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Ibrahima Sylla (enseignant-chercheur En Sciences Po A L’ugb) ‘’macky Sall Est Sur La Voie D’être Sanctionné’’

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L’attitude du président de la République, Macky Sall, consistant à appeler ses lieutenants à mouiller davantage le maillot pour défendre son bilan, trahit une volonté manifeste de rempiler à la prochaine élection présidentielle. Mais ce pari est loin d’être gagné d’avance si l’on en croit Ibrahima Sylla. Cet enseignant-chercheur en sciences politiques à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis est d’avis que Macky Sall, tout comme ses prédécesseurs, est sur la voie d’être sanctionné par les populations sénégalaises. Dans cet entretien avec EnQuête, Sylla estime qu’il y a de fortes chances qu’on assiste à un fort taux d’abstention à la prochaine élection présidentielle du fait de l’électorat sénégalais qui, dit-il, est à la fois versatile et volatile.

 

Comment analysez-vous l’attitude du président de la République Macky Sall qui reproche à ses lieutenants de n’avoir pas bien défendu son bilan ?

C’est l’attitude d’un chef de parti qui s’adresse non pas à la communauté nationale mais à ses camarades de parti. Et c’est cela la première anomalie. Les gens diront que c’est de bonne guerre. Mais cela informe sur l’incapacité de nos chefs d’Etat à rester chef d’Etat et à cesser d’être chef de parti. Parce que ce qui devait intéresser le président de la République, c’est plus la condition économique et sociale du pays et des Sénégalais que la manière dont ces mêmes populations perçoivent sa politique. En politique, la communication est quelque chose de fondamental et il faut nécessairement communiquer. Vous avez beau réalisé un certain nombre de choses, si vous ne communiquez pas sur vos réalisations, les gens sont incapables de les  percevoir. Ce qui fait qu’en amont, au moment où on parle et par rapport à l’avenir, il est extrêmement important de communiquer. C’est cela qui nous permet d’ailleurs de faire la distinction entre informer et communiquer.

Le président de la République, en reprochant à ses camarades de ne pas trop communiquer sur son bilan, veut vendre ses réalisations auprès des populations sénégalaises. Pensez-vous que ces dernières votent en fonction d’un bilan ?

L’électorat sénégalais généralement ne se prononce que rarement en fonction du bilan, en fonction d’une identité politique ou en fonction d’une réalisation concrète. En politique, ce qui peut aider les gens à accrocher, c’est quelquefois la séduction. Barack Obama n’est pas notre président, mais les gens l’apprécient beaucoup au Sénégal et ont le sentiment qu’il a beaucoup fait pour eux tout simplement parce qu’il a une image qui accroche. Il a cette capacité de sourire au peuple et se comporter d’une manière qui inspire confiance.

Dans beaucoup de secteurs aujourd’hui, on ne peut pas dire que l’Etat n’a rien fait. Mais par rapport à toutes ces réalisations, il manque un discours adapté pour dire aux gens : voilà ce qu’on a fait.

Pourquoi cette nécessité pour le président de la République de vouloir coûte que coûte communiquer sur son bilan ?

Le président de la République pense que l’électorat sénégalais va se décider en fonction d’un bilan. C’est une manière de dire à ses lieutenants : parlez de mes réalisations. Mais si ce n’était que des réalisations, Abdoulaye Wade n’aurait jamais été sanctionné. Je reste convaincu et je crois fondamentalement à la maturité du peuple sénégalais. Il y a des gens qui parlent de la maturité du peuple sénégalais sans y croire. Moi j’y crois fondamentalement. Le peuple sénégalais est extrêmement éveillé et l’éveil frise même une certaine perversité. Ils sont capables de te laisser dérouler ton bilan, chercher à les corrompre, et font semblant comme si de rien était. Parce que la majeure partie des électeurs n’appartient à aucun parti politique. Ils restent chez eux, écoutent et regardent la télévision et attendent le moment venu pour se décider. Les politiques ont tendance à étaler souvent leur bilan, mais ils oublient parfois que beaucoup de Sénégalais peuvent ne pas se retrouver dans leur bilan.

Si l’Etat met en relief des bourses familiales, combien de gens ont dans ce pays des difficultés à régler leurs problèmes au quotidien  et n’ont même pas vu le début du commencement de ces bourses de solidarité ? Ils vont te dire : nous, nous ne nous sentons pas concernés. Plus tu étales ton bilan, plus les gens vont voir les contradictions qu’il y a par rapport à leurs besoins. Si tu dis : j’ai fait l’autoroute Ila Touba, les gens vont dire et alors ? Et à Saint-Louis, à Podor, en Casamance ? Quel est le bilan, en termes de réalisations concrètes, que le citoyen peut aujourd’hui toucher de ses doigts ? L’un des premiers actes que le président aurait dû poser, c’est de réformer tout de suite les institutions et dire aux Sénégalais : moi, je suis un président de transition, je vais réhabiliter les institutions. Au lieu de cela, on a mis en place une commission ; elle fait son travail et on le met dans les placards. Les gens du pouvoir ont fait beaucoup de faux pas à tel point qu’aujourd’hui, le bilan n’est pas du tout présentable. En termes de réalisations concrètes, je reste, comme beaucoup de Sénégalais d’ailleurs, sur ma faim.

