la troisième commission de la 62 éme assemblée Générale des défenseurs des droits ne s’est pas trompé quand il classe Boucounta parmi les ardents et les premiers combattants des droits de l’homme dans le monde. »

 

En faisant ce tour d’horizon on se pose la question de savoir quel est le secret de Boucounta ? Ceux qui le connaissent trouveront certainement la réponse, non seulement par l’éducation reçues des parents de grandes valeurs sociales et spirituelles, mais aussi par l’existence d’une épouse de grandes valeurs intellectuelles et humaines sans compter la grande  compréhension de ses enfants qui ne profitent pas suffisamment de la présence de papa.

« La Ligne universelle des biens Publics ne pourra alors faire autrement que de vous reconnaitre les vertus d’un grand serviteur  de l’humanité.

En conséquence, elle vous décerne sa médaille d’or et vous adresse toutes ses félicitations. »

Enfin, Monsieur Karim HARATI, le grand serviteur de l’humanité, l’homme de cœur qui donne sans compter et sans se fatiguer avec une indifférence et une discrétion sincères. Parlant de monsieur Harati, maître Pape KhalyNiang dit : « Je voudrais, tout d’abord, m’excuser de notre prétention de vouloir présenter l’homme qui passe tout  son temps à servir  l’humanité sans compter et sans se fatiguer. »Né à Dakar, le 19 mai 1963, Monsieur Karim Harati bénéficie d’une triple culture, sénégalaise, libanaise et flamande. Depuis sa tendre enfance, il aime la Nature et les Hommes. A l’âge très jeune, il est proche des autres, toujours prêt à servir et à secourir.Plutôt que les plages ou les salles de jeux, il préférait aller en brousse partager  son temps, ses moyens et son sourire avec ses amis d’enfance, et tout court avec ses voisins villageois.A 20 ans, il avait déjà commencé à reboiser là où il le pouvait, de façon anonyme.  Ensuite il l’apprend à ses enfants, qui sont ravis de passer leurs vacances à reboiser et aider les plus démunis. Il est un homme d’affaire polyvalent, investi dans le commerce, l’agro-industrie et la finance internationale dans tout le continent africain.

Malgré ses qualités intellectuelles et son expertise dans le domaine du consulting international, « je préfère lui attribuer le qualificatif de serviteur de l’homme qu’il aime tant par rapport aux moyens d’identification moderne qui sont plus valorisants aux yeux des autres. »

Sa discrétion et son indifférence l’ont  amené à bâtir un village anonyme pour partager la vie et les moyens avec ceux qui l’ont vu grandir et jouer dans les champs ainsi que  dans le bras de mer accueillant le sel et les pêcheurs. « Je veux parler d’un village situé dans la région de Fatick qui répond au nom de « Faoye »  signifiant lumière, dans la  langue « Sérère » du président Léopold Sédar SENGHOR. »

Afin de permettre  l’accès à l’éducation pour tous, monsieur Harati a mis ses moyens pour la construction d’écoles, car il a horreur de voir un enfant trainer ou un adulte sans activité. Ce qui l’amena souvent à récupérer des jeunes pour leur offrir une  scolarisation ou à convaincre des adultes à se mettre à l’activité, ainsi, il n’hésite pas à leur offrir du travail.

Ses domaines  de prédilection sont les secteurs du sel, du reboisement ainsi que du consulting international pratiqué  auprès d’entreprises africaines de renommée mondiale. Son projet actuel « Seld’Afrique », conçu dans une perspective de développement durable, devrait fournir  plus de 540 emplois permanents et directs ainsi que  plus de 5 000 emplois indirects dont 80% de Femmes.Ces dernières qu’il considère, selon ses termes : « les mères de l’Afrique ».Ledit projet, fait apparaitre incontestablement  chez le récipiendaire sa préoccupation  de  participer à l’amélioration des conditions de vie des populations dans le Sénégal, en général, et   dans l’arrondissement de Fimela (région de Fatick), en particulier.Associant une grandeur du cœur et une compétence de haut niveau dans le domaine du consulting international,  tout en gardant  l’esprit libre, monsieur Karim Harati a mis en place un véritable holding de faiseur de chef d’Etat au quartier « point E », de Dakar Sénégal. « Son quartier général, comme nous avons l’habitude de l’appeler,  accueille  les plus hautes personnalités  politiques du continent africain et reste encore le siège privilégié des candidats aux élections présidentielles de la sous-région. »

Conscient des difficultés auxquelles sont confrontées la population guinéenne, monsieur Harati a joué un rôle déterminant pour l’élection du président Alpha CONDE pour avoir mis à sa disposition un plan de communication de pointe qui a rassemblé tout le peuple guinéen autour de la candidature du président CONDE.Ce fils du Sénégal, panafricaniste convaincu, met, régulièrement  son expérience et son expertise au service des  gouvernements engagés dans des processus de démocratisation.