Est-ce à dire que le bilan du président Sall est négatif

C’est bien de dire aux gens : défendez mon bilan ; mais qu’est-ce qu’il y a comme contenu dans ce bilan ? Que vont dire les gens ? Est-ce qu’ils vont étaler les bourses de sécurité familiale ou la baisse du prix de l’essence ? Les gens diront que le prix de l’essence par rapport au prix du baril du pétrole, c’est tellement insignifiant qu’on n’aurait pas dû se limiter à cette petite baisse qu’on a appliquée. Quelque part, vouloir faire le bilan, c’est même tendre le bâton avec lequel le peuple va te frapper. Dans la coalition gouvernementale se trouvent des gens qui ont travaillé dans le cabinet de Senghor, qui ont défendu toute la politique d’Abdoulaye Wade et aujourd’hui, qui se retrouvent avec Macky Sall.

Des gens qui l’ont critiqué pendant longtemps et qui sont aujourd’hui dans son entourage immédiat. Voilà des logiques tellement contradictoires qu’il leur devient difficile d’avoir un fil conducteur sur quoi ils vont communiquer. Ils ne vont pas communiquer pour dire qu’Abdoulaye Wade n’a pas bien travaillé alors que tous les gens qui l’entourent ont travaillé avec lui. Ils ne peuvent pas dire que le Parti socialiste n’a pas bien travaillé alors qu’il n’y a autour de lui que des socialistes qui s’occupent de l’émergence. Il y a suffisamment de contradictions idéologiques, de postures, d’ambitions, de conflits d’intérêts à tel point que les gens se retiennent.

Dans un tel contexte de confusions et d’incertitudes, quelles sont aujourd’hui les chances pour Macky Sall de rempiler à la tête du pays ?

Moi je fais partie des gens qui, jusqu’à preuve du contraire, par rapport aux actes posés par le pouvoir, sont restés sur leur faim. Je discute souvent avec les gens mais partout où je passe, les gens se plaignent et disent que le pays ne marche pas. A côté de la morosité de la situation, il y a le problème des enseignants qui sont très remontés contre le régime. Cela va de l’éducation nationale au supérieur. Tous sont extrêmement remontés contre le régime et prennent leur mal en patience. En 2016, il y aura beaucoup de grèves parce qu’à chaque veille d’élection, les syndicats profitent de ces moments pour revendiquer. A cela s’ajoute le déséquilibre qu’il y a eu dans la distribution des bourses de sécurité familiale.

Beaucoup de Sénégalais ont le sentiment aujourd’hui que les choses vont d’un seul côté. Il y a beaucoup de déceptions sur la réforme des institutions. A la veille de 2016, tout cela constitue véritablement des indices qui ne donnent pas espoir à dire que le président de la République a de fortes chances de rempiler. Même par rapport à ce qui touche la politique internationale, les gens ne sont pas satisfaits. Aujourd’hui, les décisions prises, par rapport au terrorisme, par rapport à la Burqa et par rapport à l’arrestation des imams etc., ne convainquent pas les Sénégalais. Certains jeunes sont aujourd’hui incapables de te dire comment s’appelle le Premier ministre ou les noms de deux ou trois membres du gouvernement.

Qu’est-ce qui peut expliquer  selon vous cette situation ?

Le pouvoir n’arrive pas à occuper positivement la scène médiatique. Parfois il faut savoir être artiste-politique pour être sur le devant de la scène politique. Et cela, d’une manière positive. Idrissa Seck sait le faire. Me El Hadji Diouf aussi. Un certain nombre d’hommes politiques savent occuper la scène politique. Mais on a parfois le sentiment que la scène politique est déserte. Tout ce qu’on entend le plus souvent, ce sont des cris, des querelles, des scandales. Quand il y a un scandale, on entend les gens parler et après on n’entend plus rien alors qu’il y a tout un art politique qui consiste à faire des déclarations, à réagir spontanément sur un certain nombre de problèmes. Par rapport à tous ces éléments, je reste convaincu qu’aucun parti politique au Sénégal ne peut aujourd’hui dépasser le cap des 25%. Les meilleurs candidats pourraient avoir autour de 25%. Je rappelle souvent que Macky Sall, son meilleur score au premier tour issu d’une coalition, c’est 25% et en valeur absolue, c’est 700 et quelque mille voix sur un corps électoral de plus 5 millions. Ce n’est même pas 10% de l’électorat. Il y a eu beaucoup d’abstentions parce qu’il y avait beaucoup de tension durant la précédente élection présidentielle. Les gens disent que Macky Sall est le président le mieux élu avec 65% des suffrages alors que cela ne veut rien dire.

Peut-on s’attendre à ces tendances en 2017 ou 2019 ?

A la prochaine élection présidentielle, il y aura de nouveaux électeurs composés de jeunes qui vont acquérir la majorité élective. Il y a les défis qui vont être plus pressants, il y a également ce partage du gouvernement qui sera toujours là. Les inondations sont toujours d’actualité, beaucoup d’étudiants n’ont pas été orientés et on a l’impression que les problèmes sont restés intacts depuis des années. Rien n’a presque changé. On a toujours les mêmes enjeux, les mêmes querelles et aujourd’hui, on a franchi une nouvelle étape : les bagarres qui reviennent à l’Assemblée nationale. Ce qui fait qu’aujourd’hui, il y a un rejet de la politique telle qu’elle se pratique sous nos cieux par les populations elles-mêmes. La conséquence de tout cela risque d’être un fort taux d’abstentions parce que les populations ne se reconnaissent pas dans la politique actuelle.

Un gars comme Idrissa Seck, avec un discours convaincant, même s’il ne gagne pas, peut faire mal. Quelqu’un comme Khalifa Sall peut également faire mal à Dakar, dans sa banlieue et dans certaines régions. Comment peut-on perdre pendant les dernières élections locales Dakar et sa grande banlieue, Thiès, Ziguinchor, Touba et prétendre gagner les prochaines élections ? Au Sénégal, celui qui gagne Dakar et sa grande banlieue remporte les élections. Dakar et sa banlieue font 1/3 de l’électorat. Tous les jeunes sont concentrés dans la banlieue. Les gens n’ont pas toujours cette lecture. Ils persistent toujours à penser qu’on peut acheter l’électorat sénégalais avec de l’argent. C’est qui est arrivé à Abdoulaye Wade et à Abdou Diouf. Macky Sall lui est sur la voie d’être sanctionné. Aujourd’hui tous les ingrédients sont réunis pour qu’il soit sanctionné. Beaucoup de Sénégalais ne se retrouvent plus dans son discours ni dans sa politique. Les Sénégalais ont tourné le dos aux partis politiques et à tous les gens qui ont retardé le Sénégal. Si les Djibo Kâ et les Tanor avaient les compétences nécessaires, le Sénégal aurait décollé économiquement depuis les indépendances. Tous ceux qui se sont alliés avec eux ont été sanctionnés par les populations.

PAR ASSANE MBAYE 

enqueteplus.com

3 Commentaires

  1. Macky sall n’ira pas au 2eme tour. Karim Wade gagnera les élection au premier tour. Ne confondez pas khalifa sall aux élections locales et khalifa à la présidentielle il y a une grande différence. Aux élections présidentielles je vous assure que khalifa sall n’aura pas grand chose à Dakar. Quand à Idrissa Seck ses chances résident dans le fait que Karim wade ne participera aux élections. Mais dans tous les cas macky perdra les élections: si Karim wade participera macky perdra au premier tour, si karim ne participera pas il peut aller au 2eme tour et perdre.

  2. Les analyses pseudo-intellectuelles contre ce qui suit. Le meilleur président que ce pays ait connu. Des réalisations visibles partout, une citoyenneté retrouvée. Demain, il fera jour.