« J’ai le privilège d’être témoin de cette journée du 8 janvier 2010 quand monsieur Harati restituait le chantier qu’il avait entamé bénévolement et avec un grand cœur en mettant à la disposition du village de Faoye, une mosquée équipée d’une salle de mariage, d’une morgue et d’un cimetière.Ce jour-là, nous découvrons l’homme du cœur et du partage  et sous l’égide de Feu Sérigne Barra M’BAKE, Khalif Général des mourides, du président Amadou Makhtar M’BOW, directeur de l’Unesco, de l’ancien Premier Ministre, Moustapha Niasse et de maître Boucounta Diallo, ici présent. Nous lui décernons tous, ce jour-là, le grade du véritable « Khalif »de la générosité et du partage. »

A ce jour d’inauguration de ses réalisations, tous les témoignages concordaient pour dire que : «  Monsieur Harati incarne les valeurs de solidarité de partage avec un désintéressement  à la fois noble et sincère. C’est un homme de référence et de  conviction et on  doit lui reconnaître une légitimité dans cette démarche aussi rare et bénévole ».

 

Monsieur Harati considère que tous les individus doivent être égaux et que ceux qui ont les moyens doivent répondre à la demande sociale. Il ne pouvait pas accepter des inégalités sociales dans ce village ; ce qui l’a conduit à concrétiser ce grand chantier et par ses propres moyens. Sa maxime préférée est celle d’Antoine de Saint-Exupéry : « Nous n’héritons pas de la Terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants ». Il a souvent soutenu d’avoir eu la chance  des parents comme les siens, car ils lui ont inculqué une bonne éducation, des valeurs morales de partage et de solidarité. « Merci monsieur Adnan Harati et Madame, pour avoir mis au monde celui qui est présenté aujourd’hui parmi les meilleurs serviteurs de l’humanité.Voilà le profil de celui que la Ligue universelle du bien Public a l’honneur de recevoir et de  décerner sa médaille d’or. Elle lui adresse toutes ses félicitations. » Puis, maître Niang lit la dépçeche de l’église catholique en l’encontre de monsieur Karim Harati en voici l’extrait : « C’est avec une joie incommensurable que nous, membres de la Communauté Catholique de l’île de Fadiouth, avons appris, par la presse, la décoration , par la Ligue Universelle du Bien Public, de trois fils du Sénégal, parmi lesquels Mr Karim HARATI. L’infatiguable monsieur Harati dans les bonnes oeuvres est parrainé de par son engagement pour l’humanité en incarnant l’accès au bien être pour tous. Entre autres belles réalisations au palmarès de Mr Harati qui ont été déterminantes dans son choix, il est fait mention de celles consacrées à son village sérère FAHOYE. A ce Palmarès fort élogieux, la Communauté Catholique de l’île de Fadiouth souhaiterait vivement que vous preniez en compte deux belles réalisations de Mr Karim Harati en sa faveur, à savoir: L’équipement en sono ultra moderne de l’église de l’île qui avait subi de très sérieux dommages suite à une terrible tornade; La récente prise en chage totale de la réfection et de l’équipement complet de la morgue du village utilisée essentiellement par les catholiques. Ce sont là, Honorables membres du Comité de la Ligue Universelle du Bien Public, des gestes qui nous vont droit au coeur, nous catholiques de ce village. en effet, Fadiouth est, dans ce Sénégal qui compte environ plus de 90% de musulmans, le seul village à 90% de catholiques et seulement 10% de musulmans. C’est pourtant Mr Harati, le musulman qui, dans un élan oeucuméniste, est venu au secours de ses frères catholiques sérères. Quel bel exemple illustratif, si besoin en était, de ce dialogue islamo-chrétien au Sénégal, de cette convivialité tant enviée entre musulmans et catholiques dans ce monde qui vit ses moments les plus difficiles dans les relations entre musulmans et catholiques. Honorables Membres du Comité de la Ligue Universelle, au regard de ce qui précède, la Communauté catholique de FADIOUTH, vous prie de bien vouloir agréer l’expression de ses chaleureuses félicitations et de ses sentiments de profonde gratitude pour votre choix sur la personne de Mr Karim. HARATI, Que la fête soit belle! »La cérémonie a été terminée par un cocktail.  Par El hadji Diagola Paris

 

 

 

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