    SENEGAL: LES REALISATIONS DU PRESIDENT MACKY SALL DEPUIS 2012
    Le 25 mars 2012, le Sénégal a vécu sa seconde alternance politique au pouvoir, en élisant Macky SALL. Qu´ont fait le Président Macky Sall et son Gouvernement depuis 2012 ?
    Le présent document s´articule sur les réalisations du Président Macky Sall de 2012 á 2015. La principale source émane des ministères, directions et les créanciers internationaux.
    Volet social
    • Réduction des inondations á travers des infrastructures installées dans beaucoup de localités même si le problème persiste toujours en banlieue Dakaroise ;
    • Un programme de plus de 70 millions de dollars (54 millions d’euros) visant à améliorer le drainage dans les quartiers périphériques est financé par l´Etat du Sénégal avec la Banque mondiale ;
    • Plus de 2800 logements a Tawfekh Yaakar sont construits et octroyés à des sinistrés dans des conditions de transparence remarquables ;
    • Politiques novatrices de protection sociale financées par une forte réduction du train de vie de l´Etat ;
    • une Couverture maladie universelle et une Bourse de sécurité familiale sur le modèle des pays émergents
    • Une politique sociale englobant un budget de 120 milliards de francs CFA est disponible depuis 2015 ;
    • 40.000 logements sociaux qui seront réalisés á long terme á Diamniadio ;
    • Instauration de la carte d’égalité des chances pour les citoyens en situation de handicap ;
    • Signature le 02 octobre 2012 du décret d´application de la loi d´orientation sociale en faveur des personnes handicapées portant sur les commissions techniques départementales chargées des dossiers de demande de la Carte d´Egalité des Chances permettant á son titulaire de bénéficier des droits et avantages en matière d´accés aux soins de santé, de réadaptation, d´aide technique, financiére, d´éducation, de formation, d´emploi, de transport, ainsi qu´á tout autre avantage susceptible de contribuer á la promotion et á la protection des droits des personnes handicapées ;
    • Une politique de réduction des loyers a été initiée. Les prix des denrées alimentaires diminués : le kilo de riz est á 280 FCFA au lieu de 325 FCFA. Le kilo du riz parfumé est à 435 FCFA au lieu de 475 FCFA, le kilo du sucre se vend à 580 CFA au lieu de 690 FCFA, alors que le litre d’huile est à 960 FCFA contre 1 200 FCFA ;
    • La baisse de l’impôt sur les salaires a augmenté de manière significative, les revenus des travailleurs jusqu’à 90 000 francs de plus sur les bulletins. La portée sociale est d’autant plus importante que la mesure concernait les agents de la fonction publique comme ceux du secteur privé ;
    • Electrification et installation de forages dans des centaines de villages : les données passent de 8500 á 20.000 ;
    • Dans le domaine énergétique il faut souligner le programme Mix énergie qui prévoit de doter d´électricité scolaire des infrastructures scolaires et sanitaires de 1000 villages et zones périphériques des villes ;
    • Redémarrage des travaux de la Convention 20 qui concerne 373 villages ainsi que l´octroi d´agrément pour 74 projets d´énergie renouvelables dont 47 solaires, 15 de biomasse, 8 projets éoliens et 4 projets hydrides solaire/éolien ;
    • Mobilisation de 8 milliards FCFA pour soutenir la réduction des prix des denrées ;
    • Baisse puis maintien du prix du gaz sur une longue période malgré une hausse continue des cours sur le marché international ;
    • Dotation budgétaire annuel de 27 milliards FCFA du Fonds de Soutien au secteur de l´Energie (FSE) pour soutenir les prix de l´électricité ;
    • Revalorisation de 10% des pensions de retraite ;
    • Allégement de l´impôt sur le revenu des Sénégalais et pour accroître leur pouvoir d´achat (avec un coût de 29 milliards pour l´Etat) ;
    • Organisation du Pèlerinage aux lieux Saints de l´Islam avec une réduction sensible sur le billet d´avion (de 1.235.000FCFA en 2011 á 990.000 FCFA en 2012, soit une baisse de prés de 20%).
    • Allocation dans le budget 2013 de 10 milliards FCFA pour la mise en place de la Caisse Autonome de Protection Sociale Universelle (CAPSU) et la Bourse de Sécurité familiale dont les premiers transferts sont effectifs depuis 2013.
    Sur le plan sanitaire
    • Gratuité des soins pour les enfants de 0 á 5 ans et les personnes âgées ;
    • Gratuité de l´hémodialyse et de la césarienne ;
    • Gratuité des antirétroviraux. Un traitement du cancer grâce á la construction de nouveaux centres de traitement. Depuis 2012 des hôpitaux, des centres de références dans les districts sanitaires, centres de santé sont en cours de réalisation. Cela découle de la volonté politique réelle du Président Macky Sall qui souhaite avec l´aide du Gouvernement mettre á la disposition des populations sénégalaises des infrastructures sanitaires de proximité.
    • Organisation fructueuse des Concertations nationales sur la Santé et l´Action sociale en date du 18 et 19 Janvier 2013 pour une meilleure gestion du secteur
    • Accord obtenu avec les syndicats et levée du mot d´ordre de rétention des données sanitaires ;
    • La poursuite de la gratuité de l´hémodialyse avec une inscription d´un montant de 3,3 milliards de FCFA ;
    • Obtention de réduction, sur une base conventionnelle, des tarifs de séance de dialyse dans les établissements de santé privés et au niveau du centre d´hémodialyse de la ville de Dakar ;
    • Acquisition de 76 générateurs d´hémodialyse, installés dans les hôpitaux de Kaolack, Touba, Ziguinchor et Grand Yoff (Dakar) ;
    • Acquisition de scanners destinés aux hôpitaux de Grand Yoff, Saint-Louis, Kaolack, Tamba, Touba, Ourossogui et Kolda ;
    • Acquisition de plusieurs ambulances distribuées dans les hôpitaux du pays ;
    • Equipement des blocs opératoires des centres de santé de Khombole, Dahra et Darou Mousty ;
    • Démarrage des activités de l´hôpital d´enfants de Diamniadio ;
    • Ouverture des centres de santé de Dianké Makhan et de Makakcolibantang ;
    • Remplacement de la source bombe cobalt de l´hôpital Aristide de Dantec ;
    • Autonomisation de la disponibilité en oxygène de 11 hôpitaux du Sénégal ;
    • Equipements des Services d´Accueil et d´Urgence (SAU) des hôpitaux de Saint-Louis, Ndioum et Matam;
    • Réception des infrastructures et des équipements des structures de base sept (7) postes de santé, douze (12) maternités, cinq (5) logements dans les régions de Saint-louis et Matam et des infrastructures et des équipements du Centre de Santé de référence de Pété ;
    • Inauguration de Poste de Transfusion sanguine (PTS) á l´hôpital Roi Beaudouin de Guédiawaye ;
    • Acquisition de plusieurs tables de radiologie conventionnelle pour certains hôpitaux du Sénégal ;
    • Mise en place, dans le cadre de la couverture maladie universelle, d´un fonds d´équité pour la prise en charge gratuite des personnes indigentes et des groupes vulnérables ;
    • Lancement du projet pilote de « développement de la couverture universelle par l´assurance maladie dans les départements de Saint-Louis, Louga, Kolda et Kaolack ;
    • Mise en œuvre d´une politique de prévention, de renforcement de l´offre de santé, de relévement des plateaux techniques, de mise en place de services d´urgences et de renforcement de l´équité et de l´accessibilité des soins ;
    Sur le plan agricole et promotion du développement rural
    • Subvention du matériel agricole. Le Président Macky Sall rappelle l’importance qu’il accorde au développement de la riziculture. Pour cette raison, il a fixé des objectifs clairs pour réussir l´autosuffisance alimentaire á long terme: Il s´agit d´une production de 1,600 millions en 2017 et 1,800 millions de riz blanc au Sénégal. Le Président Macky Sall insiste sur le « consommer local » qui doit être le fer de lance pour une vraie émergence. Pour y arriver il compte soutenir les agriculteurs. L´Etat va suspendre la Taxe sur la valeur ajoutée (Tva) de l´activité rizicole dans la Vallée et le reste du Sénégal. Cet argent pourra compenser au prix fixe de l´électricité qui serait un bénéfice pour tout le monde. Plus de 1000 tracteurs ont été commandés des Pays-Bas au profit des paysans sénégalais. Un programme agricole 2012 sans couverture budgétaire, les crédits d´un montant de 27,3 milliards FCFA inscrits dans la Loi de Finances Initiale de 2012 étant destinés á payer partiellement les arriérés des campagnes antérieures.
    • Volet irrigation et de gestion des ressources en eau pour aménager prés de 10.000 hectares et d´exploiter 26.000 hectares de terres déjá irrigués ;
    • Mobilisation de 29 milliards FCFA pour l´appui en vivres au monde rural ;
    • Octroi de 34,2 milliards francs CFA pour la subvention des intrants agricoles de la campagne agricole pour l´année 2012-2013 ;
    • Mise en place de plus de 48.000 tonnes de semences dont plus de 7300 pour les cultures vivrières et le reste pour l´arachide ;
    • Distribution de 19.350 tonnes d´aliments dans le cadre de l´Opération Sauvegarde du Bétail pour un côut global de 3,9 milliards FCFA ;
    • Paiement des arriérés dus aux acteurs du monde rural pour les campagnes agricoles (opérateurs semenciers, industriels huiliers) pour 54 milliards FCFA ;
    • Accroissement des montants du programme d´équipement du monde rural qui passent de 200 millions en 2012 á 4,8 milliards de FCFA en 2013 (24 fois plus) ;
    • Les Dotations du programme de reconstitution semencier passent de 150 millions de FCFA en 2012 á 5 milliards de FCFA en 2013 ;
    • Allocation d´une enveloppe financiére de 3,5 milliards FCFA au titre de la dotation des Fonds de sécurisation du crédit rural qui n´ont point été dotés ces derniéres années ;
    • Fixation du prix au producteur d´arachide á 190 FCFA et libéralisation de la commercialisation qui a permis aux prix d´atteindre parfois 275 FCFA ;
    • Augmentation des dotations du Programme national de Développement local, qui passent de 332 millions de FCFA á 4,2 milliards, soit une multiplication par 12 ;
    • Financement de l´hydraulique rurale pour une enveloppe de 24,4 milliards FCFA pour 55 forages neufs, 5 forages réhabilités, 2253 km d´extension de réseau, 98 nouveaux châteaux d´eau, 1394 bornes fontaines ;
    • Hydraulique urbaine : réalisation de 5 forages et de 2 châteaux d´eau, de 82460 d´extension de réseau et de 19100 branchements sociaux. Démarrage de la réalisation de 11 forages, 2 stations de traitement, 2 stations de pompage, 15 châteaux d´eau, 33000 branchements sociaux réalisés en 2014 et 270.000 km d´extension de réseaux réalisées en 2013 ;
    Sur le plan éducatif
    • Construction d´une deuxiéme université á Dakar et d´autres universités dans les régions de Thiés, Kaolack, Fatick, Ziguinchor ;
    • Construction des centres de formation professionnelle ;
    • Rénovation de l´Université Cheikh Anta Diop de Dakar avec des pavillons bâtis ;
    • Des universités privées au profit des bacheliers non orientés ;
    • Recrutement de nouveaux enseignants. L’Education connait une certaine pacification avec des grèves moins cycliques. La concertation Nationale sur l’avenir de l’Enseignement Supérieur a dégagé les voies d’une Université Sénégalaise performante et développante avec comme toile de fond l’orientation aux STERN (Sciences, Technologies, Ingénierie et Mathématiques) ;
    • 302 milliards FCFA sont en train d’être investis pour le financement du Programme de Développement Stratégique de l’Enseignement,
    • Les arabisants ont pu obtenir en deux ans ce qu’ils ont revendiqué, en vain, durant plus de 52 ans. Il s’agit de l’unification et la reconnaissance du Baccalauréat en langue arabe. Il s’y ajoute que les arabisants peuvent désormais accéder à l’Ecole Nationale d’Administration (ENA) et y sortir comme Hauts-Fonctionnaires ;
    • Le programme des Dara modernes ;
    • Le décret historique faisant du Magal de Touba jour férié, chômé et payé finisse d’attester toute la considération que le Président Macky Sall donne à la religion locale, bouillon de cultures spirituelles et de valeurs humanistes indispensables à la société sénégalaise.
    • Sauvetage de l´année scolaire après négociation avec les syndicats, élaboration d´un calendrier consensuel après une gréve de plusieurs mois ;
    • Achèvement de la réhabilitation des lycées techniques Abdoulaye Niasse, André Peytavin, Limamoulaye et d´autres lycées du Sénégal ;
    • Elaboration du Projet d´Amélioration de la Qualité et de l´Equité au niveau de l´Education de Base (PAQUEEB) ou PAQUET (Projet d´Amélioration de la Qualité et de la Transparence) avec l´adhésion de tous les partenaires techniques et financiers ;
    • Mise en œuvre du programme des daaras modernes (Financement déjá obtenu)
    • Nouveau sytéme d´évaluation certificative disponible depuis 2014 ;
    • Mise en place d´une nouvelle politique d´édition des manuels scolaires, basée sur un choix multiple déconcentré et un partenariat public-privé ;
    • Réhabilitation et renforcement des équipements des centres d´enseignement technique des régions de Louga, Saint – Louis;
    • Réalisation de formations pour les professionnels du secteur de l´agriculture et des acteurs du secteur informel ;
    • Poursuite du programme de renforcement des infrastructures pédagogiques et sociales des universités ;
    • Amélioration de la gouvernance de l´enseignement supérieur avec la signature des Contrats de Performance de l´Université Cheikh Anta Diop, de l´Université Alioune Diop de Bambey, de l´Université Ziguinchor et de l´Université de Thiés ;
    • Mise en place de l´Autorité nationale d´Assurance Qualité (ANAQ) sur la licence, le Master et le Doctorat ;
    • Mise en place du Comité de pilotage de la Concertation nationale sur l´enseignement supérieur (CNAES);
    • Implantation de l´Université du Sine Saloum de Kaolack ;
    • Création et implantation de nouveaux Centres de Recherche et d´Essai (CRE) á Ouakam et Louga ;
    • Renforcement de l´ouverture des universités vers le secteur public-privé et les autres structures publiques avec la signature de conventions et partenariat avec des projets et instituts de recherche ;
    • Développement d´une offre éducative avec des filiéres scientifiques techniques et professionnelles plus adaptées á la demande á tous les niveaux de la pyramide scolaire ;
    Création d´emplois
    • Recrutement de 8000 agents dans la Fonction Publique ;
    • 10.000 agents de sécurité de proximité donnant du coup l´exemple au privé pour la promotion de l´emploi;
    • L´audit physique et biométrique des agents de l´Etat a assaini le fichier des fonctionnaires de la Fonction Publique qui comptait des salariés irréguliers (fictifs) ;
    • Les statistiques en matière d’emplois recensés au Sénégal entre 2012 et 2014 donnent «un cumul de 135.629 contrats visés par les inspections régionales du Travail et de la Sécurité sociale, soit 37.114 en 2012, 44.695 en 2013 et 53.820 en 2014». C’est le chef de l’Etat Macky Sall qui se réjouit ainsi des progrès de son gouvernement en matière d’emploi en trois ans ;
    • Lancement de l´Agence Nationale pour la Promotion de l´Emploi des Jeunes (ANPEJ) qui est le fruit de la politique de rationalisation des structures en charge de l’emploi des jeunes initiée par le président Macky Sall et qui abouti à la suppression de l’Agence nationale pour l’emploi des jeunes (ANEJ), du Fonds national de promotion des jeunes (FNPJ), de l’Office pour l’emploi des jeunes des banlieues (OFEIJBAN) et de l’Agence nationale d’appui aux marchands ambulants (ANAMA) ;
    • Obtention d´une ligne de crédit de 10 milliards de FCFA avec la BAD pour le financement des activités des femmes et des jeunes filles ;
    • Mise en place du Fonds de Garantie des Investissements Prioritaires dotés de 5 milliards FCFA afin de financer les projets des jeunes et des femmes ;
    • Un financement de 17 milliards de FCFA accordé par la BAD pour l´emploi des jeunes ;
    • Programme de création de Domaines Agricoles Communautaires pour créer 300.000 emplois dans le domaine agricole (100 milliards de FCFA) ;
    Projets d´infrastructures avec l´ambitieux Plan Sénégal Emergent (PSE)
    • Réhabilitation et élargissement de 120 km de routes entre Richard Toll et Ndioum (RN2);
    • Reconstruction du pont de Ndioum long de 150 m en 2012 ;
    • Réhabilitation et l´élargissement de 287 km de routes entre Ziguinchor et Vélingara (RN6) ;
    • Reconstruction du pont de Kolda long de 91 m, travaux lancés en 2013 ;
    • Réhabilitation de la RN2: Saint-louis-Rosso y compris 65 km de voies de désenclavement ;
    • Travaux de réparation du pont de Kalakalouse ;
    • Travaux de construction du pont de Falémé ;
    • Travaux de construction du pont de Fanaye ;
    • Travaux de réhabilitation de la route wack Ngouna-Keur Madiabel ;
    • Travaux complémentaires de la ville de Touba dans le cadre du Programme de Modernisation ;
    • Travaux de réhabilitation de la route Cap Skiring-Djembering ;
    • Travaux de réhabilitation de la route Diouloulou-Kafoutine ;
    • Travaux de la réhabilitation de la route Km 50-Kayar-Fatick-Bambey ;
    • Travaux de la construction de la route Linguére-Matam section Patouki-Ourossogui ;
    • Travaux de construction des trois (3) ponts de Matam ;
    • Travaux de la construction de la route Vélingara-Badiara ;
    • Travaux de construction de la route Gossas-Mbar ;
    • Travaux de construction de la route Passy-Foundiougne ;
    • Travaux de construction de la route Linguére- Matam section Boula-Ranérou-Patouki ;
    • Travaux de construction de la route Touba Toul-Khombole ;
    • Travaux d´aménagement de la Boucle du Blouf, section Thionk Essyl Balingor ;
    • Travaux d´aménagement et de bitumage de la route Tivaoune Touba Toul-Khombole environ 37Km ;
    • Travaux de construction d´autoponts aux carrefours de Thiaroye et Keur Massar ;
    • Travaux de construction de l´autoroute Aéroport International Blaise Diagne (AIBD) – Mbour y compris les bretelles ;
    • Travaux de construction des ponts de Fanaye et de Gêole ;
    • Construction du pont de Kédougou ;
    • Travaux de construction et d´aménagement de la VDN section 3 : tronçon Golf-Tivaoune Peulh y compris bretelle d´accés au village de Tivaoune Peulh ;
    • Construction de la route Fatick-Bambey ;
    • Réhabilitation de la route Mako-Kédougou/Volet sensibilisation aux problémes de santé et sécurité routiére ;
    • Remise en état de la grande Niaye entre Rufisque et Loumpoul Lot 1, Lot 2, Lot 3;
    • Remise en état de la RN1 entre Rufisque et Bargny 2 x 2 voies ;
    • Travaux d´entretiens des aménagements paysagers de la corniche Ouest entre Bloc des Madeleines et Pharmacie des mamelles ;
    • VDN lot 2 : CICES-Golf Club Dakar ;
    • Projet de modernisation de Touba ;
    • Pont Emile Badiane ;
    • Projet de construction, route connectivité autoroute á péage/Rufisque ;
    • Travaux de réhabilitation de la RN6, tronçon Ziguinchor-Tanaff ;
    • Réhabilitation de la route Manda Douane-Vélingara ;
    • Réhabilitation du parking gros porteur á Tambacounda ;
    • Travaux d´aménagement du contournement de la ville de Médina Gounass ;
    • Réhabilitation de la route Tambacounda-Dialacoto ;
    • Aménagement de la route Joal Samba Dia Djiffer ;
    • Aménagement de la route Passy-Sokone ;
    • Travaux de construction des postes juxtaposés de Boundou Foudou ;
    • Travaux de construction des postes juxtaposés de Moussala ;
    • Travaux de construction du pont de HALWAR (tranche conditionnelle) ;
    • Autoroute AIBD-Somone-Mbour ;
    • Programme de la modernisation de la ville de Tivaoune ;
    • Pont de la Gambie et Postes de contrôle juxtaposés ;
    • Autoroute « Ilaa » Touba ;
    • Autoroute Diamniadio-Blaise Diagne
    • Aéroport International Blaise Diagne ;
    • Echangeur de l´Emergence á Dakar ;
    • Cité de l´Emergence avec ses 17 tours en centre-ville de Dakar ;
    • Train Express régional Aéroport Blaise Diagne-Gare ferroviére de Dakar ;
    • Tramway Blaise Diagne-Dakar ;
    • Projet de Bus rapide sur voies réservés entre Guediawaye et Dakar-centre ;
    • Construction du Quai de pêche de Soumbedioune ;
    • Chaloupe Dakar-Rufisque-Aguene et Diambogne ;
    • Agrandissement du Stade Alioune Sitoe Diatta ;
    • Construction de l´aréne Nationale á Dakar ;
    • Construction des Salles de Conférence pour le Gamou á Tivaoune et le Magal á Touba ;
    • Construction du Centre International de Conférence Abdou Diouf á Diamniadio ;
    • Réhabilitation du pont Patte d´oie Sénégal 92 ;
    Diaspora sénégalaise
    • Renforcement du dispositif d´établissement de passeports pour les sénégalais de l´Extérieur ;
    • Démarrage d´études sur l´évaluation des conventions bilatérales et multilatérales pour la sécurité sociale de nos compatriotes émigrés ;
    • Etude pour la création d´un fonds pour le rapatriement des dépouilles des sénégalais décédés á l´étranger, l´aide aux familles endeuillées, les malades nécessitant une intervention chirurgicale lourde et le rapatriement des sénégalais en situation de détresse grave avec un budget de 800 millions de francs CFA en 2015;
    • Saisine de postes diplomatiques et consulaires pour le recensement de tous les sénégalais détenus dans leur juridiction, á l´effet de leur fournir l´assistance consulaire nécessaire ;
    • Politique sociale permettant aux sénégalais de l´Extérieur de bénéficier des logements ;
    • Financement des projets par le Fonds d´Appui á l´Investissement des Sénégalais de l´Extérieur (FAISES) de 340 millions en 2012 á 1 milliards Cinq cent millions de FCFA en 2015 ;
    • Prise de mesures de baisse des prix sur les tarifs des appels téléphoniques entrants, á la suite de la suppression surtaxe qui y étaient appliqués ;
    • Décret 2012-444 du 12 avril 2012 relevant l´âge de l´importation des véhicules qui passe de 5 á 8 ans de 8 ans ;
    • Modification du code de nationalité sénégalaise pour permettre aux femmes sénégalaises de transmettre la nationalité sénégalaise á leurs enfants ;
    Gouvernance sobre
    • Réduction du nombre d´agences ;
    • Réalisation d´audits des organismes publics ;
    • Adoption d´une loi créant un Office national Anti-Corruption (OFNAC) ;
    • Activation de la Cour de répression de l´enrichissement illicite (CREI);
    • Adoption de loi transposant le Code de transparence des finances publiques de l´UEMOA et de la Loi portant réforme de la Cour des Comptes ;
    • Mise en œuvre de la norme mondiale qui promeut la transparence des revenus issus des ressources naturelles : Le Sénégal est membre depuis 2012 de l´Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE) ;
    • Programme de réforme de l´enseignement des affaires et de la compétitivité (PREAC) pour relancer l´économie sénégalaise;
    • Restauration d´un Etat protecteur des populations, le rétablissement d´un Etat transparent et efficient ;
    • Mettre fin aux injustices sociales ;
    • Assurer les bases du développement ;
    • Devenir un modèle de démocratie efficace ;
    • Garantir la paix, la sécurité, la stabilité et l´intégration régionale ;
    • Œuvrer pour une presse indépendante et libre ;
    • Maîtriser les déficits publics et le train de vie de l´Etat : une annulation de dépenses jugées non prioritaires d´un montant de 61,2 milliards FCFA a été réalisé depuis 2012 ;
    • Résiliation de toutes les lignes téléphoniques utilisées par des non ayants-droits et rationalisation de la gestion des lignes téléphoniques dans l´administration avec la mise en place de restrictions pour les bénéficiaires et de plafonds pour les abonnements ;
    • Réduction de 1,2 milliards de FCFA des facteurs de téléphone ;
    • Réduction de 608 millions de FCFA des factures d´eau de l´Administration entre juillet et décembre 2012;
    • Suppression de 358 polices d´abonnement de non ayants droit á l´eau dont la consommation était payée sur le budget de l´Etat ;
    • Réduction des polices d´abonnement á la SNELEC de 7719 á 3791 polices et poursuite du processus d´audit du fichier d´abonnement ;
    • Suppression du Senat (prés de 8 milliards de FCFA d´économies) ;
    • Suppression de 59 directions et agences non nécessaires ;
    • Rationalisation des effectifs et du nombre de missions diplomatiques et consulaires ;

    • Bien dit vous devrez être recrute par le chargé de communication du gouvernement pour défendre leur bilan car c’est leur véritable problème.Le gouvernement a fait beaucoup de bonnes choses dans le monde rural mais les gens ne le savent pas.

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